{ "sklearn": { "columns": [ "Unnamed: 0", "film-url", "review", "polarity" ], "environment": [ "mlflow==2.7.1", "cloudpickle==2.2.1", "numpy==1.26.0", "packaging==23.2", "psutil==5.9.0", "pyyaml==6.0.1", "scikit-learn==1.3.0", "scipy==1.11.3" ], "example_input": { "Unnamed: 0": [ 0, 1, 2 ], "film-url": [ "http://www.allocine.fr/film/fichefilm-135259/critiques/spectateurs", "http://www.allocine.fr/film/fichefilm-172430/critiques/spectateurs", "http://www.allocine.fr/film/fichefilm-15105/critiques/spectateurs" ], "polarity": [ 0, 0, 0 ], "review": [ "Si vous cherchez du cin\u00e9ma abrutissant \u00e0 tous les \u00e9tages,n'ayant aucune peur du clich\u00e9 en castagnettes et moralement douteux,\"From Paris with love\" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa fili\u00e8re EuropaCorp ont de quoi faire na\u00eetre la moquerie.Paris y est encore une fois montr\u00e9e comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'int\u00e9gristes musulmans pr\u00eats \u00e0 faire sauter le caisson d'une ambassadrice am\u00e9ricaine.Naus\u00e9eux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir appr\u00e9cier la d\u00e9connade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues oblig\u00e9 de faire \u00e9quipe avec un vieux lou compl\u00e8tement timbr\u00e9.Mais d'un c\u00f4t\u00e9,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total d\u00e9lire narcissico-badass,cr\u00e2ne ras\u00e9 et bouc pro\u00e9minent \u00e0 l'appui.Sinon,il n'y a aucun sc\u00e9nario.Seulement,des poursuites d\u00e9biles sur l'autoroute,Travolta qui \u00e9tale 10 mecs \u00e0 l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associ\u00e9 se faire d\u00e9molir la tronche pendant qu'il scrute \u00e0 la jumelle.Ca pourrait \u00eatre un plaisir coupable,tellement c'est \"h\u00e9naurme\",c'est juste de la daube dans la droite lign\u00e9e d'un \"Transporteur\",\"Taken\"ou \"Banlieue 13\".", "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premi\u00e8res minutes de Orange M\u00e9canique dilat\u00e9es sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisit\u00e9es par Korine \u00e0 la sauce ann\u00e9es 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laiss\u00e9 place \u00e0 des papys lubriques d\u00e9guis\u00e9s en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esth\u00e9tique se r\u00e9sume \u00e0 du filmage-r\u00e9alit\u00e9 enfilant des sc\u00e8nes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite \u00e0 des ricanements malades, des rengaines obs\u00e9dantes et limit\u00e9es, de la logorrh\u00e9e sans queue ni t\u00eate surgissant par bribes po\u00e9tiques ( hummm....) et des explosions de p\u00e9tard et de d\u00e9bris. Sur le plan \u00e9motionnel c'est une r\u00e9ussite compl\u00e8te puisque Korine parvient - avec une \u00e9conomie de moyens \u00e9vidente d\u00e8s les premi\u00e8res secondes - \u00e0 flanquer un malaise d'une rare intensit\u00e9 en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre \u00e0 plus d'un niveau d\u00e9range ad nauseam et ne s\u00e9duit jamais, m\u00eame dans son incontestable ma\u00eetrise de la cam\u00e9ra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement d\u00e9l\u00e9t\u00e8re se d\u00e9gage de cette vid\u00e9o hallucinante et hallucin\u00e9e, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodaf\u00e9 white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose \u00e0 transmettre... Efficace mais profond\u00e9ment d\u00e9bile et perturbant.", "Et si, dans les 5 premi\u00e8res minutes du film, la path\u00e9tique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme \u00e0 deux balles\u2026 ? Et une fois ce \u00ab train \u00bb arriv\u00e9 en gare, qui peut croire honn\u00eatement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est ax\u00e9 sur ce moment\u2026 Seule le petit d\u00e9lire suicido-ferroviaire final d\u2019Anna est \u00e0 la hauteur. P\u2026 de train !" ] }, "model": { "file": "model.pkl" }, "model_format": "pickle", "task": "tabular-classification", "use_intelex": false } }