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Guillaume Logiest
Guillaume dit « Guy » Logiest (1912-1991) était un militaire belge, résident spécial de 1959 à 1962 et Haut Représentant (1962) du Rwanda colonial. Sous sa direction, la structure politique initia les élections démocratiques de 1962 qui menèrent à l’indépendance du pays. Biographie Guillaume Logiest est né en 1912 à Gand, en Belgique, d’une famille francophone. Sa famille et ses proches le surnommait Guy. Logiest entra dans l’armée dans son jeune âge et y fit toute sa carrière. Il alla au Rwanda en tant que l’officier militaire le plus haut placé. De 1959 à 1962, il fut résident militaire spécial, et Haut Représentant (1962) du Rwanda. En 1959, la majorité Hutu s’empara du pouvoir appartenant alors à la monarchie Tutsi et qui contrôlait déjà une bonne partie du pays depuis des centaines d’années. Bien que minoritaire, le peuple Tutsi avait été favorisé par les administrations coloniales allemandes et belge. Durant les années pendant lesquelles le Rwanda passait de la règle coloniale à l’indépendance, Logiest aida à la création d’une structure politique pour l’administration. Cela incluait la préparation pour des élections, avec les résultats attendus que la majorité Hutu allait prendre le pouvoir. Jusqu’à l’indépendance totale du Rwanda en 1962, Logiest continua de servir en tant qu’officiel représentant la Belgique le mieux gradé au Rwanda. Références Militaire belge du XXe siècle Diplomate belge du XXe siècle Naissance en 1912 Naissance à Gand Histoire du Rwanda Décès en 1991
Franz Pleyer
Franz Pleyer, né le à Vienne en Autriche-Hongrie et mort le à Hyères (France), est un joueur et un entraîneur de football. Né Autrichien, il a par la suite été naturalisé français sous le nom de François Pleyer. Carrière Après avoir commencé sa carrière à Vienne au Brigittenauer AC, Franz Pleyer rejoint la France dès ses 22 ans, recruté par le Stade rennais UC. Il y restera tout le reste de sa carrière. En Bretagne, il vit une première saison difficile, mais s'impose dès la seconde comme un titulaire indiscutable en défense. Le 5 mai 1935, il dispute avec son club la finale de la Coupe de France, perdue contre l'Olympique de Marseille. En décembre 1936, il obtient la nationalité française. Son prénom est alors changé en François, version francisée de Franz. En 1939, la guerre vient mettre un terme à sa carrière de joueur, François Pleyer s'engageant dans l'armée. En 1945, François Pleyer revient au Stade rennais UC, où il occupe le poste d'entraîneur-joueur. Il demeurera en place pendant sept saisons, jouant encore un match en défense en mai 1951, à l'âge de 40 ans. Sous sa houlette, le club réussira à atteindre la quatrième place du championnat en 1948-1949, son meilleur résultat depuis l'introduction du professionnalisme en 1932. À la fin de la saison 1951-1952, il est évincé et remplacé par l'Espagnol Salvador Artigas. Le club descendra en Division 2 à la fin de la saison suivante. Par la suite, François Pleyer prend des responsabilités au sein du Stade rennais, devenant entre 1959 et 1970 secrétaire du club et recruteur. Palmarès 1935 : Finaliste de la Coupe de France Références Liens externes Footballeur autrichien Footballeur français Entraîneur français de football Joueur du Stade rennais Entraîneur du Stade rennais Naissance en Autriche-Hongrie Naissance à Vienne (Autriche) Naissance en février 1911 Décès en septembre 1999 Décès à Hyères Décès à 88 ans
Alpine A523
L'Alpine A523 est la monoplace de Formule 1 engagée par l'écurie française Alpine F1 Team dans le cadre de la saison 2023 du championnat du monde de Formule 1. Elle est pilotée par le duo français constitué d'Esteban Ocon et de Pierre Gasly. Présentation Les premiers tours de piste de l'A523 se déroulent le sur le circuit de Silverstone où Esteban Ocon et Pierre Gasly effectuent une vingtaine de tours pour une distance totale de . La monoplace est présentée officiellement le à Londres. Tout comme la saison précédente, l'Alpine A523 arbore deux livrées au cours de la saison ; une rose pour les trois premières manches à Bahreïn, à Djeddah et à Melbourne et une bleue pour les manches suivantes. Sur un plan technique, de nombreux changements sont apportés à la monoplace : le nez ainsi que l’aileron avant sont surélevés, tout comme la sortie de refroidissement arrière. Par ailleurs, la partie centrale du ponton à rampe descendante est davantage creusée afin d’orienter le flux d'air vers l'arrière. Le système de refroidissement est réduit et la taille des prises d'air diminuée. Les ailettes des rétroviseurs sont divisées en trois parties. La voiture est, cette fois-ci, équipée d’une suspension à poussoirs à l'arrière, ce qui contribue à réduire le poids de la monoplace. Résultats en championnat du monde de Formule 1 *Le pilote n'a pas terminé la course mais est classé pour avoir parcouru 90% de la distance. Notes et références Liens externes Modèle de Formule 1 Renault F1 Team Formule 1 en 2023
Mohsen Andalib
Mohsen Andalib est un joueur iranien de volley-ball né en 1983 à Ispahan. Il mesure et joue spiker. Clubs Liens externes Pr FIVB worldofvolley profile Naissance en juillet 1983 Joueur iranien de volley-ball Naissance à Ispahan
Le Phare (livre)
Le Phare (Hello Lighthouse, trad. litt. : « Hello le phare ») est un livre illustré écrit et dessiné par Sophie Blackall. Le livre raconte l'histoire d'un phare et de son dernier gardien et a été bien accueilli par la critique, remportant la médaille Caldecott de 2019 pour ses illustrations. S'inspirant de diverses sources, Blackall a travaillé dur sur la conception du livre. L'écriture et les illustrations sont censées se compléter les unes les autres en notant le changement et la cohérence de la mer. Contexte et publication Lors d'un marché aux puces en 2013, Blackall tombe sur une photo d'un phare à l'extrémité nord de Terre-Neuve. Cette image reste dans l'esprit de Blackall, même si elle travaillait sur à l'époque, et servirait éventuellement d'inspiration pour Hello Lighthouse. Lors de l'écriture de l'histoire, il était important pour l'auteure de se concentrer non seulement sur les actes héroïques des gardiens, mais aussi sur la façon dont leurs femmes étaient « tout aussi courageuses ». Elle s'est également inspirée de deux de ses livres préférés, (1979) et (1942), qui décrivent également le passage du temps. Elle savait très tôt dans le processus de création qu'elle alternerait des scènes intérieures et extérieures. Blackall a travaillé méticuleusement pour concevoir le livre avec son éditeur, un effort noté par les critiques . Écrire le livre au lendemain de l'élection présidentielle américaine de 2016, une période qui a été l'une des « périodes les plus turbulentes que j'aie jamais connues », a été « un grand réconfort pour s'évader dans ma peinture, pour me transporter sur une petite île en mer ». Le livre a été publié le . Sa traduction française est publiée pour la première fois en aux Éditions des Éléphants. Résumé Le livre s'ouvre sur les lignes suivantes : « Sur le plus haut rocher d'une petite île au bord du monde se dresse un phare. Il est conçu pour durer éternellement. » À ce phare vient un nouveau gardien qui s'y installe. Le phare devient sa maison et il tient un journal. À travers le livre, il vit sa vie, se marie, sauve les survivants d'un naufrage, tombe malade et voit naître un enfant. Pendant que cela se produit, les événements de l'océan sont également notés, accompagnés de la même phrase répétée « Hello !... Hello !... Hello ! » À la fin de l'histoire, le phare est automatisé et le gardien et sa famille déménagent dans un cottage sur le continent où ils peuvent continuer à voir le phare qui continue de briller. Illustrations et thèmes Blackall a illustré le livre à l'encre de Chine et à l'aquarelle. Les illustrations sont lumineuses et détaillées et s'inspirent de l'art traditionnel ou à l'ancienne pour créer un style unique. Ce style se marie bien avec le texte nostalgique, dont la parcimonie évoque la bûche entretenue par le gardien, et le long format vertical du livre évoque le phare lui-même . La répétition et même le rythme du texte contribuent également à renforcer les routines des personnages . Les critiques ont noté le rôle que joue la constance et le changement dans la mesure où le phare reste le même, même en étant dans le même espace sur différentes pages, alors que le gardien vit des changements dans sa vie et que la mer elle-même passe par différentes phases . La mer reste présente en arrière-plan tout au long du livre, même sur des pages consacrées à des événements spéciaux de la vie des habitants du phare. Les cercles sont également un motif répété dans les illustrations . Plutôt qu'un triste regard en arrière, le livre est plutôt une célébration de cette époque. Accueil et récompenses Le livre a reçu de bonnes critiques de , du Bulletin of the Center for Children's Books , de Kirkus Reviews, de Publishers Weekly qui l'a également nommé meilleur livre de 2018 en l'appelant « un bijou de création » , et le School Library Journal où la critique Elizabeth Blake a écrit que « les lecteurs se sentent comme s'ils étaient à l'intérieur du phare avec le gardien, entourés par la beauté et le drame de la mer toujours changeante » . Le New York Times, qui a cité le livre sur sa liste des livres remarquables de 2018, fait également l'éloge du livre avec l'écrivain Bruce Handy notant « Je serai surpris si un livre d'images plus exquis est publié cette année » . Le livre remporte également la médaille Caldecott de 2019. La présidente du comité du prix, Mary Fellows, a déclaré : « Les enfants seront ravis de se plonger dans les découvertes captivantes que chaque nouveau regard sur Hello Lighthouse apportera » . Publication Références Album illustré Livre paru en 2018 Phare dans l'art et la culture
انتخابات غير مباشرة
الانتخابات غير المباشرة هي عملية انتخابية لا يقوم المصوتون في الانتخابات بالاختيار بين المرشحين لمنصب ما، ولكنهم يختارون الأشخاص الذين سيختارون بدلاً منهم. فهذا النظام أحد أقدم أشكال الانتخابات ولا زال مستخدمًا حتى اليوم في اختيار العديد من مجالس الشيوخ والرؤساء. وتستخدم هذه الآلية أيضًا في انتخابات العديد من اتحادات نقابات العمال وتستخدم أحيانًا في المنظمات المهنية والمدنية والمنظمات الأخوية. تضم بعض أمثلة الكيانات والأشخاص المنتخبين انتخابًا غير مباشر: يُنتخب رئيس الولايات المتحدة عبر آلية الانتخاب غير المباشر، فيختار المصوتون المجمع الانتخابي، الذي يختار بدوره الرئيس. ويُنتخب رئيس ألمانيا بطريقة مشابهة من خلال المؤتمر الفيدرالي الذي يعقد لهذا الغرض. الهند ودول أخرى متعددة تختار رئيسها أو رئيس الدولة الشرفي من خلال البرلمان. الجمعيات البرلمانية في مجلس أوروبا ومنظمة الأمن والتعاون في أوروبا واتحاد أوروبا الغربية والناتو - في جميع هذه الحالات ينتخب المصوتون البرلمانيين الوطنيين الذين ينتخبون بدورهم بعضًا من أعضاء تلك البرلمانات للمشاركة في الجمعيات البرلمانية البوندسرات الألماني، حيث ينتخب المصوتون أعضاء البرلمان الذين يختارون بدورهم أعضاء الحكومة التي تعين أعضاءها في البوندسرات يمكن أن تعتبر معظم الهيئات المشكلة من مندوبين عن الحكومات الوطنية، مثل الجمعية العامة للأمم المتحدة، منتخبة انتخابًا غير مباشر (بفرض أن الحكومات الوطنية منتخبة ديمقراطيًا في المقام الأول) المجلس التشريعي (مجلس الشيوخ في البرلمان) في الهند ينتخب انتخابًا غير مباشر، ويتم ذلك إلى حد كبير من خلال المشرعين في الولايات؛ مانموهان سينغ كان عضوًا في المجلس التشريعي ولكن اختاره حزب الأغلبية في لوك سابها الرابعة عشر (المجلس الأدنى في البرلمان) لمنصب رئيس الوزراء (2004-)؛ وبهذه الطريقة لم يفز سينغ مطلقًا بمنصب رئيس الوزراء من خلال انتخاب مباشر أو انتخاب شعبي، بل تم تقديمه باعتباره "تكنوقراط"؛ كان مجلس النواب الأمريكي ينتخب انتخابًا غير مباشر من الهيئات التشريعية في الولاية حتى تم إقرار التعديل السابع عشر لدستور الولايات المتحدة عام 1913، بعد عدد من المحاولات على مدار القرن الماضي. انتخاب الحكومة في معظم الأنظمة البرلمانية - يختار المصوتون البرلمانيين الذين يختارون بدورهم الحكومة بما فيها رئيس الوزراء الأكثر تأثيرًا من بين أنفسهم تنتخب معظم الدول ذات النظام البرلماني الرئيس انتخابًا غير مباشر مثل (ألمانيا وإيطاليا وإستونيا ولاتفيا والمجر والهند وإسرائيل). في نظام وستمنستر، يصبح دائمًا في معظم الأحوال رئيس حزب الأغلبية في الحكومة رئيسًا للوزراء. ومن ثم يمكن القول إن رئيس الوزراء ينتخب انتخابًا غير مباشرٍ. في المملكة المتحدة يكون رئيس الوزراء غالبًا عضوًا في مجلس العموم، المجلس الأدنى، المجلس المنتخب من البرلمان في إسبانيا، يصوت مجلس النواب على سحب الثقة من مرشح الملك (عادةً ما يكون رئيس الحزب الذي يدير حزبه البرلمان) والبيان الرسمي السياسي لهذا المرشح، ويعد هذا مثالاً على الانتخاب غير المباشر لـ رئيس الوزراء الإسباني. يتم استخدام الانتخابات السياسية غير المباشرة في المناصب الوطنية الأقل درجة أيضًا. ففي الولايات المتحدة، كانت الهيئات التشريعية في الولايات تنتخب معظم أعضاء مجلس الشيوخ حتى عام 1913، عندما نص التعديل السابع عشر على إجراء انتخابات مباشرة لشغل تلك المناصب. وفي فرنسا، تكون انتخابات المجلس الأعلى في البرلمان، مجلس الشيوخ الفرنسي انتخابات غير مباشرة، حيث يطلق على المنتخبين اسم «المنتخبون العظماء» نواب منتخبين محليًا. يعد المجمع الانتخابي في الولايات المتحدة أحد أشكال الانتخابات غير المباشرة، حيث يناط بهذا المجمع اختيار الرئيس. ولكن نادرًا ما يغير الناخبون تصويتهم الفعلي عما تعهدوا بالتصويت له، ومن ثم لم يحدث هذا العامل أي فارق في الانتخابات. انظر أيضاً حكم غير مباشر ديمقراطية قاعدية مراجع انتخابات حسب النوع
Boituva
Boituva est une municipalité brésilienne de l'État de São Paulo et la Microrégion de Tatuí. Notes et références Municipalité dans l'État de São Paulo
Marc Willers
Marc Willers (né le à Cambridge) est un coureur cycliste néo-zélandais, spécialiste du bicycle motocross (BMX). Biographie Aux Jeux olympiques d'été de 2008, il est éliminé en demi-finales de l'épreuve de BMX. Il est sélectionné pour représenter la Nouvelle-Zélande aux Jeux olympiques d'été de 2012. Il participe à l'épreuve de BMX. Lors de la manche de répartition, il réalise le dixième temps des engagés. En quarts de finale, il termine premier de sa série et se qualifie pour les demi-finales. Lors de celles-ci disputées sur trois courses, il termine et des deux premières manches. Il ne prend pas le départ de la troisième manche et se classe huitième au général de sa série. Il est éliminé et ne dispute pas la finale réservée aux quatre premiers de chaque série. Palmarès en BMX Jeux olympiques Pékin 2008 du BMX Londres 2012 Éliminé en demi-finales du BMX Championnats du monde 2008 du championnat du monde de BMX 2009 du championnat du monde de BMX 2010 '' du championnat du monde de BMX 2011 Médaillé de bronze du championnat du monde de BMX 2013 Médaillé d'argent du championnat du monde de BMX Coupe du monde 2007 : vainqueur d'une manche (Fréjus) 2008 : 2009 : 2010 : 2011 : , vainqueur de deux manches (Londres et Papendal) 2012 : 2014 : 2015 : Notes et références Liens externes Coureur cycliste néo-zélandais Coureur de BMX Coureur cycliste aux Jeux olympiques d'été de 2008 Coureur cycliste aux Jeux olympiques d'été de 2012 Naissance en septembre 1985 Naissance dans la région de Waikato
Jean-Baptiste Huzard fils
