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scénario et jeux d'acteurs nous donnent l'impression que le film a été tourné au début des années 80. PLV : beaucoup d'acteurs connus
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Beaucoup d'action, des gars insensibles donc des combats plus longs, une histoire d'amour, etc... Malheureusement quelques incohérences
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Super surprise ! Je ne m'attendais pas à ça ! Les comédiens (d'habitude ils m'énervent un peu…) sont juste formidables. C'est super drôle, on a une plongée dans les années 80, qui nous rappelle à tous des souvenirs, et on a envie de manger des Fizzy Pazzi en sortant !
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Un film excellent fidèle au jeux je le recommande fortement. En espérant qu'il y est une suite... ; )
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Petite découverte, je ne connaissais absolument pas ce film. Ce fut finalement une belle découverte. Au départ, nous suivons le quotidien d'un cirque commençant sa saison. Eblouis par les numéros et les magnifiques costumes. Puis ce greffe différentes problématiques qui semble un peu tiré par les cheveux mais finalement tout se rejoint. Une belle aventure, là où on ne l'attendait pas vraiment. Une sorte de "Show Must go on" sans fin. C'était également une institution fort différente dans les années 50, les parades en ville,... on se laisse facilement gagné par l'esprit du cirque et par notre attachement aux personnages. Alors certes, il y a une pseudo histoire d'amour, qui semble prendre beaucoup de place mais au final s'est bien plus. L'histoire est prenante et intéressante, la réalisation très belle en particulier les costumes et les décors. Charlton Heston est une fois de plus convaincant dans le rôle du grand patron du cirque, lui vouant sa vie mais pensant également à l'amour qu'il porte à Holly. Ce n'est pas un de ses plus grands rôle mais sa ne l'empêche pas d'être un grand acteur. Le casting forme une équipe attachante et dont on ne souhaite pas l'absence. Et le grand final est magnifique, même si une fois de plus l'industrie américaine privilégie les Happy end. En tout cas j'ai passé un très bon moment, et une belle découverte de plus dans ma filmographie. Je vous le conseil si vous avez l'occasion de le voir.
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Les films roumains récents distribués en France donnent tous la même vision de ce pays : triste, incapable de se réjouir de sa Révolution, et fatigué, très fatigué. Comme si le renversement du régime communiste n'avait servi à rien. La mort de Dante Lazarescu montrait le manque criant de solidarité, l'évaporation de la chaleur humaine. Comment j'ai fêté la fin du monde, dans un registre tout de même plus gai, présentait des personnages ayant beaucoup de mal à tourner la page, marqués par une sorte de fatalité. Celui ci est le plus drôle des trois, et pourtant terriblement mélancolique. Les trois personnages sont pitoyables et à force de se prendre au sérieux, deviennent des clowns lugubres et loufoques à la fois. Le présentateur tente d'élever le débat avec des allusions philosophiques, mais revient sans cesse à sa question complètement théorique : le soulèvement populaire dans la petite ville a-t-il eu lieu avant ou après la diffusion à la télévision nationale de la destitution de Ceausescu... Le petit grand-père, invité de dernière minute, ignoré du présentateur, passe son temps à fabriquer des bateaux en papier et lorsqu'on lui donne enfin la parole, il donne une vision tout à fait anecdotique de sa révolution. L'autre invité, professeur et alcoolique, prétend s'être révolté avant tout le monde, ce que les téléspectateurs contestent en téléphonant à l'émission. Avec un sens du cadrage très pointu, un montage parfaitement maîtrisé pour donner une impression de fausse lenteur, un refus du pathos, le réalisateur signe là une oeuvre très originale, subtile, politique et sociale à l'origine, et finalement poétique.
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J'ai découvert Fruit Chan par ce film ainsi qu'avec Durian Durian. Quelle belle surprise pour ma part. on bouge dans la réalité de Little Cheung constamment, non sans un humour délicieux. Rien de sirupeux ici, on reste dedans du début à la fin aussi simplement que le film a commencé. Que c'est agréable! Il me tarde le prochain film de Fruit Chan Génial!