Jean-Baptiste Huzard, né le à Paris où il est mort le , est un vétérinaire français. Biographie Fils de la libraire-éditrice Rosalie Huzard et du vétérinaire Jean-Baptiste Huzard, il embrassa la même profession que son père. Ayant suivi attentivement l'élevage du cheval, il étudia, en maintes publications, les méthodes de reproduction dans cette espèce et publia beaucoup d’articles de médecine vétérinaire dans le Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle, dans le Nouveau cours d’agriculture, publié chez Déterville, et dans les Annales de l’agriculture française. Dès l’année 1819, il fut attaché au Conseil de Salubrité comme membre adjoint, ainsi qu’à la Société royale et centrale d'agriculture, de la Société philomathique de Paris, et de plusieurs Sociétés savantes départementales. Il devint membre de l’Académie de médecine en 1841 et de l’Académie royale des sciences de Turin. Publications Notice sur les chevaux anglais, et les courses de chevaux en Angleterre, Paris, , 1817, in-8°. Recherches sur la construction du sabot du cheval, et suite des expériences sur les effets de la ferrure, traduit de l’anglais de , Paris, , 1817. Des assemblées agricoles en Angleterre, Paris, , 1819, in-8°. Esquisse de nosographie vétérinaire, Paris, , 1820, in-8°. Notice sur quelques races de chevaux, les haras et les remontes dans l’empire d’Autriche, Paris, , 1823, in-8°. Recherches sur le genre hirudo, Paris, Imprimerie de Fain, 1825, in-8°, avec figures. De la garantie et des vices rédhibitoires dans le commerce des animaux, Paris, , 1825, in-12. Notice sur les courses de chevaux, et sur quelques autres moyens employés pour encourager l’élève des chevaux en France, Paris, , 1827, in-8°. De l’enlèvement des boues et des immondices de Paris, considéré sous le double rapport de la salubrité et de l’économie dans les dépenses, Paris, , 1827, in-4°. De la culture en rayons des turneps ou gros navets, telle qu’on la pratique en Angleterre, Paris, , 1828, in-8° avec figures. L’Art de faire le beurre et les meilleurs fromages, d’après les agronomes qui s’en sont les plus occupés, avec Anderson, Twamley, Desmarets, Chaptal , Villeneuve, Paris, , 1828, in-8° avec figures lire en ligne. Ce qu’il adviendrait de l’agriculture en France avec le libre-échange : à l'occasion du Congrès central d'agriculture de 1847, Paris, , 1847, 2 fasc. 24-19, in-8°. Sources . Liens externes Vétérinaire français du XIXe siècle Traducteur français du XIXe siècle Traducteur depuis l'anglais vers le français Membre de l'Académie nationale de médecine Membre de l'Académie des sciences de Turin Membre de l'Académie d'agriculture (France) Naissance en mars 1793 Naissance à Paris Décès en avril 1878 Décès dans le 6e arrondissement de Paris Décès à 85 ans
لاوريانو
لاوريانو هي كومونا (بلدية) في مدينة تورين الحضرية في المنطقة الإيطالية بيدمونت، على بعد حوالي شمال شرق تورين.. تحد لاوريانو البلديات التالية: فيرولينجو و مونتو دا بو وسان سبيستيانو دا بو وكافاجنولو وكاسالبورجون وتونينغو. مراجع روابط خارجية الموقع الرسمي مدن وبلدات في بييمونتي
أنتوني ليونارد هاريس
أنتوني ليونارد هاريس هو جيولوجي بريطاني، ولد في 1935. مراجع وصلات خارجية جيولوجيون بريطانيون رؤساء جمعية لندن الجيولوجية مواليد 1935
Pozohondo
Pozohondo est une commune d'Espagne de la province d'Albacete dans la communauté autonome de Castille-La Manche. Géographie Histoire Administration Culture Commune dans la province d'Albacete
Kim Jung-min
Kim Jung-min est un footballeur international sud-coréen né le à Incheon en Corée du Sud. Il évolue au poste de milieu de terrain à Busan IPark. Biographie Formé en Corée du Sud, il signe pour le Red Bull Salzbourg le , pour jouer avec le FC Liefering, club satellite du premier. Il prend néanmoins aussi part à deux matchs en Ligue de la jeunesse de l'UEFA avec les moins de 19 ans du RB Salzbourg. Palmarès Corée du Sud Médaille d'or aux Jeux asiatiques en 2018 Finaliste de la coupe du monde des moins de 20 ans en 2019 Références Liens externes Footballeur international sud-coréen Joueur du FC Liefering Joueur de l'Admira Wacker Joueur du Vitória SC Naissance en novembre 1999 Naissance à Incheon
Martin Bernhardt
Martin Bernhardt, né le à Potsdam et mort le à Berlin est un médecin neurologue et neuropathologiste allemand. Biographie En 1867, il est reçu docteur en médecine de l'université de Berlin, où il a été l'élève de Rudolf Virchow (1821-1902) et de Ludwig Traube (1818-1878). I est ensuite assistant de Ernst Viktor von Leyden (1832-1910) à la clinique universitaire de l'université de Königsberg, puis à l'hôpital de la Charité de Berlin sous l'autorité de Carl Westphal (1833-1890). Après son service militaire et la guerre franco-prussienne, il se spécialise en neuropathologie à Berlin, où en 1882, il obtient le titre de professeur extraordinaire. Bernhardt a publié quelques ouvrages sur les maladies neurologiques et l'électrothérapie. En 1885, il devient rédacteur en chef du journal Centralblatt für die Medizinischen Wissenschaften. Éponymie : autre nom de la , qu'il a décrite avec le neuropathologiste russe Vladimir Karlovitch Roth (1848-1916), une affection commune traduisant l'atteinte du nerf fémoro-cutané. Syndrome de Vulpian-Bernhardt : forme clinique de la sclérose latérale amyotrophique touchant préférentiellement la ceinture scapuaire. Formule de Bernhardt : formule utilisée pour calculer le poids idéal d'un sujet adulte en kilogrammes en multipliant sa taille en centimètre par son tour de poitrine en centimètres et en divisant ce produit par 240. Publications Die Sensibilitätsverhältnisse der Haut; 1873 Beiträge zurSymptomatologie und Diagnostik der Hirngeschwülste; 1881 Electricitätslehre für Mediziner und Elektrotherapie 1884, (en collaboration avec Isidor Rosenthal (1836-1915). Erkrankungen der Peripherischen Nerven; 1895-1897. Références Notice biographique sur la Jewish Encyclopedia Neurologue allemand Neuropathologiste Naissance en avril 1844 Naissance à Potsdam Naissance dans la province de Brandebourg Décès en mars 1915 Décès à Berlin Décès à 70 ans
Vitesse radiale barycentrique de la Terre
La vitesse radiale barycentrique de la Terre, généralement abrégée en BERV (prononcé en français, en anglais) d'après l'anglais Barycentric Earth Radial Velocity, est la vitesse de la Terre, dans la direction d'un objet céleste observé donné, par rapport au barycentre du Système solaire. En pratique, le BERV est plutôt la vitesse d'un observateur à la surface de la Terre, dans la direction de l'objet observé, par rapport au barycentre du Système solaire. Le BERV prend alors en compte à la fois le mouvement orbital de la Terre autour du barycentre du Système solaire (le BERV au sens strict du terme) et le mouvement de rotation propre de la Terre. Détermination Notons O la position de l'observateur, A la position de l'objet observé, T le centre de la Terre et B le barycentre du Système solaire. Pour déterminer correctement le BERV à corriger dans la vitesse radiale mesurée depuis la Terre, quatre éléments doivent être connus : la position de l'objet observé par rapport à l'observateur : notons le vecteur unitaire allant de l'observateur vers l'objet ; le vecteur vitesse orbitale de la Terre par rapport au barycentre du Système solaire : ; le vecteur vitesse angulaire de rotation de la Terre autour de son axe : ; la position de l'observateur sur la Terre (laquelle inclut non seulement la longitude et la latitude mais aussi l'altitude). Définissons alors le vecteur vitesse de l'observateur à la surface de la Terre : où Le BERV (en réalité la vitesse radiale barycentrique de l'observateur) vaut alors : Utilisation Lors de l'observation en vitesse radiale d'un objet (étoile...), les valeurs mesurées sont généralement rapportées par rapport au barycentre du Système solaire, centre du référentiel dit « de Copernic » qui est « beaucoup plus galiléen » que le référentiel terrestre lié à l'observateur. Dans la mesure où ces observations ne sont pas faites depuis le barycentre du Système solaire lui-même, il faut corrigée la vitesse mesurée par rapport à l'observateur de la vitesse de cet observateur par rapport au barycentre du Système solaire. Mécanique céleste Vitesse
Dashanpusaurus
Dashanpusaurus (signifiant « lézard de Dashanpu ») est un genre éteint de dinosaures sauropodes du Jurassique moyen retrouvé en Chine dans la formation de Dashanpu. L'espèce type et seule espèce, D. dongi, a été décrite par Peng, Ye, Gao, Shu, & Jiang en 2005. Étymologie Le nom générique fait référence à la petite ville où les fossiles ont été retrouvés. Le nom spécifique a été donné en l'honneur de Dong Zhiming. Historique L'holotype a été retrouvé dans la sous-formation Shaximiao correspondant à la partie supérieure de la formation de Dashanpu, près de la petite ville de Dashanpu, Sichuan, Chine. Il est conservé par le Musée des dinosaures de Zigong. Description Ce dinosaure est connu par de nombreux spécimens, dont seulement deux ont été décrits jusqu'à présent. Le spécimen le plus complet (l'holotyp ZDM 5028) comprend une bonne partie de la colonne vertébrale, des côtes, un cubitus, la ceinture pelvienne, une patte arrière ; le paratype (ZDM 5027) est constitué des restes de 12 vertèbres dorsales, de côtes, de la ceinture pectorale gauche, de l'humérus et du radius gauche. Dashanpusaurus devait être un sauropode de taille moyenne à grande avec un long cou et (comme tous les sauropodes) des pattes cylindriques. Les vertèbres cervicales étaient courtes et la zone entre la ceinture scapulaire et le début du cou était composée de vertèbres avec des épines neurales fendues, comme de nombreux autres sauropodes du Jurassique chinois. Taxonomie Dashanpusaurus a été décrit pour la première fois en 2005 sur la base de restes fossiles de la formation de Dashanpu dans la région du Sichuan. La ville de Dashanpu n'est qu'à sept kilomètres de Zigong, la ville où les fossiles ont été trouvés. L'épithète spécifique, dongi, fait référence au paléontologue chinois Dong Zhiming (connu pour de nombreuses études sur les dinosaures). Dans l'étude de 2005 dans laquelle le matériau a été décrit pour la première fois, Dashanpusaurus a été comparé aux Camarasauridae, une famille de sauropodes Macronaria mieux connue par le bien connu Camarasaurus Nord Américain. Dans sa monographie sur Bellusaurus, Mo (2013) a classé Dashanpusaurus comme un eusauropode non néosauropode plus dérivé que Shunosaurus. Une paire d'articles ultérieurs publiés en 2022 a récupéré Dashanpusaurus en tant que macronaire basal, mais pas aussi étroitement lié à Camarasaurus qu'on le pensait à l'origine. Voir aussi Références taxinomiques Annexes Articles connexes Liste des dinosaures Notes et références Références Sauropoda Genre de dinosaures non aviens (nom scientifique) Saurischien non avien (nom scientifique) Dinosaure d'Asie Dinosaure du Jurassique moyen Taxon fossile décrit en 2005
Ambroise Vollard
Ambroise Vollard est un marchand d'art, galeriste, éditeur et écrivain français né le à Saint-Denis de La Réunion et mort le à Versailles. Il révéla Paul Cézanne, Paul Gauguin, Vincent van Gogh, Henri Matisse, Pablo Picasso. Avant-gardiste en matière d'art moderne, il se lia d'amitié avec les plus grands peintres de la fin du et du début du . Passionné du Père Ubu d'Alfred Jarry, il était fasciné par la littérature. Biographie Fils de notaire, le jeune Ambroise quitte son île natale pour poursuivre des études à Montpellier, mais c'est à Paris qu'il fera finalement son droit. Il y développe une passion pour la peinture qui l'amène à se lancer dans le commerce de dessins et d'estampes dès 1890 dans son appartement montmartois. Il ouvre sa première véritable galerie parisienne en septembre 1893, au 37 rue Laffitte, la galerie Vollard. Vollard expose par la suite de nombreux artistes majeurs comme Gauguin ou Matisse, ce dernier en 1904. Il en fréquente beaucoup d'autres, notamment Paul Cézanne ou Auguste Renoir, qui peindront son portrait, ainsi que les nabis. Il devient l'ami de Maurice de Vlaminck et contribue énormément à sa reconnaissance. Il se lance dans l'édition sous le nom de « Ambroise Vollard, éditeur », et publie de nombreux poètes dans des recueils illustrés par autant de grands maîtres. Fin 1895, il lance un album contenant neuf lithographies en couleurs, suite intitulée Les Peintres-graveurs, puis l'année suivante commence l'édition de l'Album d'estampes originales de la Galerie Vollard, qui comprend plusieurs séries. Vollard a publié 44 ouvrages illustrés et près de 80 gravures, notamment par le biais du tireur Auguste Clot. En 1897 et 1898, Alfred Sisley, Pierre Bonnard, Ker-Xavier Roussel et Édouard Vuillard, entre autres, exécutent à sa demande des lithographies en couleur. Il compte parmi ses clients de grands collectionneurs comme Gertrude Stein et son frère Leo, Ivan Morozov et Sergueï Chtchoukine, ou encore l'Américain Barnes. Il rencontre Alfred Jarry au cours de l'année 1900, dans le cadre de la préparation de l'Almanach du Père Ubu. À son contact, Vollard se découvre écrivain et commet, plus tard, notamment plusieurs variations, autour du personnage Ubu, à partir de 1917. C'est chez lui qu'a lieu en juin 1901 la première exposition, conjointement avec Francisco Iturrino, de Pablo Picasso, jeune peintre espagnol récemment installé à Paris (et qui peindra également son portrait). Vollard publiera aussi plusieurs ensembles de gravures de Picasso, dont Le Chef-d'œuvre inconnu de Balzac, en 1931, et, surtout, la Suite Vollard, forte de cent planches réalisées entre 1930 et 1937. Entre 1913 et 1918, Vollard convainc Auguste Renoir, déjà paralysé par une sévère polyarthrite rhumatoïde, de s'adonner à la sculpture en s'adjoignant la collaboration de Richard Guino, un jeune sculpteur d'origine catalane qu'Aristide Maillol, d'abord approché, a recommandé. Rémunéré par Vollard, Guino pour Renoir crée des œuvres majeures : Vénus Victrix, le Jugement de Pâris, la Grande Laveuse, le Forgeron. En 1914, la guerre oblige Vollard à fermer sa galerie parisienne. Par sécurité, il transfère ses tableaux dans la région de Saumur. Il ne rouvre qu'en 1919 après la fin des hostilités. du fait du percement du boulevard Haussmann en 1924, ce qui l'oblige à déménager dans le dans son hôtel particulier au 28 rue de Martignac, qu'il n'ouvre que sur rendez-vous. En 1930, il prend Marie Dormoy à son service comme secrétaire. Elle fera également fonction de dame de compagnie, jusqu'à la mort de Vollard en 1939, en l’accompagnant à Vittel où il se rend régulièrement en cure (Léautaud la soupçonnait d'avoir été sa maîtresse, comme elle l'avait été de l'écrivain André Suarès). Le , Le Réunionnais annonce la mort d'Ambroise Vollard dans un accident de voiture, peu après ses 73 ans. Il semblerait qu'alors qu'il dormait à l'arrière du véhicule, un cahot de la route ait précipité sur sa nuque une statue posée sur la plage arrière. Mais pour Paul Morand dans Journal inutile tome 2 p 292 sa mort serait lié au choc d'une casserole contenant du cassoulet installé à l'arrière de sa Rolls lors de l'accident. Distinctions 1911 : officier de l'instruction publique 1925 : chevalier de la Légion d'honneur Postérité Lorsque Ambroise Vollard meurt subitement en 1939, des projets en cours sont interrompus et le fonds d'estampes du célèbre marchand d'art