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Assez ambitieux avec sa structure en actes et sa tragédie familiale sur fond de western post-apocalyptique, "Young Ones" reste malheureusement un objet froid et aride, où les sentiments ont bien du mal à s'exprimer.
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Beau à en pleurer. Mise en scène hallucinante, photographie magistrale , scénario envoutant , acteurs brillants , ... Un film énorme.
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Ce soir, j'avais envie de me regarder une comédie romantique... Ce DVD traînait depuis quelques semaines chez moi, alors je me suis lancé. Et j'avoue avoir été agréablement surpris. Rien de bien révolutionnaire dans ce film, mais somme toute j'ai passé un bon moment. Il faut dire que les acteurs (Streep et Thurman, en particulier) sont réellement attachants, bien que le scénario soit assez prédictible... Par ailleurs, la musique de la bande-originale comporte quelques morceaux agréables (Rufus Wainwright, Ray LaMontagne, entre autres). Enfin, les quelques scène de comédie pure (la scène de la grand-mère et de sa poêle, qui revient plusieurs fois au long du film, est hilarante) ou le rôle des personnages secondaires (Jon Abrahams, qui entarte les filles qui le plaquent dès le premier soir...) sont d'autant plus de bonnes raisons de regarder au moins une fois ce film...
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Mads Mikkelsen ... Tout ce qu'il touche est or, tout particulièrement dans ce rôle ou on retrouve avec grand plaisir ce qui fait le style danois :le rythme, l'image, la sobriété font indubitablement penser à Pusher, même si le theme en est à mille lieue. J'en veux encore, messieurs et mesdames les réalisateurs scandinave :)
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Pourquoi le dire ? (2010) se focalise sur une seule question, vieille comme le monde : "Qu'est ce qui pousse un homme d'âge mur à avoir une relation avec une jeune fille ?", et la première erreur aura été de ne pas en faire un documentaire "réel", au lieu de cela, Hélène Duchemin choisie d'en faire un documentaire fictionnel dramatique interprété par des comédiens (sacrilège !), car au final, on a du mal à se sentir concerné, on y croit beaucoup moins, d'autant plus que le film accumule des longs dialogues sans fin et qui souvent, ne mènent à rien. Au niveau de la mise en scène, c'est catastrophique, on a l'impression que le cadreur est atteint de la maladie de Parkinson, incapable de tenir la caméra, les plans sont ratés, voir inexploitables dans certains cas, bref, rien de très professionnel !
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Avec Cerise se trouvent cristallisés les malheurs de l’adolescence et ceux générés par une crise politique, de sorte à peindre la révolte intérieure sur fond de révolution. Le principal problème, c’est que la juxtaposition ne fonctionne jamais : les tensions politiques semblent accolées au récit sans véritablement le porter ou le dévier. Et du côté du récit, la vulgarité assène le spectateur. La jeune protagoniste centrale s’avère tellement antipathique et détestable qu’on suit ses mésaventures avec un désintérêt croissant. On ressort de Cerise avec l’impression d’une bouillie indigeste où seraient compilés Paulette – précédent film du réalisateur – et les pires clichés du 93 et de l’Ukraine, à la sauce Borat. Ces clichés, parlons-en d’ailleurs. Une gamine de banlieue forcément vulgaire, forcément habillée en prostituée, forcément idiote et vaine, qui retrouve le droit chemin après un séjour chez des Ukrainiens forcément mafieux, forcément entourés de prostituées, forcément dépourvus de tout sentiment. La démarche sonne aussitôt présomptueuse : faire évoluer des clichés qui, sans ces circonstances croisées, seraient restés au stade primitif de leur état. Car mettre en scène la vulgarité de manière si complaisante – cf. générique de début – revient à épouser cette même vulgarité. Un récit d’apprentissage nul.