intéresse beaucoup de monde, y compris aux États-Unis. Comme il n'a pas pris le soin de faire un testament, son inestimable collection de plusieurs milliers d’œuvres est dispersée ; cependant, la partie réservée à ses ayants droit étant inaliénable, ceux-ci doivent régler à l'État les frais afférents et, pour cela, mettent en vente certaines pièces. Certains de ses tableaux se retrouvent donc dans les plus grands musées du monde ou dans des collections privées. Accompagné de , Henri Marie Petiet, marchand et éditeur d'estampes, se rapproche de Lucien Vollard, frère d'Ambroise, puis découvre en la collection d'environ de ce dernier. Petiet acquiert finalement l'ensemble du fonds d'estampes de Vollard à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le dépôt de la Société générale Entre 1938 et , Vollard a comme secrétaire Erich Šlomović un étudiant de nationalité yougoslave. En , après la mort de Vollard et au moment de l'entrée en guerre, Šlomović, confie aux coffres d'une agence de la Société générale à Paris une partie d'un lot global de près de 500 pièces et en emmène une autre partie à Zagreb où a lieu une exposition en 1940. Šlomović est assassiné par les nazis à la fin de 1942. L’agence bancaire parisienne résilie le contrat de garde en 1946, ouvre le coffre et va conserver son contenu à Nantes jusqu’en 1977, où il est inventorié par un commissaire-priseur en vue d'une vente qui est annoncée dans la presse. Alertés, les héritiers des deux parties, Vollard et Šlomović, s'opposent et attaquent la banque. Finalement, la conduite de la banque est jugée comme conforme à la loi, les œuvres sont partagées entre les héritiers des deux parties mais au plus grand bénéfice de ceux d’Ambroise Vollard car, si la cour n’apportait pas la preuve que Šlomović avait bien exercé des fonctions de courtier ou même de préposé pour le compte de Vollard, il ne fallait pas omettre la possibilité d’un mandat occasionnel ayant pu porter sur tout ou partie des œuvres qui lui avaient été remises. Les cent quarante-et-une pièces retrouvées dans le coffre de la banque, sont vendues en par Sotheby's à Paris et à Londres. Le reste de la collection de Šlomović, constituée d'environ trois cent cinquante pièces, se trouve aujourd'hui encore au musée national de Belgrade. Un litige est en cours (2014) devant une cour de Belgrade entre les héritiers Šlomović, la succession Vollard et l'État serbe pour déterminer la propriété de ces tableaux. Commentaire Dans son livre Sympathie pour le Fantôme, l'écrivain Michaël Ferrier rappelle qu'Ambroise Vollard fut Hommages La première compagnie théâtrale professionnelle de La Réunion prend le nom de Théâtre Vollard en 1979. Un lycée de Saint-Pierre de La Réunion porte son nom. Expositions et conservation Quelque cent soixante-dix pièces ont été rassemblées en 2007 au musée d'Orsay à l'occasion de l'exposition « De Cézanne à Picasso, chefs-d’œuvre de la galerie Vollard ». En 2021, le Petit Palais organise la rétrospective « Édition limitée. Vollard, Petiet et l'estampe de maîtres ». Une petite partie de la collection Vollard est conservée au musée Léon-Dierx de Saint-Denis de la Réunion, donation d'Ambroise Vollard en 1912 et donation de son frère en 1947. Écrits Certains des titres ci-dessous sont sortis en édition limitée et numérotée avec des estampes signées aux éditions Ambroise Vollard. Jean-Louis Forain, [S.l.] : [s.n.] , [1905]. Auguste Renoir, Paris, Éditions Georges Crès, 1910 — plusieurs rééditions. Paul Cézanne, Paris, Éditions G. Crès, 1914. Degas (1834-1917), Paris, Éditions G. Crès, 1924. Sainte Monique, Paris, Éditions Émile-Paul, 1927. Recollections of a Picture Dealer, Boston, Little Brown, 1936 — publié en français : Souvenirs d'un marchand de tableaux, Paris, Albin Michel, 1937. En écoutant Cézanne, Degas, Renoir, Paris, Bernard Grasset, 1938 — réédition avec une préface de Maurice Rheims, 2003. Le Père Ubu Le Père Ubu à l'hôpital, Paris, 1917. Le Père Ubu à l'aviation, croquis par Pierre Bonnard, Paris, Éditions G. Crès, 1918. La politique coloniale du Père Ubu, croquis par Georges Rouault, Éditions G. Crès, 1919. Le Père Ubu à la guerre, dessins de Jean Puy, Paris, Éditions G. Crès, 1920. Les réincarnations du Père Ubu, illustrations de Georges Rouault, Paris, Le Divan, 1925. Le Père Ubu au pays des soviets, Paris, Librairie Stock, 1930. Notes et références Notes Références Voir aussi Bibliographie Œuvre importante de Degas, provenant de la collection Ambroise Vollard, Paris, galerie Charpentier, 1949. Una E. Johnson (1944), Ambroise Vollard Éditeur. Prints, books, bronzes, New York, Museum of Modern Art, 1977 . Ralph Jentsch (sous la direction), Ambroise Vollard, éditeur, catalogue raisonné, Stuttgart, Gert Hatje Verlag/ Herzog Anton Ulrich-Museum, 1994 — expositions à Brunswick, Venise (Peggy Guggenheim), Bolzano. Daniel Wildenstein et Yves Stavridès, Marchands d'art, Paris, Plon, 1999, chapitres I et II . Jean-François Rebeyrotte, La Collection Ambroise Vollard du musée Léon-Dierx, photographies de Jacques Kuyten, Paris, Somogy, 2000. . . Anne Roquebert, Ann Dumas, Douglas-W Druick et Gloria Groom, De Cézanne à Picasso : chefs-d’œuvre de la galerie Vollard, catalogue d'exposition, Paris, Musée d'Orsay/ RMN, 2007 — cf. catalogue du Metropolitan Museum of Art, 2006. Jean-Paul Morel, C'était Ambroise Vollard, biographie avec un choix de textes d'Ambroise Vollard ainsi que des témoignages et documents, Fayard, 2007 . Michaël Ferrier, Sympathie pour le fantôme, Paris, Gallimard, 2010 . Articles connexes Autres grands marchands d'art parisiens de cette époque : Siegfried Bing - Le Barc de Boutteville - Paul Durand-Ruel - Georges Petit - Berthe Weill - Daniel-Henry Kahnweiler - Léonce Rosenberg et Paul Rosenberg Exposition : Exposition d'art français de Barcelone en 1917 Liens externes Marchand d'art français Marchand d'estampes Éditeur français Éditeur d'estampes Écrivain réunionnais Écrivain français du XXe siècle Biographe français Mémorialiste français Officier de la Légion d'honneur (date non précisée) Personnalité réunionnaise du XIXe siècle Personnalité réunionnaise du XXe siècle Naissance à Saint-Denis (La Réunion) Naissance en juillet 1866 Décès en juillet 1939 Décès à Versailles Décès en Seine-et-Oise Mort dans un accident de la route en France Personnalité inhumée au cimetière parisien de Bagneux
Jean Duvignaud
Jean Duvignaud (né le à La Rochelle et mort le dans la même ville) est un écrivain, critique de théâtre, sociologue, philosophe, dramaturge, essayiste, scénariste et anthropologue français. Biographie Né Jean-Octave Auger, en 1921, Jean prend pour nom de plume le nom de jeune fille de sa mère. Ancien khâgneux, professeur de lettres au lycée d'Abbeville, il collabore aux revues Action et NEF. Admirateur de Malraux, il fréquente assidûment Alain Robbe-Grillet, Roland Barthes et René de Obaldia. Il a présidé la Maison des cultures du monde à Paris et dirigé, dans ce cadre, la revue : L'Internationale de l'Imaginaire. Dans Fêtes et civilisations, il tente de comprendre ce moment de la vie sociale où une communauté se trouve réunie par une activité, libérée de son ordre et de ses hiérarchies. Dans Lieux et non lieux, il s'interroge sur les lieux dédiés au temps et ceux à l'espace. À la fin des années quarante, il se lie avec Clara Malraux, épouse d'André Malraux avec qui il vivra une histoire d'amour et qui lui permettra de participer à la revue Contemporains. Ensemble, ils quittent le Parti communiste français dont Jean Duvignaud avait été brièvement permanent après ses engagements dans la Résistance. Ils soutiennent alors Tito et la Yougoslavie soumis aux brimades et pressions de l'URSS. Ils vivent cependant chacun dans leur propre appartement pendant leur liaison de treize ans. Professeur de philosophie au lycée d'Abbeville puis à Étampes, il fréquente Marcel Arland, publie des romans et s'intéresse au théâtre. Après avoir participé à la création de la revue Théâtre populaire, il assure la critique théâtrale à la Nouvelle nouvelle revue française, écrit pour les Cahiers Madeleine Renaud-Jean-Louis Barrault et Les Lettres nouvelles. Il a écrit une pièce de théâtre Marée basse, créée par Roger Blin avec notamment Laurent Terzieff dans la distribution. Entré au CNRS, puis devenu l'assistant de Georges Gurvitch à la Sorbonne, Duvignaud prépare une thèse en sociologie. En 1970, Jean-Louis Bertuccelli tire de Chebika un film, Remparts d'argile qui remporte le Prix Jean-Vigo. En 1972, avec l'écrivain Georges Perec, qui fut son élève à Étampes, et le philosophe Paul Virilio, il fonde la revue Cause commune. En 1969, il est président de l'École spéciale d'architecture au sujet de laquelle il dira en 1995 : « J'ai cru que ce devait être un Bauhaus ! Impossible, cela demande des moyens considérables. » (Propos recueilli par Thierry Paquot et Francois Bougon en 1995.) En 1980, il devient professeur à l'Université Paris VII (1980) et directeur du Laboratoire de sociologie de la connaissance et de l'imaginaire. Il y dirigera une quarantaine de thèses. Décorations (2005) Publications Quand le soleil se tait, Paris, Gallimard, 1949 Les idoles sacrifiées, Paris, Gallimard, 1951 Le piège, Paris, Gallimard, 1954 L'Or de la République, Paris, Gallimard, 1957, réédition 1984 Tunisie, Éditions Rencontre, 1965 - Collection L'atlas des voyages L'Acteur, esquisse d'une sociologie du comédien, Paris, Gallimard, 1965. Rééd. L'Archipel, 1995 Durkheim, sa vie, son œuvre, Paris, PUF, 1965 Sociologie du théâtre, Paris, PUF, 1965. Rééd. Quadrige, 1999 Chebika, 1968 Georges Gurvitch, symbolisme social et sociologie dynamique, Paris, Seghers, 1969 Anthologie des sociologues français contemporains, Paris, PUF, 1970 Spectacle et Société, Paris, Denoël, 1970 L'Empire du milieu, Paris, Gallimard, 1971 Introduction à la sociologie, Paris, Gallimard, 1971 Sociologie de l'art, Paris, PUF, 1972 L'Anomie, hérésie et subversion, Paris, Anthropos, 1973 Le Langage perdu, essai sur la différence anthropologique, Paris, PUF, 1973 Fêtes et Civilisations, Paris, Weber, 1974 Le Théâtre contemporain, culture et contre-culture, Paris, Larousse, 1974 La planète des jeunes, Paris, Stock, 1975. Le Ça perché, Paris, Stock, 1976 Lieux et non lieux, Paris, Galilée, 1977 Le Don du rien. Essai d'anthropologie de la fête (coll. « Le Monde ouvert »), Paris, Stock, 1977 Gens de La Rochelle. Paris. Contre-jour, 1979 La banque des rêves, avec Françoise Duvignaud et Jean Pierre Corbeau, Paris, Payot, 1979. Sociologie de la connaissance, dir., Paris, Payot, 1979. Klee en Tunisie, Cérès éd., 1980 (réédition 2000) Le Jeu du jeu, Paris, Balland, 1980 Le Propre de l'homme, histoires du comique et de la dérision, Paris, Hachette, 1985 La Solidarité, liens de sang et liens de raison, Paris, Fayard, 1986 Chebika, étude sociologique, Paris, Gallimard, 1978. Rééd. Paris, Plon, 1990 La Genèse des passions dans la vie sociale, Paris, PUF, 1990 Dis l'Empereur, qu'as-tu fait de l'oiseau ? (récit), Arles, Actes Sud, 1991 Fêtes et Civilisations ; suivi de La Fête aujourd'hui, Arles, Actes Sud, 1991 Retour a Chebika, 1991 Perec ou La Cicatrice, Arles, Actes Sud, 1993 Le singe patriote. Talma, un portrait imaginaire (roman), Arles, Actes Sud, 1993 L'Oubli ou La Chute des corps, Arles, Actes Sud, 1995 , réédition 2013 Le Pandémonium du présent, idées sages, idées folles, Paris, Plon, 1998 Le rire, et après..., Desclée de Brouwer, 1999. Le Prix des choses sans prix, Arles, Actes Sud, 2001 Les Octos, béant aux choses futures, Arles, Actes Sud, 2003 Le Sous-texte, Arles, Actes Sud, 2005 La Ruse de vivre, état des lieux'', Arles, Actes Sud, 2006 et de nombreuses préfaces de monographies et d'ouvrages collectifs. Notes et références Voir aussi Bibliographie . . . . . Liens externes Sociologue français du XXe siècle Anthropologue français Écrivain français du XXe siècle Dramaturge français du XXe siècle Essayiste français du XXe siècle Docteur honoris causa de l'université fédérale du Ceará Scénariste français Sociologue de l'art Sociologue de la connaissance Collaborateur du 14 juillet Membre du groupe de la rue Saint-Benoît Naissance en février 1921 Naissance à La Rochelle Naissance en Charente-Inférieure Décès en février 2007 Décès à La Rochelle Décès à 85 ans Commandeur des Arts et des Lettres
(36490) 2000 QJ45
est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes de de diamètre découvert en 2000. Description a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR). Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,14 et une inclinaison de 2,02° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale d'astéroïdes. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 15,1 et un albédo estimé à 0,391, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2011 dans un article présentant les premiers résultats concernant les astéroïdes de la ceinture principale. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (36001-37000) Ceinture d'astéroïdes Liens externes Références Objet céleste découvert en 2000 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par LINEAR Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge
Tea Lanchava
Tea Lanchava ou Bosboom-Lanchava est une joueuse d'échecs néerlandaise née le à Koutaïssi en Géorgie. Médaille d'argent au championnat d'Europe de 2006 et championne des Pays-Bas en 2012, elle a obtenu le titre de maître international en 2004. Au , elle est la deuxième joueuse néerlandaise et la joueuse mondiale avec un classement Elo de . Biographie Tea Lanchava vit aux Pays-Bas depuis 1995 et est affiliée à la fédération néerlandaise depuis 1997. Championnats du monde féminins Tea Lanchava a remporté le championnat du monde d'échecs de la jeunesse féminin dans les catégories moins de 14 ans en 1988 et moins de 16 ans en 1990. Elle était qualifiée pour participer au championnat du monde d'échecs féminin de 2008, mais se retira de la compétition pour protester contre la deuxième guerre d'Ossétie du Sud. Compétitions par équipe Tea Lanchava a représenté les Pays-Bas lors de neuf olympiades féminines d'échecs depuis 1998 (avec une interruption en 2008). Elle jouait au deuxième échiquier (derrière Peng Zhaoqin) de 2002 à 2012. Elle participe au championnat d'Europe d'échecs des nations féminin depuis 1999 avec une absence en 2009. Notes et références Bibliographie Naissance en septembre 1974 Naissance à Koutaïssi Joueuse néerlandaise d'échecs
Cinéfrance
Cinéfrance gère deux sociétés de production et de spectacle vivant : Cinéfrance 1888 créée en 2012 et Cinéfrance Plus créée en 2015. Elle est issue de la création en 2013 du département cinéma et audiovisuel de la banque Neuflize OBC. Son président est Étienne Mallet et Julien Deris et David Gauquie en sont administrateurs et directeurs généraux. Filmographie sélective Notes et références Liens externes Société de production de cinéma ayant son siège en France
كوتشابامبا