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Quand la France des années 70 redécouvrait la campagne, la ruralité plus exactement. Il y a eu quantité de films qui se placent sur ce même point ("La gueule ouverte" sorti la même année, "Moi, Pierre Rivière..." un peu plus tard) par des cinéastes profondément ancrés dans la culture de ce pays. Pourtant Eustache ne place pas ce film sous le signe d'une franchouillarderie inique, il charge d'une poésie rare les endroits les plus triviaux, place ses jeunes acteurs sous le chaperon de la cruauté, de l'accession au verbe, de la connaissance de l'être social. Le film est cruel, forcément, mais jamais sans le vouloir, et jamais de manière continue. Au bout d'un moment il efface sa propre dimension temporelle, on ne sait plus si le film dure 2 heures ou 4, on voudrait qu'il ne s'arrête jamais.
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Après quelques films très noirs, Lucas Belvaux (Rapt, 38 témoins) se tourne vers la comédie romantique. Enfin, c'est ce que laisse entendre la bande-annonce. Le philosophe parisien rencontre la petite coiffeuse d'Arras. En grattant un petit peu, ce télescopage de deux mondes, ceux de Kant et de Jennifer Aniston, rencontre de deux êtres que tout oppose, va très rapidement s’avérer être presque aussi...
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Un gros navet. Affreux. Un vide sidéral. Failli partir en cours de route (à mi chemin j'avais ma dose de trop plein) mais je me suis mis à somnoler et finalement suis resté jusqu'au bout. Mais ce fut long (mais long !) d'une langueur monotone et d'un mortell ennui. Pire , je n'ai rien compris! Une succession insipide de plans à l'image médiocre (pour enfoncer le clou) du gros grain de camescope d'amateur. Rien compris : aucune cohérence , récit inexistant (hormis les 5 dernières minutes narratives pour y voir un peu plus clair et encore). Dommage si le sujet a maintes (et maintes) fois été abordé, l'idée , elle, était originale , mais pas la manière malheureusement (comme l'avait si bien montré crosswind notamment ) a noter tout de même (et à mettre dans mon livre d'or) la danse de l'intro : magnifique (genre Pina Bausch) , c'était pourtant de bon augure pour la suite, mais c'est vraiment tout ce qu'il y a de bon dans ce désastre. Apathique et soporifique. A jeter. (sauf la danse).
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Un peu trop recherché, ce film manque de fluidité. A des moments il s'alourdit et perd de son mystère. Pourtant, l'ambiance louche attire le spectateur, mais ça ne dure pas longtemps, puisqu'il retombe directement dans l'ambiguité fatiguante et inutile.
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Film fondateur du sous-genre du film fantastique à sketchs, Au cœur de la nuit annonce la qualité et le défaut majeur d’une telle construction : Des histoires courtes, comparables à un assemblage de courts-métrages, dans lesquels on rentre rapidement et sans longueurs, mais une inégalité qualitative entre les différents segments. Ainsi, même s’ils ont en commun de réunir de grands cinéastes et acteurs de l’époque, parmi les cinq récits qui composent ce film, seuls ceux du miroir hanté et de la marionnette vont rester des modèles scénaristiques du cinéma horrifique. Mais, d’un point de vue stylistique, chacun des réalisateurs qui ont participé au projet fait preuve d’une maitrise de la mise en scène qui donne tout à la fois un modernisme impressionnant et une dimension horrifique forte dans cette interrogation sur la limite entre la folie et le surnaturel. Avec une conclusion surprenante qui donne sens à ce format sans précédent, ce grand classique du cinéma britannique d’après-guerre réussit aisément son pari de s’inscrire dans les références incontournables du genre et même à faire entamer un virage à la production nationale.
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Seul les bons combats sanglants sauvent ce film du naufrage.
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On se fait très chier, il y a des ellipses cheloux et c'est parfois non-sensique (les méchants qui veulent faire exploser une montagne sans raison).
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Ça le coup de grâce c'est sur, ça l'a bien donné à la franchise, du coup les légendes sont bien mourutes, mauvais sous titre. Après ça partait pas gagnant : une suite déjà, ouille, d'un film d'horreur (donc là où le méchant est censé être fini et ne pas revenir hein ?), avec un casting de looser, une histoire bâclée qui n'a pas lieu d'exister si on réfléchit un peu, une trame prévisible à souhait et rien de passionnant à côté. Le pire c'est que c'est pas drôle, pas assumé, et que ça se prend au sérieux (enfin ça essaie), donc on ne peut même pas les ranger sur l'armoire à nanars, trop naze.