كوتشومبابا وهي مدينة تقع في وسط بوليفيا ويبلغ عدد سكانها 630,587 نسمة وتبلغ مساحتها 170 كلم مربع وتُعتبر رابع أكبر مدينة في بوليفيا، يبلغ ارتفاعها 2,558 متر عن سطح البحر إذ تقع على جبال الإنديز. المناخ يظهر الجدول التالي التغييرات المناخية على مدار السنة لكوتشابامبا: مدن شقيقة ، بلفاست ، كوردوبا ، فيديما ، كاراكاس ، أريكا ، سان فرانسيسكو ، ميامي ، ألميريا ، بيرغامو ، نانت ، كونمينغ ، كابويو أعلام مارتين كارديناس أديلا زاموديو كارلوس بلانكو غاليندو إدواردو رودريغيز رينيه بارينتوس ليديا غويلير تاخادا خوليو سيزار بالديفيسو خوسيه ماريا آشا خايمي باز زامورا خورخي كيروغا مراجع أماكن مأهولة أسست في 1571 أماكن مأهولة في إدارة كوتشابامبا تأسيسات سنة 1571 في أمريكا الجنوبية تأسيسات سنة 1571 في الإمبراطورية الإسبانية مدن بوليفيا
Kaczki Plastowe
Kaczki Plastowe est une localité polonaise de la gmina rurale de Przykona, située dans le powiat de Turek en voïvodie de Grande-Pologne. Elle se trouve à environ 9 kilomètres au sud-est de Turek et 125 km à l'est de Poznań, la capitale régionale. Géographie Notes et références Village dans la voïvodie de Grande-Pologne Powiat de Turek
Help Us Stranger
est le troisième album du groupe de rock américain The Raconteurs, paru le 21 juin 2019 via Third Man Records. Il fait suite, après onze ans d'absence, à Consolers of the Lonely sorti en 2008. L'album fut enregistré au Third Man Studio à Nashville, Tennessee et mixé aux Blackbird Studios, toujours à Nashville. Le groupe l'a produit lui-même avec l'aide de l'ingénieur du son Joshua V. Smith et fut ensuite mixé par Vance Powell. Historique Lors du dixième anniversaire de leur deuxième album, Consolers of the Lonely sorti en 2008, Third Man Records annonça la sortie d'une réédition en parallèle de la parution de deux nouvelles chansons inédites : "Sunday Driver" et "Now That You're Gone". Elles sortirent en single en double face A le 19 décembre 2018. Deux clips vidéo furent tournés une semaine avant la sortie. Le 2 avril 2019, la pochette ainsi que la liste des chansons sont dévoilées. Le 10 avril 2019, "Hey Gyp, Down the Slowness", une reprise de Donovan, fut diffusée sur le magasin de musique en ligne Bandcamp. Deux jours plus tard elle était disponible sur d'autres plateformes. Le 5 septembre 2019, le groupe se produit au Tonight Show de Jimmy Fallon et interprète deux titres : "Only Child" et "Shine the Light on Me". Réception débuta directement à la première place du Billboard 200 dès sa sortie, s'écoulant à 88.000 unités tout format confondu, dont 84.000 ventes physiques. C'est le premier album numéro un pour The Raconteurs. Liste des chansons Personnel The Raconteurs Jack White – chant, guitare, piano, synthétiseur Brendan Benson – chant, guitare, percussion, harmonica Jack Lawrence – basse, guitare, synthétiseur, chœurs Patrick Keeler – batterie, percussion, chœurs Musiciens additionnels Dean Fertita – piano, synthétiseurs, guitare, orgue Lillie Mae Rische – violon Scarlett Rische – mandoline Joshua V. Smith – chœurs, orgue Personnel technique Michael Fahey – assistant mixage Dusty Fairchild – ingénieur du son assistant Vance Powell – mixage The Raconteurs – production, mixage Bill Skibbe – mixage Joshua V. Smith – ingénieur du son Équipe graphique Rob Jones – design pochette, conceptualisation Patrick Keeler – photographie, design Tristan McNatt – conceptualisation pochette Ian Montone – management Classements hebdomadaires Notes et références Liens externes Album musical sorti en 2019 Album numéro un au Billboard 200 Album numéro un au Billboard Top Rock Albums Album produit par Jack White Album publié par Third Man Records
Initiative populaire « contre le bradage du sol national »
L'initiative populaire « contre le bradage du sol national » est une initiative populaire fédérale suisse, rejetée par le peuple et les cantons le . Contenu L'initiative propose d'ajouter un article 22quinquies à la Constitution fédérale limitant le droit à la propriété foncière aux personnes ayant le droit d'établissement en Suisse ou aux entreprises détenues à 75 % au moins par de telles personnes. Le texte complet de l'initiative peut être consulté sur le site de la Chancellerie fédérale. Déroulement Contexte historique La question de l'achat de biens immobiliers par des étrangers est apparue en Suisse au début des années 1950, lorsque plusieurs interventions parlementaires ont réclamé des mesures de protection, qui se traduisent par l'entrée en vigueur, le , d'un arrêté fédéral subordonnant l'acquisition d'immeubles par des personnes domiciliées à l'étranger à l'octroi d'une autorisation et baptisé « Lex von Moos » du nom du Conseiller fédéral Ludwig von Moos. Cet arrêté est revu en 1972 et 1973 pour y fixer des conditions plus strictes, en particulier afin d'éviter le placement de fonds étrangers dans des immeubles en Suisse ; cette nouvelle version, connue sous le nom de « Lex Furgler » du nom de Kurt Furgler, entre en vigueur le . Reconduit pour 5 ans le , cet arrêté est complété par plusieurs ordonnances d'exécution qui seront à leur tour révisées à plusieurs reprises dans le sens d'une plus grande fermeté. Devant l'échéance prévue en 1982 de l'arrêté, de nombreuses propositions sont déposées aux Chambres fédérales en relation avec la question foncière ; l'Action nationale, qui avait déjà soutenu l'initiative populaire « contre la spéculation foncière » en 1967, lance de son côté cette initiative. Récolte des signatures et dépôt de l'initiative La récolte des nécessaires a débuté le . Le de l'année suivante, l'initiative a été déposée à la chancellerie fédérale qui l'a déclarée valide le . Discussions et recommandations des autorités Le parlement et le Conseil fédéral recommandent tous deux le rejet de cette initiative. Dans son message aux Chambres fédérales, le gouvernement met en cause la volonté affichée par les initiants à stopper complètement la délivrance des autorisations pour les achats de résidences secondaires par des étrangers, mettant en avant l'effet économique important qui serait alors ressenti par les cantons de montagne. D'autre part, toujours selon le gouvernement, cette proposition ne serait pas conforme au code sur la libération des mouvements de capitaux de l'Organisation de coopération et de développement économiques. En revanche, le Conseil fédéral propose, sous la forme d'un contre-projet indirect, une loi fédérale regroupant les mesures contenues dans l'arrêt fédéral, dans son ordonnance d'exécution, ainsi que dans les autres deux ordonnances sur le sujet. Le Parlement accepte le contre-projet indirect en le durcissant, en particulier en reprenant la notion de contingentement des autorisations dans les régions touristiques. Votation Soumise à la votation le , l'initiative est refusée par 13 3/2 cantons et par 51,1 % des suffrages exprimés. Le tableau ci-dessous détaille les résultats par cantons pour ce vote : Effets À la suite du refus populaire de cette initiative, le contre-projet, baptisé « lex Friedrich » du nom de Rudolf Friedrich, entre en vigueur le . Elle est l'objet, en 1995, d'une proposition d'assouplissement de la part du Parlement ; cette proposition est cependant rejetée en votation le . Modifiée en 1997, la loi prend le nom de « lex Koller » (du nom d'Arnold Koller) et est assouplie dans le cadre d'un plan de relance économique ; elle est à nouveau modifiée en 2002, 2003 et 2005 avant d'être proposée à l'abrogation en 2007. Notes et références Notes Références Initiative populaire fédérale Initiative populaire fédérale concernant les étrangers Initiative populaire fédérale des années 1980 Initiative populaire fédérale lancée par les Démocrates suisses Initiative populaire « contre le bradage du sol national » Mai 1984
Lug (Tomislavgrad)
Lug (en cyrillique : ) est un village de Bosnie-Herzégovine. Il est situé dans la municipalité de Tomislavgrad, dans le canton 10 et dans la Fédération de Bosnie-et-Herzégovine. Selon les premiers résultats du recensement bosnien de 2013, il compte habitants. Géographie Le village est situé sur les bords de la Šuica, une rivière qui coule sur le poljé de Duvno. Histoire Démographie Évolution historique de la population dans la localité Répartition de la population par nationalités (1991) En 1991, les 266 habitants du village étaient tous croates. Notes et références Voir aussi Articles connexes Villes de Bosnie-Herzégovine Municipalités de Bosnie-Herzégovine Liens externes Localité de Tomislavgrad Localité de Tomislavgrad à majorité croate
Prix Georges-Goyau
L'actuel prix Georges-Goyau est un prix de l'Académie française constitué en 1994 par regroupement des fondations Georges Goyau, René Petiet et Toutain. Il est remis annuellement à l’auteur d’un ouvrage d'histoire locale. L'ancien prix Georges Goyau, avant regroupement des fondations, était un prix biennal, créé en 1945. Lauréats Voir aussi Prix René-Petiet Notes et références Goyau Goyau
Jules-Maurice Quesnel
Jules-Maurice Quesnel (né le et mort le ) était un commerçant de fourrure, membre du Beaver Club, homme d'affaires et homme politique fédéral au Bas-Canada. Bibliographie Baptisé Julien-Maurice Quesnel à Montréal le , Jules-Maurice est le fils de Joseph Quesnel et Marie-Josephte Deslandes. Le , il marie Marie-Josephte Cotté à la basilique Notre-Dame de Montréal. Il a étudié au Collège Saint-Raphaël. Il se joint à la Compagnie du Nord-Ouest vers 1804 lorsqu'il est commis au Fort d'Edmonton. Il assiste ensuite l'explorateur David Thompson dans ses explorations en 1805 et 1806. Il voyage avec l'explorateur Simon Fraser sur son exploration du fleuve Fraser en 1808. Lorsqu'il explore les Rocheuses, Jules-Maurice Quesnel nomme une des rivières affluente au fleuve Fraser la rivière Quesnel. En 1811, il revient vers l'est du pays et sert dans la milice de Montréal au cours de la guerre de 1812, atteignant le grade de lieutenant. Il déménage alors à Kingston et plus tard à York comme marchand, pour s'établir définitivement à Montréal par la suite. Avec son partenaire, John Spread Baldwin, il est impliqué dans l'achat et la vente de marchandises, y compris l'exportation de bois et de farine. Il a aussi possédé des parts dans les bateaux à vapeur opérant dans la région. Quesnel a été nommé comme juge de paix, et il a également servi comme gardien de Trinity House à Montréal de 1830 à 1839. Il a aussi été un membre de la commission pour le port de Montréal. En 1838, il est nommé au Conseil spécial du Bas-Canada qui régit le Bas-Canada après les rébellions de 1837 et, en 1841, il est nommé dans au Conseil législatif de la province du Canada. Il meurt à Montréal en 1842 et est enterré dans l'église paroissiale de Notre Dame. Honneurs La rivière Quesnel, le lac Quesnel et la ville de Quesnel en Colombie-Britannique ont été nommés après lui. Notes et références Voir aussi Article connexe Liste des présidents de la Société Saint-Jean-Baptiste Lien externe http://www.assnat.qc.ca/fr/patrimoine/anciens-parlementaires/quesnel-jules-maurice-349.html Député de la Chambre d'assemblée du Bas-Canada Commerçant de fourrures canadien Naissance en octobre 1786 Décès en mai 1842 Décès à 76 ans Membre du Conseil spécial du Bas-Canada Famille Quesnel
Continue (Musical Instrument Digital Interface)
Le est un message MIDI permettant de reprendre la lecture d'une séquence. Format et type Format : 11111011 (FBH) Type : system real time message Description Lors de l'appui sur la touche continue de l'unité maître, ce message est envoyé aux unités esclaves. Certains séquenceurs regroupent les fonctions start et continue sous la forme d'une seule et unique touche de lecture. Dans ce cas, un ordre de lecture à partir du début du morceau provoque l'émission d'un message start, tandis qu'un ordre de lecture à partir de tout autre point provoque l'émission d'un message continue. Les unités esclaves doivent attendre la réception d'un message d'horloge MIDI pour se synchroniser à partir de la position à laquelle elles s'étaient arrêtées. Afin de leur laisser le temps de réagir (c'est-à-dire de ne pas manquer le premier message d'horloge), le message continue doit être espacé d'au moins une milliseconde par rapport au timing clock suivant. La redondance des messages start, stop et continue est ignorée par les unités réceptrices. Pour maintenir une parfaite synchronisation entre plusieurs unités MIDI, il est indispensable d'accorder la priorité aux quatre messages real time suivants : timing clock, start, stop et continue. Ainsi, un instrument émetteur (séquenceur…) pourra exceptionnellement les faire passer avant n'importe quel message (note-on, note-off…), voire les insérer entre deux octets MIDI d'un même message. Références Musical Instrument Digital Interface
Sylvie Lainé
Sylvie Lainé, née le à Saint-Lô, est une auteure française de nouvelles et de romans courts. Ses œuvres relèvent pour la plupart de la science-fiction, mais certaines relèvent davantage du fantastique ou se rapprochent de la littérature blanche. Elles ont été distinguées par plusieurs prix littéraires, dont quatre Prix Rosny aîné de la nouvelle et deux Grands Prix de l'Imaginaire. Biographie Sylvie Lainé est passionnée par la lecture dès son enfance. À 10 ans, son père lui fait découvrir la science-fiction. Ingénieure en informatique (INSA Lyon, 1978), auteure d'une thèse en informatique documentaire, elle est à partir de 1982 enseignante en sciences de l’information à l'UCBL (Université Lyon 1). En 1984, Sylvie Lainé . Elle reprend une activité de publication au début des années 2000. En 2003, Sylvie Lainé est élue professeur de sciences de l’information et de la communication à l'Université Jean Moulin de Lyon où elle forme de futurs documentalistes, explorant les nouveaux modes de publication et de communication à l’ère du numérique. En 2007, elle publie son premier recueil de nouvelles, Le Miroir aux Éperluettes, aux éditions ActuSF. Elle . Elle , qui œuvre à « désincarcérer le futur ». Elle préside en 2021 le jury du Festival international du film fantastique de Neuchâtel. Son œuvre Sylvie Lainé apprécie particulièrement la forme littéraire de la nouvelle à cause de la force que le format court confère à ce type de texte. Parmi les codes du genre qui lui paraissent importants figurent l'unité de lieu et d'action, ainsi que le choix de montrer plutôt que d'expliquer. Lainé pratique également le genre du roman court avec Les Yeux d'Elsa (2006) et L'Opéra de Shaya (2014). Pour les romans courts, elle adopte une méthode différente : elle rédige un scénario et travaille sur l'univers avant de passer à l'écriture du texte proprement dit. Elle n'a pas d'habitudes particulières en matière de lieu ou d'horaire de travail, mais aime essayer toujours de se renouveler dans ce qu'elle écrit. Principalement connue comme auteure de science-fiction, elle écrit aussi des nouvelles relevant davantage du fantastique ou même de la littérature blanche. La rencontre de l'autre et de soi à travers l'autre, la communication et ses fêlures, ses ratés, l’ambiguïté, les limites de la perception, physique ou intellectuelle, sont les principaux thèmes de ses récits. Son roman l'Animal est considéré par Sylvie Denis comme emblématique de la science-fiction féministe. Œuvres Nouvelles « La Ballade de Johny Gueux », dans Les Lames vorpales n°1B, , et Hors Service , 1999. « L'Écrivain », dans Les Lames vorpales , . « Le Meyeur des mondes », dans Les Lames vorpales , . « Un cahier de 280 minutes », avec Markus Leicht, dans Les Lames vorpales , . « Partenaires », dans Les Lames vorpales , , et Univers 85, J'ai Lu. « Le Cycle de Joclin » (5 nouvelles), dans Les Lames vorpales , . « Un remède à la solitude », dans Les Lames vorpales , . « Brume », dans Les Lames Vorpales , . « Le Chemin de la rencontre », dans SFère , mai-, Prix Rosny aîné de la nouvelle 1986. Réédité dans Yellow Submarine , . « Question de mode », dans Les Lames vorpales , . « Thérapie douce », dans Le Monde supplément Dimanche, . « Un rêve d'herbe », dans Les Lames vorpales , , et dans l'anthologie Un œil au cœur, CCL Éditions, Grenoble, 1987. « Carte blanche », dans Imagine… , , et Magie Rouge , 1987, Prix Septième Continent 1986. « Le Passe plaisir », dans Yellow Submarine , . « Dérapages », 1995 « Définissez : priorités », dans l'anthologie Escales 2001, Fleuve Noir, 2000. « La Mirotte », dans Étoiles vives , 2002. « Un Signe de Setty », dans Galaxies , , Prix Rosny aîné de la nouvelle 2003. « La Bulle d'Euze », dans Galaxies , 2003. « Les Yeux d'Elsa », dans Galaxies , 2005, Prix Rosny aîné de la nouvelle 2006, Grand prix de l'Imaginaire 2007, Prix du Lundi 2006. « Mélomania », dans anthologie 42, éditions Parchemins et Traverses, 2015. « Le Karma du chat », dans Galaxies , 2015. Recueils de nouvelles Le Miroir aux Éperluettes, éditions ActuSF, 2007. Espaces insécables, éditions ActuSF, 2008. Marouflages, éditions ActuSF, 2009. L'Opéra de Shaya, éditions ActuSF, 2014, Grand prix de l'Imaginaire 2015, Prix Rosny aîné de la nouvelle 2015, Prix Bob-Morane 2015 Fidèle à ton pas balancé, ActuSF, 2016. Nouvelles graphiques L'Animal, éditions Organic, collection Petite Bulles d'Univers, N°9, en collaboration avec Francis-Olivier Brunet, 2014. Les Îles noires, éditions Organic,collection Petite Bulles d'Univers, N°11, en collaboration avec Philippe Aureille, 2019. Traduction Demain pourrait être pire, un alphabet des clichés de la science-fiction, de John Brunner, éditions Lames vorpales, 1985. Récompenses Grand prix de l'Imaginaire : en 2007 pour Les Yeux d'Elsa et en 2015 pour L'Opéra de Shaya. Prix Rosny aîné de la nouvelle : en 1986 pour Le Chemin de la rencontre, en 2003 pour Un Signe de Setty, en 2006 pour Les Yeux d'Elsa, en 2015 pour L'Opéra de Shaya. Prix Bob-Morane 2015 pour L'Opéra de Shaya. Prix du Lundi 2006 pour Les Yeux d'Elsa. Notes et références Liens externes Page non officielle Nouvelliste française de science-fiction Traducteur depuis l'anglais vers le français Traductrice française Universitaire français du XXe siècle Universitaire français du XXIe siècle Nouvelliste française du XXIe siècle Collaborateur de Imagine... Lauréat du grand prix de l'Imaginaire de la meilleure nouvelle francophone Lauréat du prix Bob-Morane Enseignant à l'université Lyon-III Naissance en juin 1957 Naissance à Saint-Lô Écrivaine française de science-fiction féministe
Mefele
Le mefele (ou baitsawara, boulahay, bula, bulahai) est une langue tchadique du groupe biu-mandara, parlée dans l'Extrême-Nord du Cameroun, le département du Mayo-Tsanaga, l'arrondissement de Mokolo, au sud et à l'est de la ville de Mokolo, dans six villages : Doray, Ldilang, Mofouélé, Mouhour, Shougoulé et Sirak. En 2002 on dénombrait environ locuteurs. Notes et références Annexes Bibliographie Bradley S. Harvey, Sociolinguistic survey of Mefele (Rapid Appraisal), SIL Cameroon, 1992, 10 p. Judith Sterner, The ways of the Mandara mountains, A comparative regional approach, School of Oriental and African Studies, University of London. 1998, 317 p. (thèse). Articles connexes Langues au Cameroun Liens externes Langue au Cameroun Inventaire de langues Langue biu-mandara
جغرافيا الكونغو الديمقراطية
تقع جمهورية الكونغو لديمقراطية في وسط أفريقيا إذ تعدّ مساحتها مساحة شائعة في وسط القارة حيث تتجاوز سكانها الستين مليون نسمة ومناخها إستوائياً حيث يجري في أرضيها إحدى أكبر الأنهار أفريقيا «نهر الكونغو» وتتميز أرضيها بكثرة السهول وقلة الجبال وليها شريط ساحلي قصير جدا حيث تنفتح على المحيط الأطلسي. المساحة تعدّ مساحتها شائعة في قارة أفريقيا بحيث تبلغ مساحتها 2,345,410كم2, مساحتها الكلية:- 2,345,410. مساحتها البرية «اليابس»:- 2,267,600. مساحة المياه:- 77,810كم2. الحدود الحدود البرية يبلغ طول الحدود البرية لجمهورية أجمالي (10,730). حيث تتوزع إلى:- مع :- 2,511كم (255 مع مقاطعة كابيندا) مع جمهوية الكونغو:- 2,410كم. مع :-1,930كم. مع :- 1,577كم. مع :-765كم. مع :-628كم. مع :- 459كم. مع :- 233كم. مع :- 217كم. الحدود البحرية المياه الأقليمية:- 12ميلاً بحرياً. الديموغرافيا مستوى الأعمار مراجع جغرافيا جمهورية الكونغو الديمقراطية
Yūji Iwahara
est un dessinateur de manga japonais. Il est né à Memanbetsu (devenu Ōzora) sur l'île de Hokkaidō, au Japon. Biographie Après avoir réalisé des études de graphiste, Yūji Iwahara rejoint le studio de jeu vidéo Hudson Soft. Il fait ses débuts en tant que mangaka en 1994 dans le magazine Afternoon publié par Kōdansha. Œuvres 1996 : 1997 : 1998 : 1999 – 2000 : , adaptation du jeu vidéo Koudelka 2000 – 2002 : 2002 – 2005 : 2004 : 2005 : 2006 : 2006 - 2008 : 2009 - 2011 : 2011 - 2019 : 2020 - (en cours) : Récompense 1996 : Afternoon Four Seasons Award Notes et références Annexes Lien externe Dossier sur Manga-news Mangaka Illustrateur japonais
Pakuły
Pakuły est une localité polonaise de la gmina de Radoszyce, située dans le powiat de Końskie en voïvodie de Sainte-Croix. Notes et références Village dans la voïvodie de Sainte-Croix Powiat de Końskie
Hong Sok Hour
Hong Sok Hour est un homme politique cambodgien. Histoire Cet homme politique a été envoyé en prison en , pour diffusion d'images trafiquées sur Facebook. Il a été libéré le . Notes et références Personnalité politique cambodgienne Naissance en mars 1956 Naissance au Cambodge
Bjelolasica
La Bjelolasica est la plus haute montagne du massif Velika Kapela appartenant à la chaîne des Alpes dinariques. Située à de Ogulin dans la région de Gorski Kotar (« District montagneux »), dans l'ouest de la Croatie, la montagne culmine à d’altitude au Kula. La zone, couverte de forêts et peu peuplée, abrite de nombreuses espèces animales comme des loups, des ours et des lynx. Elle fait partie d'une importante région géographique préservée qui s'étend au nord jusqu'aux régions de Notranjska et Dolenjska en Slovénie. Le mot Croate Bjelo signifie « Blanc ». Cela s'explique par la couche neigeuse qui recouvre son sommet en hiver. Durant les journées où le ciel est bien dégagé, il est possible d'apercevoir la mer Adriatique et des montagnes situées à plusieurs centaines de kilomètres dans les Alpes juliennes en Slovénie. Une petite station de ski, connue sous le nom Croatian Olympic Centre Bjelolasica ("HOC"), a été développée sur cette montagne. Se présentant comme disposant du plus vaste domaine skiable de Croatie, elle est principalement connue grâce aux succès des deux skieurs alpins locaux, Ivica Kostelić et Janica Kostelić. Références Voir aussi Liste des stations de sports d'hiver en Croatie Liens externes , Site officiel de la station de Bjelolasica Sommet des Alpes dinariques Sommet en Croatie Station de sports d'hiver en Croatie Comitat de Karlovac Comitat de Primorje-Gorski Kotar Ski alpin en Croatie
Pápa
Pápa est une ville historique du comitat de Veszprém dans l'Ouest de la Hongrie. Située non loin des monts Bakony, elle compte habitants. La ville est réputée pour son centre à l'architecture baroque et plusieurs monuments remarquables. Elle fut un important centre religieux, catholique, protestant et hébraïque, du pays. La ville possède un centre thermal et un important parc près du centre-ville. Non loin de la ville, se trouve la base aérienne de Pápa qui héberge depuis 2009 (entre autres) les C-17 Globemaster de la Heavy Airlift Wing de l'OTAN. Histoire Alors que les Ottomans occupent la majeure partie de l'Europe centrale, la région au nord du lac Balaton reste dans le Royaume de Hongrie (1538–1867). Jusqu'en 1918, la ville fait partie de la monarchie autrichienne (empire d'Autriche), dans la province de Hongrie en 1850 ; après le compromis de 1867, dans la Transleithanie, au Royaume de Hongrie. Elle compte vers 1850. Personnalités de Pápa Ferenc Gyurcsány, premier ministre de Hongrie Lajos Bruck (1846-1910), peintre Fülöp Ö. Beck (1873-1945), un sculpteur Joseph Breuer, rabbin Jacob Hoffman, rabbin Isaac Breuer (1883–1946) - rabbin Istvan Markó, chimiste Notes et références Liens externes Ville et village dans le comitat de Veszprém Pápa Lieu d'exécution de la Shoah en Hongrie
Tony MacAlpine
Tony MacAlpine, né le à Springfield au Massachusetts, est un guitariste apparenté au metal néo-classique et au jazz fusion. Il a une formation de base au piano et au violon classique mais ce n'est que plus tard qu'il découvrit la guitare. Il se fait connaître du grand public en 1986 avec un album instrumental, Edge Of Insanity sur le label Shrapnel Records du producteur Mike Varney, qui produisit aussi, quelques années auparavant, les premiers disques de Marty Friedman et Yngwie Malmsteen, le pionnier du metal dit néo-classique. Il participe régulièrement aux tournées de Steve Vai, au clavier ou à la guitare. Depuis le , il est également aux côtés de Michel Polnareff dans le cadre de sa grande tournée. On notera quelques solos remarquables comme dans le Bal des Laze où son jeu apporte une touche nouvelle aux compositions de Polnareff. Il est de nouveau présent sur la tournée de Michel Polnareff en 2016, où il interprète une version du standard Smoke on the Water de Deep Purple, en version instrumentale. Discographie Carrière solo Edge Of Insanity (1986) Maximum Security (1987) Eyes of the World (1990) Freedom To Fly (1992) Madness (1993) Premonition (1994) Evolution (1995) Violent Machine (1996) Live Insanity (1997) Master Of Paradise (1999) Chromaticity (2001) Tony MacAlpine (2011) Concrete Gardens (2015) Death Of Roses (2017) Equilibrium (2021) Note : tous ces albums sont purement instrumentaux, sauf Eyes of the World et Master Of Paradise avec, respectivement, Alan Schorn et Tony MacAlpine au chant. Avec Planet X Universe (2000) Live From Oz (2002) Moonbabies (2002) Avec CAB CAB (2000) CAB 2 (2001) CAB 4 (2003) Théâtre de Marionnettes (2008) Avec Ring of Fire Mark Boals-ring of fire (2000) The Oracle (2001) Burning Live Tokyo (2002) Dreamtower (2002) Lapse of Reality (2004) Battle of Leningrad (2014) Collaborations Macalpine/Aldridge/Rock/Sarzo - Project Driver (1986) Vinnie Moore - Mind's Eye (1986) Joey Tafolla - Out of the Sun (1987) Vinnie Moore - The Maze (1999) Vitalij Kuprij - VK3 (1999) Mark Boals - Ring of Fire (2000) Mark Boals - Edge of the World (2002) G3 Satriani/Vai/Petrucci - Live in Tokyo (2005) Michel Polnareff - Ze re Tour (2007) Derek Sherinian - Oceana (2011) Bunny Brunel - Invent your future (2013) Michel Polnareff - À l'Olympia (2016) Liens externes site-web officiel de Tony MacAlpine Guitariste américain de jazz Naissance à Springfield (Massachusetts) Naissance en août 1960 Musicien afro-américain Guitariste américain de heavy metal Artiste de Shrapnel Records Artiste de Mercury Records
ليلة في المكسيك القديمة
''' ليلة في المكسيك القديمة''' هو فيلم ذو إنتاج إسباني-أمريكي مشترك. أخرجه إميليو أراغون سنة 2013 حول رجل (روبرت دوفال) وحفيده (جيريمي إيرفين). روابط خارجية مصادر أفلام أمريكية أفلام أمريكية في عقد 2010 أفلام إسبانية أفلام إسبانية في عقد 2010 أفلام إنتاج 2013 أفلام باللغة الإنجليزية أفلام باللغة الإنجليزية في عقد 2010 أفلام تقع أحداثها في المكسيك أفلام دراما أمريكية أفلام دراما إسبانية أفلام درامية 2013 أفلام عن عصابات المخدرات المكسيكية أفلام مكسيكية في عقد 2010
Luciano Tajoli
Luciano Tajoli, né à Milan le  et mort à Merate le , est un chanteur et acteur italien. Biographie Luciano Tajoli provient d'une famille défavorisée et est un autodidacte de la chanson. Il a reçu une formation de tailleur, coiffeur et cordonnier. Il est handicapé physique en raison d'une poliomyélite contractée dans son enfance. Luciano Tajoli a participé à plusieurs éditions (1961, 1962, 1963 et 1970) du Festival de Musique de Sanremo, qu'il remporte en 1961 avec la chanson qui s'est vendue à plus de 45 millions de disques. Participations au Festival de Sanremo 1961 : Al di là - couplé à Betty Curtis 1962 : Il cielo cammina en duo avec Betty Curtis L'anellino avec Corrado Lojacono 1963 : Ricorda avec Milva Le voci avec Ennio Sangiusto 1970 : Sole pioggia e vento avec Mal Filmographie partielle 1950 : Canzoni per le strade 1951 : Trieste mia! 1952 : Don Lorenzo 1952 : Le Roman de ma vie (Il romanzo della mia vita) de Lionello De Felice 1953 : La pattuglia dell'Amba Alagi 1954 : Napoli piange e ride Références Bibliographie Auteurs divers (a cura di Gino Castaldo), Dizionario della canzone italiana, edizioni Curcio, 1990; chapitre Tajoli Luciano, de Gianni Borgna, 1631-1632 Eddy Anselmi, Festival di Sanremo. Almanacco illustrato della canzone italiana,edizioni Panini, Modène, chapitre Tajoli Luciano Gianni Borgna, Storia della canzone italiana, Mondadori (1992) Antonio Sciotti, Enciclopedia del Festival della Canzone Napoletana 1952-1981, ed. Luca Torre, 2011. Liens externes Naissance en avril 1920 Naissance à Milan Décès en août 1996 Décès à Merate Décès à 76 ans Chanteur italien du XXIe siècle Acteur italien de cinéma Acteur italien de théâtre
Signal de localisation nucléaire
Un signal de localisation nucléaire (SLN) ou NLS (de l'anglais Nuclear localization sequence) est une petite séquence d'acides aminés (8 à 10 acides aminés) qui cible les protéines vers le noyau de la cellule. Les protéines portant un signal de localisation nucléaire sont reconnues par la protéine importine dans le cytosol et sont guidées vers les pores nucléaires. La séquence de 8 à 10 acides aminés varie d'une protéine nucléaire à l'autre, mais elle est toujours riche en acides aminés chargés positivement (soit les acides aminés basiques : arginine, lysine, histidine). Elle peut être bipartite (en 2 parties) et n'est pas clivée après son entrée dans le noyau. Elle est essentielle pour le transport dans le noyau. Biologie moléculaire Protéine
Ernst von Below