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Sylvester Stallone s'offre la lourde tache de donne une suite au film de John Badham, je parle bien entendu de La fièvre du samedi soir. Après le carton populaire tout comme sa BO du fameux groupe Bee Gees sans oublier l'acteur John Travolta, voici Staying Alive. Bon ça craint cette suite n'a aucune valeur, John Travolta lui-même s'enlise ou vais-je dire plutôt qui se foule la cheville. Il perd toute force de sa première prestation qui était tout simplement accrocheuse et energisante, il y avait de l'impact venant de lui tout comme l'histoire. Ici oublier tout, c'est plat, au point de vous rappellez qu'il fut nominé au Razzie Awards comme pire acteur et il y a de quoi. La seule chose qui soit valable sont les deux dernières minutes de la fin ou l'on retrouve le panache tant oublier. En gros ce Fame de Stallone ne brillera pas.
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ce film je le catégorifierais dans le genre navet catastrophe-apocalyptique-sympathique. pas seulement parce qu'il annonce la fin du monde mais aussi a cause de la facon apocalyptique-catastrophique dont il a été fait. le scenario absolument peu crédible: un mechanisme dont le centre est stonehenge a été activé.. toutes les 10 heures un champs éléctromagnétique est envoyé a une pyramide ce qui produit une eruption titanesque jusqu'au grand boum final. les dialogues parfois surréalistes et hallucinés et les quelques scenes d'action ne sauve pas le film mais contribue a ce qu'on se marre plutot qu'on dorme bref, ne regardez ce film que si vous voulez vous moquer et que vous n'avez rien d'autre a faire.
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Sublime film. Scénario très bien écrit. L.Bekhti et E.Baer , elle avocate et lui musicien rebelle de gauche , couple improbable mais fusionnel. Dans notre époque troublée , tout le monde devrait voir ce film , pour avoir plus de tolérance et de l'amour. A visionner en groupe et famille.
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Le réalisateur Belge Benoît Mariage nous envoie un véritable OVNI cinématographique. Seul problème : Le réalisateur veut trop de diversifier dans multiples registres : passer de la comédie au drame en passant par le cinéma d'auteur. A force de vouloir multiplier les facettes d'un film, on finit vite par se casser la figure. C'est le cas de ce film dont les scènes sont plus longues qu'autres choses et les personnages insignifiants. Le seul point positif de cette comédie dramatique est peut-être les répliques de Benoît Poelvoorde qui a pour but de rentrer dans le livre des records à tout prix. Film très décevant et ennuyeux bien qu'il ne soit pas long (environ 1 heure 30).
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Un vrai galop d essai qui ne laisse rien présager à ce stade la carrière qui va suivre, mais ce film est la genèse de son créateur de son cinéma... Un brouillon mal fait maladroit mais pour autant on y ressent son énergie ses personnages sa passion de la musique ses thèmes le tout manque de finesse de continuité mais son New York a déjà une âme une odeur tous comme des références à son cinéma ses origines ... Avec l apparition de la mama Scorsese !! Le film reste quand même difficile à voir aujourd hui pour des non initiés il vieillit très mal.... Mais on ne peut pas voir ce film autrement que un court métrage fait et refait à plusieurs reprise avec toutes les erreurs de jeunesse de rythme et de scénario d un futur géant du cinéma !!!
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Ridley Scott est un réalisateur d'exception. Ce qui le démarque c'est son talent d'adaptation à tous les genres du cinéma. On voit par exemple Blade Runner, un classique des films de science fiction des années 80, American Gangster, film sur la mafia ou encore Black Hawk Down qui raconte une mission spéciale des forces armés américaines... Gladiator est son chef d'oeuvre. Le scénario est crédible, les acteurs sont très bons, même Russel Crowe qui est remarquable dans ce rôle, et on ne s'ennuie pas pendant ces 2h40, ce qui est essentiel. Les décors et les costumes sont géniaux, fidèles et réalistes, rendant cette expérience encore plus plaisante. N'en existant pas une masse, on peut dire que Gladiator est le meilleur film du genre Péplum. A VOIR sans hésiter!! Pour ceux qui auraient aimé ce film, la Série Spartacus est très semblable, et elle est tout aussi passionnante.
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Franchement ? Moyen. Devant tant d'unanimité, je me suis dit que cela ne pouvait être que génial, ou tout au moins très bon, allez, disons : bon. Mais bof... Le sujet est original, les acteurs crédibles, mais l'histoire ne m'a jamais "emporté", et j'y ai trouvé pas mal de longueurs, jusqu'à regarder combien de temps il reste. Je fais beaucoup confiance aux étoiles des spectateurs, considérant "qu'il n'y a pas de fumée sans feu". Et c'est souvent le cas, mais là, non : très moyen selon moi. Ah si !!! Belle musique... mais ça ne fait pas tout.
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N'importe qui peut faire n'importe quoi à n'importe qui, que tout le monde est content. C'est un film agréable à regarder avec une Rachel McAdams toujours aussi plaisante mais vraiment déçu de la fin qui gâche tout le scénario pourtant intéressant! 2/5
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Film noir comme Hollywood savait si bien les faire, "Le Dahlia bleu" garde aujourd'hui encore un impact assez fascinant sur le spectateur. Que ce soit dans sa mise en scène stylisée et racés au pissible ou encore son ambiance assez unique, le film ne manque pas de captiver notre attention pendant les 90 minutes. Hélas, et c'est pourtant rare dans un genre aussi rigoreux que le film noir, le scénario, bien que joliment écrit et rendant de manière assez forte les relations entre les différents personnages, souffre d'incohérence et de longueur parfois, à l'image d'une fin bavarde et assez lassante. On pense d'ailleurs un peu au "Grand sommeil", un cran en dessous. Mais c'est finalement peut-être aussi cela qui renforce le charme de ce film, qui, malgré ces quelques défauts, n'en demeure pas moins un étonnant moment de cinéma, certaines scènes restant même dans les mémoires tant elles brillent par leur maitrise et leur brio. Bref, un film plus que recommandable, qui saura nous subjuguer du début à la fin. Envoutant.
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Ce film laisse songeur, car ce genre de situations existent, le film montre bien que il y a un âge où l'on est plus influençable et que c'est le moment où les requins passent à l'action, je ne sais pas si ce film fait de la prévention, tout ce que je sais c'est que j'ai été subjugué par les actrices, les rôles, la réalisation, ses personnages qui semblent tellement vrai qu'on croirait les connaître ! ce film fait peur car cette histoire peut arriver à n'importe qui, en tout cas, ce film est très très bon !
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Quelle surprise de cet automne ! Quelle agréable surprise que cette suite de l'histoire de Jean Christophe et de Winnie ! On y retrouve tous les personnages de l'histoire, un Tigrou plus bondissant que jamais, un Bourriquet dépressif à souhait et à mourir de rire et un Winnie d'une tendresse inouïe face à Jean Christophe devenu... grand. La corde émotionnelle est très forte, on ri bien sur de leurs mésaventures, mais on a aussi les larmes aux yeux de tant de douceur et de tendresse dans le rapport entre l'univers de Jean Christophe, Winnie et tous ses compagnons. A voir, a revoir mais à ne surtout pas manquer, un véritable délice qui dure 1h45 mais qu'on ne voit pas passer
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J'ai tourner dans ce film en tant que figurante .. j'etais petite dans le film on me voit taper au carreau de la boulangerie avec un vieil homme .. j'ai vraiment aimer mais malheuresement je n'est pu la video et g pas moyen de retrouver le film..
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Mon dieu !!!!!!! Ce film à sacrément vieilli, l'humour devient vite lourd, insupportable, Fernand Raynaud nous sort des tonnes de grimaces forcés, la mise en scène est inexistante, les gags sont dépassés, la musique est indigente, le scénario (il y en a un ???). A la limite du divertissant.