Ernst von Below (né le à Königsberg et mort le à Schleusingen) est un général d'infanterie allemand. Biographie Origine Ernst est issu de l'ancienne famille noble . Il est le fils du major général prussien Ferdinand von Below (1812-1870) et de sa femme Thérèse, née (1823-1895). Carrière militaire Issu du corps des cadets, Below rejoint le de l'armée prussienne à Neustadt en tant qu'enseigne le 16 avril 1881. Il y est nommé sous-lieutenant le février 1882 et sert adjudant du juillet 1886 au 10 mai 1889. Par la suite, Below est adjudant du et il est envoyé à l'Académie de guerre du octobre 1890 au 23 juillet 1893, et entre-temps est promu premier lieutenant le 14 octobre 1890. Après son retour, il continue à servir dans son régiment régulier et est transféré au à Altona le 21 avril 1894. En même temps que sa promotion au grade de capitaine, Below est nommé commandant de compagnie. Il est ensuite affecté au bataillon d'instruction d'infanterie à partir du 4 octobre 1899 pour un peu moins d'un an. Il est ensuite muté en tant que commandant de compagnie au de grenadiers de la Garde. À partir de avril 1903, Below reçoit l'ordre de servir auprès du prince Joachim Adalbert de Prusse. Le 6 mai 1903, il devient son adjudant personnel et est promu major le 27 janvier 1904. Below abandonne ce poste le 13 septembre 1906 avec sa nomination comme commandant du bataillon du . Il devient ensuite commandant du à Wilhelmshaven le 4 avril 1908. Moins d'un an plus tard, il part pour Tsingtau pour y servir comme commandant du bataillon de la mer. Il commande notamment les forces d'occupation de Pékin et à Tientsin et est promu lieutenant-colonel le 20 mars 1911. Après son retour dans l'Empire allemand, Below est commandant du III Stamm-See-Bataillon à Cuxhaven à partir du 22 mars 1912. Il rejoint ensuite l'état-major du de grenadiers de la Garde à Berlin le 27 janvier 1913, puis est promu colonel le octobre 1913, date à laquelle il est nommé commandant du d'infanterie à Altenbourg. Six mois plus tard, Below est transféré à l'Office impérial aux Colonies en tant que . Première Guerre mondiale Après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, Below est nommé commandant du d'infanterie le 14 août 1914, après que son précédent commandant, le colonel Krüger, soit tombé à Liège. Cela est suivi d'une nouvelle avancée ainsi que de la bataille de la Marne et les combats d'Arras. Du 30 novembre 1914 au 28 mars 1915, Below est commandant de la d'infanterie de réserve devant Reims, puis jusqu'au 20 mai 1915, commandant de la d'infanterie de réserve, qui est affectée au . Il devient ensuite commandant de la nouvelle de chasseurs, une troupe formée principalement pour la guerre en montagne, avec laquelle il combat dans les Carpates. Au printemps, la brigade retourne sur le front occidental en France, où elle combat en Champagne et devant Verdun. À partir d'août 1916, la brigade est à nouveau transférée sur le front de l'Est, où elle est affectée à la d'infanterie. Le 27 janvier 1917, Below devient major général le 14 janvier 1917 et, le 14 septembre 1917, commandant de la d'infanterie. Avec cette division, il participe à l'offensive de l'Isonzo contre les Italiens. La mission de Below consiste à capturer la deuxième base la plus importante des positions ennemies, l'Ieza, haute de 929 mètres. Au cours de l'assaut réussi, des milliers de prisonniers, 99 pièces d'artillerie, 75 mitrailleuses, 45 lance-mines et lance-grenades, trois grands projecteurs et une vaste quantité d'autres armements, équipements et vêtements sont capturés. Le 27 octobre, des parties de la division prennent Azzida et poursuivent les Italiens au-delà d'Udine jusqu'à la rivière Piave, où l'offensive s'arrête et passe en guerre des tranchées. En février 1918, la division est transportée en France, où elle se prépare à l'offensive du printemps en conjonction avec la . À la fin du mois de mars, la division est déployée sur la rivière Avre à l'est d'Amiens. Elle est ensuite affectée à la avec laquelle elle mène la dernière bataille d'attaque allemande à l'ouest de Reims en juillet. Jusqu'à l'armistice, Below est impliqué avec la division dans les batailles de retraite devant la position d'Anvers-Meuse et dirige l'unité de retour au pays après la fin de la guerre. Après-guerre Après la démobilisation, Below est transféré aux officiers par l'armée le 6 février 1919 et est mis à disposition le 11 août 1919, avec le caractère de lieutenant général. Below reçoit le caractère de général d'infanterie le 27 août 1939, le jour dit de Tannenberg Après sa mort, il est enterré dans la tombe familiale de Below au cimetière des Invalides. Sa tombe est conservée. Récompenses Ordre de l'Aigle rouge de classe Croix de récompense du service prussien Croix de chevalier de classe de l'Ordre du Lion de Zaeringen Commandant de classe de l'Ordre d'Henri le Lion Croix de chevalier d'Honneur de classe de la Maison d'Oldenbourg et Ordre du Mérite du duc Pierre-Frédéric-Louis Commandant de classe de l'Ordre de la Maison ernestine de Saxe Croix d'honneur d'officier de l'ordre de la Maison de Lippe Ordre russe de Sainte-Anne de classe Ordre de Saint-Stanislas de classe Officier de l'Ordre de l'Éléphant blanc Croix de fer (1914) de et classe Ordre de la Couronne de classe avec épées en juillet 1916 Pour le Mérite avec feuilles de chêne Pour le Mérite le 24 novembre 1917 Feuilles de chêne le 13 octobre 1918 Bibliographie Karl-Friedrich Hildebrand, Christian Zweng: Die Ritter des Ordens Pour le Mérite des I. Weltkriegs. Band 1: A–G. Biblio Verlag, Osnabrück 1999, , S. 79–81. Hanns Möller-Witten: Geschichte der Ritter des Ordens „pour le mérite“ im Weltkrieg. Band 1: A–L. Verlag Bernard & Graefe, Berlin 1935, S. 61–63. Références Generalleutnant prussien Commandeur de 2e classe de l'ordre de la Maison ernestine de Saxe Commandeur de 2e classe de l'ordre d'Henri le Lion Chevalier de l'ordre Pour le Mérite avec feuilles de chêne Chevalier de l'ordre du Mérite du duc Pierre-Frédéric-Louis Chevalier de 1re classe de l'ordre du Lion de Zaeringen Chevalier de 2e classe de l'ordre de la Couronne (Prusse) Récipiendaire de l'ordre de Sainte-Anne Récipiendaire de l'ordre de la Maison de Lippe Récipiendaire de l'ordre de l'Éléphant blanc Récipiendaire de 1re classe de la croix de fer Récipiendaire de l'ordre de l'Aigle rouge de 4e classe Naissance en avril 1863 Naissance à Königsberg Naissance dans la province de Prusse Décès en avril 1955 Décès en Thuringe Décès à 91 ans
Maximilien II (roi de Bavière)
Maximilien II de Bavière (en allemand : Maximilian Joseph von Wittelsbach ; né le à Munich – mort le dans la même ville) est de 1848 à 1864 le troisième roi de Bavière. Il est le fils aîné de Louis Ier et de son épouse Thérèse de Saxe-Hildburghausen. Vie privée et famille Les tantes du roi Maximilien ont fait de brillants mariages : Augusta-Amélie a épousé Eugène de Beauharnais, beau-fils et fils adoptif de Napoléon 1er, et leurs enfants s'apparentèrent aux familles régnantes de Suède, du Portugal, du Brésil, et de Russie, Caroline-Augusta a épousé l'empereur François Ier d'Autriche, Élisabeth a épousé le roi de Prusse, Amélie et Marie seront tour à tour reines de Saxe, Sophie est devenue la mère de l'empereur d'Autriche François-Joseph Ier, et la cadette Ludovika, en épousant le duc Maximilien en Bavière, est devenue mère de la fameuse Sissi (François-Joseph Ier épousa donc sa cousine Sissi). Marie-Sophie, une autre fille de Ludovika, a été brièvement la dernière reine des Deux-Siciles. Deux des sœurs de Maximilien épousèrent des princes régnants : Mathilde devenue grande-duchesse de Hesse et donc belle-sœur de la tsarine de Russie (la sœur de son mari Louis III de Hesse ayant épousé le tsar Alexandre II de Russie), Aldegonde, duchesse de Modène. Son frère cadet Othon 1er fut élu en 1831 roi des Hellènes. Maximilien épousa en 1842 Marie de Hohenzollern, fille du prince Guillaume de Prusse, fils cadet du roi de Prusse Frédéric-Guillaume II, et cousine germaine des rois Frédéric-Guillaume IV et Guillaume Ier (le futur Kaiser). Deux enfants sont issus de cette union : Louis II (1845 – 1886) qui lui succède ; Othon (1848 – 1916) qui succède à son frère aîné, mais qui, déclaré fou dès 1872, est interné, son oncle Luitpold de Bavière assurant la régence. Règne En 1832, le prince héritier Maximilien acquit le château de Hohenschwangau (en allemand, Hohenschwangau signifie « haut pays du cygne ») et le fit restaurer jusqu'en 1837 de style néogothique comme résidence de campagne. Compromis par sa liaison avec Lola Montez, le vieux roi Louis , pris dans la tourmente révolutionnaire de 1848, fut contraint d'abdiquer en faveur de son fils aîné Maximilien. Maximilien II était un homme cultivé. Il aimait les lettres et les sciences et aurait aimé être professeur d'université ; il promut les travaux de scientifiques, dont ceux de Gregor Mendel qui, en étudiant des petits pois, découvrira les lois de l'hérédité, mais aussi ceux de Charles Liebig, qui fut à l'origine de la chimie agricole et inventera le chloroforme. Homme d'ordre, il ne donna que difficilement son accord au mariage de sa cousine Hélène en Bavière, fiancée délaissée de l'empereur d'Autriche, avec le prince héritier de Tours et Taxis ; l'immense fortune du futur époux, sujet bavarois, n'en faisait pas pour autant un prince de sang royal. Il fallut l'influence et les scrupules des souverains autrichiens (l'empereur avait épousé la sœur d'Hélène) pour fléchir le roi. Le mariage eut lieu en 1858. Dans un contexte où l'unification allemande se dessine sous l'égide de la Prusse et du chancelier Otto von Bismarck, (l'accord douanier Zollverein est en vigueur depuis son prédécesseur), il mena dans son royaume une politique libérale et chercha à unir autour de la Bavière les petits États allemands face à la Prusse et à l'empire d'Autriche. Il mourut en trois jours d'un érysipèle, à l'âge de 52 ans, avant les guerres d'unification allemandes. Il fut inhumé dans l'église des Théatins à Munich dans un tombeau monumental situé dans une chapelle latérale de la nef face à celui de son épouse Marie. Son cœur est prélevé du corps pour être inhumé dans un monument situé dans la Chapelle de la Grâce à Altötting. Voir aussi Articles connexes Maximilien de Bavière Wilhelmine de Hesse-Darmstadt Bibliographie Herbert Eulenberg: Die letzten Wittelsbacher. Phaidon, Wien 1929. S. 127–153. Jean des Cars, Louis II de Bavière ou Le roi foudroyé, Paris, Perrin, 1975 Liens externes Roi de Bavière du XIXe siècle Louis II (roi de Bavière) Maison de Wittelsbach Chevalier de l'ordre autrichien de la Toison d'Or (XIXe siècle) Récipiendaire de l'ordre de Saint-Hubert (Bavière) Naissance en novembre 1811 Naissance à Munich Décès en mars 1864 Décès à Munich Décès à 52 ans Personnalité inhumée dans l'église des Théatins Prince héritier de Bavière Bavière
Leucothrix sargassi
Leucothrix sargassi est une gammaprotéobactérie et une des espèces du genre bactérien Leucothrix. Elle a été isolé des eaux côtières au large de la ville de Yantai en Chine. Description Leucothrix sargassi est une bactérie à Gram négatif, strictement aérobie, non flagellée, non mobile, oxydase et catalase positive, et en forme de bâtonnet. La souche type C3212T a été isolée sur des algues marines de l'espèce Sargassum natans en mer à proximité de Yantai (Chine). Au laboratoire, sa croissance est possible entre 8°C et 37°C et optimale se situe à 285°C en présence de 1.0 à 7.0 % (w/v) de NaCl (optimum à 4.0 %), à pH 6.0 à ph 9.0 (optimal à pH 7.5). Taxonomie Étymologie Son étymologie est la suivante : Leu'co.thrix Gr. adj. leucus signifiant clair, léger; Gr. n. thrix trichis cheveux; M. L. fem. n. Leucothrix chevelure incolore pour le nom de genre et sar.gas’si. N.L. gen. neut. n. sargassi, de Sargassum faisant référence au nom de genre de l'algue marine Sargassum où la souche type a été isolée, pour l'épithète. Le nom a été déclaré publié de manière valide par l'ICSP selon le code de nomenclature bactérienne. Taxonomie Décrit depuis 1844, le genre Leucothrix ne comptait qu'une seule et unique espèce, l'espèce type Leucothrix mucor jusqu'à la découverte de l'espèce Leucothrix pacifica dans le Gyre subtropical du Pacifique sud puis de l'espèce L. arctica. Les analyses phylogénétiques de la séquence de l'ARNr 16S de la souche C3212 ont montré une homologie de 98.% au maximum avec l'espèce L. pacifica. Formant donc un cluster distinct, elle a été classée comme nouvelle espèce de ce genre Leucothrix. Comme les autres Leucothrix, l'espèce L. sargassi fait partie de la famille des Thiotrichaceae et elle constitue la espèce officielle de ce genre bactérien. Notes et références Liens externes Bactérie décrite en 2019 Espèce de bactéries (nom scientifique)
21e étape du Tour d'Italie 2010
La et dernière étape du Tour d'Italie 2010 s'est déroulée le dimanche autour de Vérone sur 15,3 kilomètres. Il s'agit du troisième contre-la-montre individuel de l'épreuve. Elle a été remportée par le Suédois Gustav Larsson (Team Saxo Bank), tandis que l'Italien Ivan Basso (Liquigas-Doimo) termine en tête du classement général et remporte son deuxième Tour d'Italie, après celui de 2006. Profil de l'étape Un court contre-la-montre de 15,3 kilomètres dans les rues de Vérone conclut ce Giro 2010, sur un parcours déjà emprunté lors du contre-la-montre final du Giro 1984, ou encore lors de la course en ligne des Championnats du monde 1999 et 2004. La course Gustav Larsson (Team Saxo Bank), parti tôt, établit un temps que ni Bradley Wiggins (Team Sky), favori a priori de l'étape, ni Marco Pinotti (Team HTC-Columbia), en tête à la mi-course, notamment, ne parviendront à battre. Du côté du classement général, le seul suspens concerne la troisième place, puisque Vincenzo Nibali (Liquigas-Doimo) et Michele Scarponi (Androni Giocattoli) ne sont séparés que par une seconde au départ de l'étape. Mais Nibali, meilleur en contre-la-montre, parvient finalement sans difficulté à conserver sa place sur le podium. Ivan Basso (Liquigas-Doimo), qui termine à la de l'étape, remporte donc le Tour d'Italie 2010. Classement de l'étape Classement général Abandon Aucun abandon. Notes et références Liens externes Site officiel Parcours, résultats et rapport de l'étape sur cyclingnews.com 21 Tour d'Italie 2010 21 2010 21 en:2010 Giro d'Italia, Stage 12 to Stage 21#Stage 21
Gabriel Batistuta