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OEdipe au féminin, "Petra" n’a pas fini d’interroger nos sphinx intérieurs. Le film est un bon thriller rempli d'émotions
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La première moitié du film est consacrée plus aux chevaux qu'aux humains. Le jeune acteur de 20 ans semble plus âgé que son âge, et j'ai eu du mal à m'imaginer que c'est un ado. La scène de la chanson de Perret au bord de l'eau est ridicule et prend 4 minutes qu'il aurait mieux fallu consacrer à une scène forte sur la relation entre cette mère et son fils. Nous avons des explications, des bribes de dialogues ci et là, mais malgré cela on ne comprend rien, car il n'y a pas de sensibilité, pas d'émotions, à part les colères du fils. Virginie Efira n'incarne absolument pas cette mère courageuse mais anxieuse et désireuse de réparations Il se trouve que j'ai lu le roman. Comment peut-on avoir envie d'adapter un roman et le vider entièrement de sa sève ? Il est pourtant basé sur la relation difficile entre cette femme et son fils, il y a une teneur affective et psychologique intense, une relation qui se renoue petit à petit et suffisemment de force pour en faire un film profond, à la place de ce films sur les chevaux et le talent vocal modeste de Virginie Efira......
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Expliquez-moi l'interet de poser sa caméra, et de traiter le temps de cette façon si c'est pour décrire un envirnnement froid et hostile, jamais beau graphiquement? Expliquez moi pourquoi filmer un foetus en gros plan pdt 1 ou 2 minutes? J'comprends tout à fait l'interet d'un "Los Bastardos" dans son traitement "temps réel" du temps qui appuie viscélarelement l'impact sur le spectateur de la cruauté du dénouement. Mais là, je ne vois pas, si ce n'est pour se faire acclamer pour un film d'auteur qui veut volontairement ennuyer son spectateur.
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Denis Lavant en fait des caisses. La réalisatrice s'est prise pour David Lynch, la musique est continuelle et vraiment gênante. Enfin je n'ai pas aimé du tout. Ça sonne faux et creux. On dirait un long clip avec de la fausse poésie plaquée non-stop. Un brouillon d'eraserhead, de jour de fête et de freaks tout ca mal mélangé, mal joué, passez donc votre chemin.
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Un rythme bien trop lent et un Ashton Kutcher bien trop nul!
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Monsieur Duchovny vous êtes aussi piètre acteur que réalisateur, ou tout du moins pour ce film. Une histoire déja vue et revue d'adolescence, avec une star dans le rôle de l'arriéré, et quelques sentiments pour faire passer le tout...si vous cherchez un film prêt à vous surprendre, passez votre chemin.
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Complètement différent des films de la série Conjuring, "La nonne" s'apparente beaucoup plus aux films d'horreur old school, façon Hammer: un prêtre et une apprentie religieuse, envoyés par l'église pour enquêter dans une lugubre abbaye perdue au fin fond de la Roumanie...J'ai adoré retrouver ce genre d'ambiance, digne des Dracula de mon enfance! Les décors sont somptueux, ténébreux et lugubres à souhait, et si on n'est pas dans l'atmosphère paranormale oppressante des deux premiers volets, et plus dans l'horreur graphique et gore, avec des visages putréfiés, du sang qui gicle, le film possède d'autres qualités appréciables, et spécialement une atmosphère immersive qui nous coupe totalement du monde moderne pour nous plonger dans un univers gothique à souhait. J'ai dejà envie de le revoir!
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Alors franchement pour le moment c'est le meilleur films de Noël pour moi, et les acteurs sont plutôt bon, et l'histoire et vraiment cool, je le conseil vraiment il est cool.
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Beur sur la ville réunit à lui même toutes les lacunes d'un film français médiocre. Les acteurs sont amateurs, nuls, moches, beurs et surement handicapés mentalement (voir plus pour certains). Le scénario est... où??? J'ai vu ce film cela fait trois semaines, la seule chose dont je me rappelle est de lui mettre 0/20. Une honte à nôtre pays! ----Novembre 2013----
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