Gabriel Omar Batistuta, surnommé Batigol, né le à Reconquista, est un footballeur international argentin. Il est le meilleur buteur de l'histoire de la Fiorentina avec qui il a joué pendant neuf saisons, et le deuxième meilleur buteur de l'équipe d'Argentine après Lionel Messi. Il a aussi notamment évolué sous les couleurs de Boca Juniors et de l'AS Rome. Biographie Ses débuts Alors qu'il n'est encore qu'un adolescent, le sport préféré de Batistuta est le volley-ball. Ce sont ses amis qui le dirigent vers le football. Peu habile de ses pieds, il intègre un club de son quartier où il évolue tout d'abord en tant que gardien de but. Mais il fait rapidement étalage de son sens du but et tape dans l'œil des recruteurs de Newell's Old Boys, où il signera son premier contrat pro. En Argentine Batistuta commence à faire parler de lui en participant à la finale de la Copa Libertadores en 1988 avec l'équipe de Newell's Old Boys. Malgré la défaite face au Nacional, ce jeune homme de 19 ans impressionne les observateurs par sa force et son engagement total. Il signe illico au Club Atlético River Plate, sans pouvoir réellement s'y imposer. Boca Juniors, qui court après un titre depuis 1981 et le départ de Diego Maradona, profite de l'aubaine. Une équipe menée par Batistuta, Cabañas, Márcico et Simon permet à la Bombonera de s'enflammer à nouveau au rythme d'un football technique et guerrier. L'idole de la Fiorentina L'heure d'une aventure européenne a sonné pour Batigol et la Fiorentina pense avoir trouvé le remplaçant à l'idole « déchue », Roberto Baggio. Accueilli froidement par la presse qui le qualifie de « bidon », les premières saisons seront chaotiques. Le trio offensif composé d'Effenberg, Brian Laudrup et Batistuta n'empêchera pas la « Viola » de sombrer en Série B. Il choisira pourtant de rester au club, geste qui marquera les esprits locaux et le hissera au rang de véritable dieu, à l'égal d'Antognoni. La remontée est immédiate et la Fiorentina s'impose parmi les grands du Calcio. L'arrivée de Rui Costa et l'éclosion de Francesco Toldo permettent à Batistuta d'envisager sereinement l'avenir avec son club. Il sera meilleur buteur du calcio en 1995 et gagnera de surcroit la Coupe d'Italie l'année suivante. L'Inter de Milan essaie de s'attacher ses services mais Batistuta est déclaré intransférable au grand soulagement des tifosi. La saison 1996-97 voit la « Viola » accéder aux demi-finales de la Coupe des Coupes où elle échouera face au Barca de Ronaldo. Épaulé par les venues de Predrag Mijatović, Enrico Chiesa ou Moreno Torricelli, il accède à la Ligue des champions lors de la saison 1999-2000, atteignant le second tour en battant notamment Arsenal à l'extérieur (Batigol marque le but victorieux à la minute (0 - 1). Départ pour l'AS Rome Las de ne pouvoir être sacré champion d'Italie après neuf saisons sous les couleurs florentines, Batistuta signe en 2000 à l'AS Rome qui débourse 35 M€ pour s'attacher ses services. Dirigée par Fabio Capello, la Roma développe alors un jeu plaisant, grâce notamment aux talents conjugués de Francesco Totti et Vincenzo Montella, et décroche son premier titre de champion depuis 1983. Fin de carrière En 2002, l'Inter Milan fait signer un homme fatigué (2 buts en 12 matchs sous le maillot interiste) qui ne tarde pas à s'envoler pour le Qatar à l'Al-Arabi SC où, fidèle à sa réputation, il terminera tout de même meilleur buteur du championnat avec 25 buts (record historique). Mais à 36 ans, Batigol n'a plus la tête au football et ses blessures à répétition le poussent donc à raccrocher les crampons. Ainsi s'achève la carrière de l'un des plus brillants attaquants de la décennie. Aujourd'hui, il a pris sa retraite en Australie et est désormais préparateur physique et est devenu entraineur adjoint du sélectionneur argentin Batista. Avec l'Albiceleste Batistuta honore sa première sélection le 27 juin 1991 contre le Brésil et connait alors une période faste avec l'Argentine, gagnant deux Copa América d'affilée en 1991 et 1993 sous les commandes de Coco Basile. L'équipe a fière allure (Claudio Caniggia, Diego Simeone, Oscar Ruggeri, Sergio Goycoechea et Fernando Redondo) et le retour en forme de Maradona alimente les espoirs les plus fous. Le premier tour du Mondial américain est un véritable festival (Batistuta signe 4 réalisations) mais la suspension pour dopage de Maradona laissera l'équipe sans âme, incapable de surmonter les assauts roumains en huitième de finale. La coupe du monde en France est une nouvelle déception pour lui, l'Argentine échoue face aux Bataves et leur leader Bergkamp en quarts (Batigol fut quand même deuxième meilleur buteur avec 5 buts derrière Davor Šuker). Le mondial asiatique en 2002 est un échec, l'Argentine, qui fait partie des favoris, ne passe pas l'obstacle du premier tour. Mais Batistuta en profite tout de même pour entrer dans le cercle fermé des joueurs ayant inscrit dix réalisations en phase finale de Coupe du monde. Vie privée Né d'Osmar Batistuta travailleur à l'abattoir de chevaux et de Gloria Batistuta Zilli secrétaire d'école à mi-temps. Il a trois sœurs plus jeunes, baptisées Elisa, Alejandra, et Gabriela. Gabriel Batistuta est père de quatre enfants avec son épouse Irina Fernández : Thiago né en 1992, Lucas né en 1997, Joaquin né en 1999, Pablo né en 2002. En 2019 il est invité avec sa femme à danser dans l’émission italienne Ballando con le stelle. Celui qui a été élu joueur du siècle de la Fiorentina avait régulièrement joué dans les années 1990 sous infiltration. Aujourd’hui, ses tendons seraient littéralement en compote, selon le témoignage de son ami journaliste Luca Calamia recueilli par le quotidien italien Il Corriere della Sera. "Il ne peut pas rester debout pendant plus d’une demi-heure. Toutes les infiltrations qu’il a subies (durant sa carrière, ndlr) ont complètement déchiré ses tendons". Opéré du genou , Gabriel Batistuta, dont une statue a été érigée en son honneur devant le stade de la Fiorentina, ne peut plus pratiquer de sport en contact avec le sol. Divers et anecdotes À l'âge de 16 ans, il a rencontré Irina Fernández, sa future épouse, à la Quinceañera d'Irina, un rite de passage pour son . Elle a signalé l'avoir ignoré. Par des amis communs, les deux se rencontrent à nouveau deux ans plus tard, à l'occasion d'une partie de curling. Ils entretiennent dès lors des relations régulières - trois ans plus tard, le 28 décembre 1990, ils se marient à l'église Saint-Roque. À cause de son amitié avec le joueur argentin de polo Adolfo Cambiaso Batistuta a commencé le polo. Il a reçu le handicap 0. À l'Argentina Polo Tour en 2009 il a joué avec Cambiaso dans la même équipe Loro Piana. Ils ont gagné la Copa Stella Artois. Statistiques Buts en sélections Palmarès En club Champion d'Argentine en 1990 avec Boca Juniors Champion de Serie A en 2001 avec l'AS Rome Vainqueur de la Coupe d'Italie en 1996 avec l'ACF Fiorentina Vainqueur de la Supercoupe d'Italie en 1996 avec l'ACF Fiorentina et en 2001 avec l'AS Rome Champion de Serie B en 1994 avec l'ACF Fiorentina Finaliste de la Copa Libertadores en 1988 avec Newell's Old Boys En équipe d'Argentine 78 sélections et 54 buts entre 1991 et 2002 Vainqueur de la Copa América en 1991 et en 1993 Vainqueur de la Coupe des Confédérations en 1992 Participation à la Copa América en 1991 (Vainqueur), 1993 (Vainqueur) et en 1995 (1/4 de finaliste) Participation à la Coupe du monde en 1994 (1/8 de finaliste), 1998 (1/4 de finaliste) et en 2002 (premier tour) Distinctions personnelles Élu 4 au Ballon d'Or en 1999 Élu meilleur joueur argentin en 1998 Élu joueur du siècle de la Fiorentina Élu Meilleur footballeur de l'année FIFA en 1999 Élu meilleur joueur étranger de l'année de Serie A en 1999 Meilleur buteur de la Copa América en 1991 (6 buts) et en 1995 (4 buts) Meilleur buteur du Championnat d'Italie en 1995 (26 buts) Meilleur buteur du Championnat du Qatar en 2004 (25 buts) Meilleur buteur de l'histoire de la Fiorentina (209 buts) buteur de l'histoire de l'Équipe d'Argentine (54 buts) buteur étranger de l'histoire du Championnat d’Italie (200 buts en championnat, 184 en Série A, 16 en Série B) 10 buts en phase finale de Coupe du monde (4 en 1994, 5 en 1998, 1 en 2002) Notes et références Liens externes Footballeur international argentin Footballeur italo-argentin Joueur des Newell's Old Boys Joueur de River Plate Joueur de Boca Juniors Joueur de la Fiorentina Joueur de l'AS Rome Joueur de l'Inter Milan Joueur de l'Al-Arabi SC Joueur argentin de polo FIFA 100 Naissance en février 1969 Naissance à Reconquista
Famille Peers de Nieuwburgh
La famille Peers, devenue à partir de 1897<ref name=houtart531>. , ', , 2008, .</ref> Peers de Nieuwburgh, est une famille originaire d'Adegem, ancienne commune du franconat de Bruges. La plus ancienne trace écrite la concernant remonte à 1727. La légende Selon La Belgique héraldique de Charles Poplimont, "Cette belle famille, dont le nom s’écrivait Piers, anciennement, est originaire de la Guyenne ; elle se transporta dans la Grande-Bretagne et y florissait dès le . Des documents irrécusables, authentiques en font foi. Le manuscrit de sir Philippe, qui la mentionne avec éloge, lui donne la qualification de miles, ce qui, à cette époque reculée, signifie chevalier. Piers de Gaveston, fils d’un gentilhomme de la Guyenne, partagea dans son enfance les jeux d’Édouard II. Parvenu à l’âge d’homme, il unit sa destinée à celle de ce prince, qui l’honora toujours d’une affection intime exceptionnelle. Jean Piers commandait à Londres, en 1415, le navire la Petite Trinité de la Tour. Au nombre des officiers restés fidèles à Jacques II, et qui, après sa retraite au château de Saint-Germain, furent conduits dans quelques abbayes de l’Artois et de Flandre, on trouve encore des membres distingués de cette famille. En 1742, N. Peers, colonel au service de Sa Majesté Britannique, commandait un régiment anglais, sous les ordres du général major Howard". La suite de cette légende raconte que c'est en novembre 1688, lors de l'exil de Jacques II d'Angleterre, qu'un Peers de Raverside arriva dans les environs de Bruges où il épousa une d'Hont. Mais ceci est dépourvu de tout fondement historique. Les générations futures auraient conservé "de Raverside" jusqu'en 1866 où la famille devint "Peers de Nieuwburgh". Durant ce temps, cette famille se sépara en deux branches distinctes qui n'ont plus en commun que le nom et une parenté devenue lointaine. Histoire de la famille La famille descend de Charles-Jean Peers (1761-1819), avocat puis greffier auprès de Conseil de Flandre, époux d'Isabelle Dhont qui apporta sa considérable fortune à la famille grâce à l'héritage de son oncle le chevalier Charles-Jean Dhont de Nieuwburgh (1723-1798) mort sans enfants. Ils sont les parents d'Ernest Peers (Bruges - Oostkamp ), député et agronome, qui avait épousé en 1829 Marie-Françoise Ducpétiaux (1806-1871), sœur du célèbre réformateur social et franc-maçon Édouard Ducpétiaux (membre de la Société des douze). Les anoblissements La branche aînée fut anoblie avec le titre de baron le . La seconde branche de cette famille obtint le , concession du titre de baron transmissible par ordre de primogéniture masculine, et porte les armoiries suivantes : d'or à trois poires d'azur, deux, un, feuillées et tigées de sinople, l'écu sommé d'un heaume d'acier, fourré d'azur, grillé, colleté et liseré d'or, aux bourrelets et hachements d'or et d'azur. Branche aînée Baron Ernest Peers (1804-1895), épouse Marie Ducpétiaux (1806-1871) Léon Peers (1843, Oostcamp-1930, Oostcamp), épouse le à Gand Léontine van der Bruggen. La famille Peers obtint le l'autorisation d'ajouter à son nom celui de "de Nieuwburgh" Baron George Peers de Nieuwburgh (1867, Gand- 1932, Bruxelles). Épouse le à Gand Alix de Gourcy-Serainchamps (1871-1953) André Peers de Nieuwburgh (1896-1944, Bruxelles). Épouse le à Blehen la comtesse Marie Cornet d'Elzius de Peissant (1898-1979) Baron Carlos Peers de Nieuwburgh (1923, Blehen). Épouse en la dame Nadine Braun, petite-fille du baron Emile-Jean Braun, bourgmestre de Gand. Il était membre du Rallye Viellassent Baron Cédric Peers de Nieuwburgh''' (1949, Heusden). Ingénieur industriel en électronique et chevalier de l'ordre souverain de Malte. Épouse le la comtesse Marina de Looz-Corswarem, dame de l'ordre de la Croix étoilée. Nina Peers de Nieuwburgh (1988). Épouse en 2023 au Château de Thenissey Philippe Chevallier-Chantepie, conseiller politique au parlement européen Edward Peers de Nieuwburgh (1989) Henri Peers de Nieuwburgh (1954, Heusden) Branche cadette Le , naquit à Bruges Édouard Peers de la première femme d'Irénée Peers (1818-1888), la vicomtesse Mathilde de Nieulant et de Pottelsberghe (1820-1846). Édouard se maria le à Deurle avec Pauline de Kerchove de Denterghem (1845-1925). De son mariage, il eut 2 enfants : Albert et Madeleine (1871-1943). Le , il bénéficia de l'autorisation d'ajouter à son nom celui de "de Nieuwburgh". Il fut Bourgmestre de Waerdamme et décéda le à Oostcamp à l'âge de 78 ans. Albert Peers de Nieuwburgh naquit le à Oostcamp (commune voisine de Waerdamme) dont il devint Bourgmestre quelques années plus tard. Il se maria deux fois. La première fois le à Anvers avec la baronne Coralie Osy de Zegwaart (1869-1898). La deuxième fois fut le à Anvers avec Marthe de Terwangne (1878-1938). De son second mariage, il eut Élisabeth, Thierry, Christian, Édouard (1912-1980) et René. Pour les nombreux services qu'Albert rendit à la commune de Oostcamp (il construisit notamment la maison communale), il obtint le , concession du titre de baron transmissible par ordre de primogéniture masculine. Il décéda le à Oostcamp à l'âge de 71 ans. Édouard se maria en 1942 avec Lucienne Nothomb (1920-1998). Ils eurent deux enfants : Jean-Michel (1943) et Corinne (1944). Jean-Michel eut un fils, Adrien (1981). Il est marié depuis 1992 à Christine Dusch. Corinne, un premier avril, eut un enfant auquel elle donna son nom et, comme le veut la tradition, le prénom de son père : Édouard Peers de Nieuwburgh. René fut exécuté par les allemands en 1945 lors de leur retraite de la Flandre. Il faisait partie d'une cellule de la Résistance. Le baron Thierry Peers de Nieuwburgh naquit le à Waerdamme. Il reçut la clé de la ville de New York pour avoir représenté la Belgique lors de l'exposition universelle de New York de 1939. Il se maria avec Denise de Hemptinne et eut deux enfants : Dagmar en 1952 et Charles-Albert en 1954. Il décéda le à Bruges à l'âge de 72 ans. Le baron Charles-Albert Peers de Nieuwburgh se maria avec la vicomtesse Axelle Davignon (1959) et ils eurent Antoine (1987), Camille (1988), Maureen (1991) et Claire (1994). Notes et références Voir aussi Familles contemporaines de la noblesse belge Liste chronologique de familles belges Famille originaire du comté de Flandre Famille noble belge Généalogie d'une famille belge actuelle
Storsteinnes (Lyngen)
Storsteinnes est une localité du comté de Troms, en Norvège. Géographie Administrativement, Storsteinnes fait partie de la kommune de Lyngen. Annexes Liens internes Liste des localités du comté de Troms Localité de Troms
Support pour instrument de musique
Un support pour instrument de musique () est un accessoire particulier permettant de reposer en sécurité de façon stable un instrument de musique lorsque le musicien n'en joue pas. Le musicien d'orchestre jouant de plusieurs instruments au cours d'un même concert ou d'une répétition a normalement recours à cet accessoire pour protéger tout instrument au repos (par exemple, clarinettiste jouant clarinette en si bémol et clarinette en la, flûtiste jouant flûte de concert et piccolo...). Les supports sont généralement pliables pour faciliter leur transport. Ils sont fréquemment brevetés. Suivant le poids et la forme de l'instrument, le support peut être fabriqué dans différents matériaux : plastique, bois, métal... La stabilité de l'ensemble est généralement obtenu au moyen de la base d'un trépied. Support pour instruments à vent Chaque type d'instrument à vent possède divers modèles de support adapté à la taille et à la forme de l'instrument: maintien par emboîtement du pavillon : petit instrument (petits cuivres : trompette, cornet à pistons... ; petits bois : clarinette, hautbois, saxophone soprano droit ...) maintien par emboîtement de la perce droite : petit instrument (petits bois : flûte, piccolo...) maintien externe par le corps ou le pavillon : grands instruments (grands cuivres : tuba basse ... ; grands bois : basson, saxophone, clarinette basse ou contrebasse...) Il existe des supports combinés permettant d'accueillir plusieurs instruments de musique (par exemple, un saxophone ténor et une clarinette soprano). Afin d'éviter les fissures dans le corps d'un instrument en bois, de prévenir le blocage de ses emboîtements et les variations hygrométriques brusques et également pour protéger le clétage, un instrument doit être séché après une répétition et stocké dans son étui de protection et de transport. Il convient donc de ne pas le stocker à demeure sur ce type de support. Support pour instruments à cordes Il existe des supports adaptés à la morphologie des instruments à cordes : violoncelle, guitare électrique, guitare basse... Support pour claviers électroniques Les claviers électroniques ont besoin d'un support pour être jouer confortablement. Support pour percussion Suivant le type de percussion, l'instrument peut être suspendu (par exemple gong) ou posé sur un plateau (Glockenspiel) au niveau du support. Notes et références Voir aussi Housse (musique) Liens externes Quelques fabricants Bergerault (France). BG Franck Bichon (France). Hercules (Taïwan). König & Meyer (Allemagne). Accessoire de musique
جورجيو دي ستيفاني
جورجيو دي ستيفاني مواليد 24 فبراير 1904 في فيرونا - الوفاة 22 أكتوبر 1992 في روما، كان لاعب كرة مضرب إيطالي بدأ مسيرته كمحترف سنة 1920. أعلى تصنيف له في الفردي كان المركز الـ 6 في سنة 1934. النهائيات الفردي: 1 (0-1) روابط خارجية مراجع أعضاء اللجنة الأولمبية الدولية إيطاليون في الحرب العالمية الثانية حكام رياضة إيطاليون رياضيون من فيرونا لاعبو كرة مضرب إيطاليون مواليد 1904 مواليد في فيرونا وفيات 1992 وفيات في روما
Sophie-Élisabeth d'Anhalt-Dessau
Sophie-Elisabeth d'Anhalt-Dessau (née le - † ), est une princesse allemande qui règne comme duchesse-consort sur un duché de Silésie. Sophie-Elisabeth d'Anhalt-Dessau est la fille ainée de Jean-Georges d'Anhalt-Dessau et de son épouse Dorothée, fille du comte Jean-Albert VI de Mansfeld-Arnstein. Abbesse de Gernrode, elle épouse le 27 octobre ou le son cousin-germain Georges-Rodolphe de Liegnitz, duc de Liegnitz-Wohlau de 1602 à 1653. Elle meurt dès le sans avoir eu d'enfant. Sources Anthony Stokvis, Manuel d'histoire, de généalogie et de chronologie de tous les États du globe, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, préf. H. F. Wijnman, Israël, 1966, chapitre VIII « Généalogie de la Maison d'Anhalt », tableau généalogiques n° 126 (suite) 311. Europaïsche Stammtafeln Vittorio Klostermann, Gmbh, Francfort-sur-le-Main, 2004 , Die Herzoge von Liegnitz, Brieg und Wohlau 1586-1675 des Stammes der Piasten Volume III Tafel 11. Liens externes Maison d'Ascanie Naissance en février 1589 Naissance à Dessau Décès en février 1622 Décès à Liegnitz Décès à 32 ans Princesse d'Anhalt-Dessau
Règle de la somme
En analyse combinatoire, la ou est un principe de base du dénombrement. C'est l'idée que si nous avons a façons de faire quelque chose et b façons d'en faire une autre, mais que nous ne pouvons pas faire les deux en même temps, alors il y a a + b façons de choisir une de ces actions. Un exemple simple Une personne a décidé d'effectuer un achat dans une boutique aujourd'hui, soit dans le nord de la ville, soit dans le sud de la ville. Si elle va dans le nord, elle peut aller soit dans une boutique de vêtements, soit dans un magasin de bricolage, soit chez un chapelier (3 options). Si elle se rend dans le sud de la ville, alors elle a le choix entre une boulangerie et une épicerie (2 options). Finalement, il y a 3 + 2 = 5 magasins possibles où elle pourra effectuer un achat aujourd'hui. Formalisation De façon plus formalisée, la règle de la somme a trait à la théorie des ensembles. Elle établit que la somme des tailles d'une collection finie d'ensembles deux à deux disjoints est la taille de la réunion de ces ensembles. Ainsi, si sont des ensembles deux à deux disjoints, alors : . Principe d'inclusion-exclusion Le principe d'inclusion-exclusion peut être considéré comme une généralisation de la règle de la somme, au sens où il dénombre également les éléments dans la réunion de plusieurs ensembles, sans que ces ensembles doivent être disjoints. Il établit que si sont des ensembles finis, alors Référence Combinatoire fi:Todennäköisyysteoria#Tuloperiaate ja summaperiaate
Penryn (Californie)
Penryn est une census-designated place du comté de Placer, dans l'État de Californie, aux États-Unis. En 2020, elle compte une population de . Notes et références Voir aussi Liens externes Localité dans le comté de Placer Census-designated place en Californie
Rue Le Dantec
La rue Le Dantec est une voie située dans le quartier de la Maison-Blanche du de Paris. Situation et accès La rue Le Dantec est desservie à proximité par la ligne à la station Corvisart, ainsi que par la ligne de bus RATP . Origine du nom Elle porte le nom du biologiste Félix Le Dantec (1869-1917). Historique Cette rue a été ouverte en 1934 sur les terrains de l'office des Habitations à bon marché (HBM) de Paris afin de donner accès aux immeubles attenants. Bâtiments remarquables et lieux de mémoire Le Dantec Le Dantec
Twin Lake Township (comté de Hancock, Iowa)
Twin Lake Township est un township, du comté de Hancock en Iowa, aux États-Unis. Références Articles connexes Liste des villes de l'Iowa Liste des townships en Iowa par comté Iowa Source de la traduction Township en Iowa Comté de Hancock (Iowa)
Philippe Esnol
Philippe Esnol, né le à Boulogne-Billancourt, est un homme politique français. Membre de La République en marche depuis 2016 et anciennement du Parti socialiste et du Parti radical de gauche, il est maire de Conflans-Sainte-Honorine de 2001 à 2014 et sénateur des Yvelines de 2011 à 2017. Biographie Maîtrise de droit (faculté Paris-II) et diplômé de l'Institut supérieur d'interprétariat et traduction (anglais, espagnol) 1986-1988 : analyste Kepler Consultant, cabinet de conseil en organisation auprès des PME-PMI 1988-1990 : directeur de cabinet du maire de Plaisir 1990-1994 : directeur de cabinet du maire de Conflans-Sainte-Honorine 1995-1998 : attaché parlementaire de Michel Rocard au Sénat 1986-2013 : militant à la section de Conflans-Sainte-Honorine 1992-1995 : secrétaire de section de Conflans-Sainte-Honorine 1995-1998 : premier adjoint au maire de Conflans puis conseiller municipal de 1998 à 2001 1998-2011 : membre du conseil général des Yvelines 2001-2014 : maire de Conflans-Sainte-Honorine 2011-2017 : sénateur des Yvelines Anciennement proche de Jean-Paul Huchon, ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine et ancien président du conseil régional d'Île-de-France, ainsi que de l'ancien Premier ministre Michel Rocard, ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine, ancien conseiller général des Yvelines et ancien sénateur, il rejoint le PRG en 2013. Il est également proche de Pierre Cassen et du site web Riposte laïque, avec qui il organise une conférence à Conflans-Sainte-Honorine en . En 2002, il est candidat à l'élection législative dans la des Yvelines contre le sortant Pierre Cardo et est battu. Il est membre de l'équipe de campagne de Manuel Valls dans le cadre de la primaire visant à désigner le candidat socialiste à l'élection présidentielle de 2012. En , il annonce qu'il quitte le Parti socialiste pour rejoindre le Parti radical de gauche et le groupe RDSE au Sénat. Parmi ses motivations, il évoque de nombreux désaccords avec le parti, et dénonce un « parti d'apparatchiks » et l'attitude de son premier secrétaire, Harlem Désir, notamment sur l'affaire Leonarda. En rupture avec la gauche francilienne, il annonce son soutien à Valérie Pécresse, candidate de la droite et du centre aux élections régionales de . En , il adhère au mouvement « En marche ! » d'Emmanuel Macron. En , il annonce se représenter aux élections sénatoriales. Il ne reçoit cependant pas l'investiture LREM qui va à Martin Lévrier et se présente sous l'étiquette « majorité présidentielle », mais la liste qu'il mène est battue et ne remporte aucun siège. Détail des mandats et fonctions 1998-2011 : membre du conseil général des Yvelines, remplacé par sa femme Fanny Ervera 2001-2014 : maire de Conflans-Sainte-Honorine - : sénateur des Yvelines Notes et références Liens externes Blog officiel Sa fiche sur le site du Sénat Conseiller général des Yvelines Maire des Yvelines Maire membre du Parti socialiste (France) Naissance en avril 1954 Sénateur membre du Parti socialiste (France) Sénateur des Yvelines Candidat aux élections législatives françaises de 2002 Sénateur de la Cinquième République française Personnalité du Parti radical de gauche Naissance à Boulogne-Billancourt
Arellius Fuscus
Arellius Fuscus ou Aurélius Fuscus est un rhéteur qui a été probablement un maître pour Ovide et Pline l'Ancien. Papirius Fabianus, l'un des maîtres de Sénèque, fut son élève. Il déclamait avec aisance en grec et en latin dans une diction élégante et fleurie. Il est cité dans l'Histoire naturelle de Pline l'Ancien, ce qui place sa vie au av. J.-C. ou au début du ap. J.-C. Il fut exclu de l'ordre équestre à la suite d'une calomnie ; or les membres de cet ordre ne pouvaient avoir une mauvaise réputation vraie ou fausse. Voir aussi Liens externes Rhéteur du Ier siècle av. J.-C.
Gare de Shin-Tochigi
La est une gare ferroviaire de la ville de Tochigi, dans la préfecture de Tochigi au Japon. La gare est exploitée par la compagnie Tōbu. Situation ferroviaire La gare est située au point kilométrique (PK) 47,9 de la ligne Tōbu Nikkō. Elle marque le début de la ligne Tōbu Utsunomiya. Histoire La gare de Shin-Tochigi a été inaugurée le . Service des voyageurs Accueil La gare dispose d'un bâtiment voyageurs, avec guichets, ouvert tous les jours. Desserte Ligne Tōbu Nikkō : voies 1 à 3 : direction Tōbu-Nikkō voies 2 et 3 : direction Tōbu-dōbutsu-kōen, Kita-Senju et Asakusa Ligne Tōbu Utsunomiya : voies 1 à 3 : direction Tōbu-Utsunomiya voies 2 et 3 : direction Tochigi Notes et références Notes Références Voir aussi Articles connexes Ligne Tōbu Nikkō Ligne Tōbu Utsunomiya Lien externe La gare de Shin-Tochigi sur le site Tōbu Gare dans la préfecture de Tochigi Gare Tōbu Gare mise en service en 1929
Márcia Malsar
Márcia Malsar est une sprinteuse brésilienne paralympique. Biographie En 1984, elle devient la première athlète brésilienne de l'histoire à remporter une médaille d'or paralympique. Elle a remporté trois médailles aux jeux paralympiques de 1984 et 1988 et a participé en 1992. Elle porte la flamme paralympique lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Paralympiques de 2016 à Rio de Janeiro. Références Liens externes Márcia Malsar sur paralympic.org Athlète (femme) aux Jeux paralympiques d'été de 1984 Athlète (femme) aux Jeux paralympiques d'été de 1988 Athlète (femme) aux Jeux paralympiques d'été de 1992 Championne paralympique brésilienne Championne paralympique d'athlétisme Athlète handisport brésilienne Médaillée d'argent paralympique brésilienne Médaillée de bronze paralympique brésilienne
جيمس هارمان
جيمس هارمان هو مغني وكاتب أغاني وعازف بيانو أمريكي، ولد في 8 يونيو 1946 في أننيستون في الولايات المتحدة. مراجع وصلات خارجية أشخاص من أننيستون طبالو بلوز أمريكيون عازفو بيانو أمريكيون عازفو بيانو أميركيون في القرن 20 عازفو بيانو أميركيون في القرن 21 عازفو بيانو بلوز أمريكيون عازفو قيثارة أمريكيون عازفو قيثارة أمريكيون في القرن 20 عازفو قيثارة بلوز أمريكيون عازفو قيثارة من ألاباما كتاب أغان أمريكيون كتاب أغان من ألاباما مغنو بلوز أمريكيون مغنون أمريكيون مواليد 1946 موسيقيو بلوز من ألاباما موسيقيون ذكور أمريكيون في القرن 20 موسيقيون ذكور أمريكيون في القرن 21 وفيات السرطان في كاليفورنيا
Auguste de Forbin
Louis Nicolas Philippe Auguste, baron (en 1810), puis comte de Forbin (né au château familial de la Roque-d'Anthéron le , mort le à Paris) est un peintre, écrivain archéologue et administrateur français, ancien élève de David. Il succéda à Vivant Denon en 1816 comme directeur général du musée du Louvre. Biographie Enfance et Éducation Dès l'enfance, Auguste de Forbin fréquente François Marius Granet avec lequel il est élève du peintre Jean-Antoine Constantin à Aix-en-Provence. Une amitié solide se noue entre les deux hommes et, par la suite, Forbin aide Granet dans sa carrière. En 1793, il est à Lyon lors du siège de la ville par la Convention, assiste à la mort de son père et de son oncle, est recueilli et est élevé par un habile dessinateur lyonnais, Jean-Jacques de Boissieu, qui l’initie à la pratique de son art. Son goût pour la peinture le conduit ensuite à Paris où il est rejoint par son ami Granet. Tous deux prennent des cours auprès du peintre Demarne, puis quittent son atelier pour devenir élèves de Jacques Louis David. Jeunesse En 1799, il est incorporé dans le de chasseurs à cheval, et deux ans après dans le de dragons. Ensuite, il quitte une première fois sa carrière militaire pour se consacrer à la peinture. Il visite l’Italie, où il obtint la protection de la princesse Borghese (sœur de Napoléon), dont il devint le chambellan en 1803 et l'amant jusqu'en 1807. Leurs amours furent abritées par le château de la Mignarde à Aix-en-Provence, où Pauline effectua des séjours, et au château de la Barben appartenant à la famille de Forbin où un boudoir a été décoré pour elle par Granet. Chateaubriand écrit à propos de cette époque (été 1805) dans Mémoires d'Outre-tombe : . Lors d'un séjour à Aix-en-Provence, en mai 1807, elle fut reçue à l'hôtel de Forbin. Il en perdit brusquement l'estime en octobre de la même année. Napoléon l'envoya alors au Portugal où il réintégra l'armée, attaché à l'état major du duc d'Abrantès (Junot). Il participe alors à la première campagne du Portugal et reçoit la croix de la Légion d'honneur. Il se distingue en particulier durant la bataille d'Évora, où il fut un des tout premiers à entrer dans la ville avec le général Pierre Margaron. Il sert ensuite sous les ordres du maréchal duc d'Istrie (Bessières) pendant la campagne d'Autriche. Après le traité de Schönbrunn, il retourne en Italie pour se consacrer aux arts. Direction des musées de France Il revient à Paris en 1814 au moment de la première restauration puis des cent-jours durant lesquels il termine son tableau "Mort de Pline". Nommé en 1816 grâce au duc de Richelieu, directeur général des musées royaux, sous la seconde restauration, il agrandit celui du Louvre ; crée le musée Charles X pour les antiquités et en établit un spécial au Luxembourg pour les œuvres des peintres vivants (en 1818). Sous sa direction de nombreuses œuvres entrent dans les collections du Louvre, comme Les Sabines et son pendant Léonidas aux Thermopyles de David. Entrent aussi des antiquités comme celles acquises durant son voyage dans le Levant, en particulier des statues égyptiennes comme celle de Sekhmet qui porte l'inscription Forbin sur le pilier dorsal. Entre également la Vénus de Milo découverte en 1820. On peut noter que son futur gendre Marcellus s'est rendu sur place lors de l'acquisition de cette statue par la France. Après plusieurs années de persévérance, il parvient après la mort de l'artiste, à convaincre le ministre Sosthène de La Rochefoucauld de financer l'acquisition du Radeau de la Méduse de Géricault en 1824. Le tableau est acheté par l'intermédiaire de Dedreux-Dorcy ami du peintre. Voyages En 1817, Forbin entreprend un long voyage dans le Levant dans l'intérêt des arts. Il embarque à bord de différents navires appartenant à la division navale française au Levant commandée par le commandant Halgan, et arrive après plusieurs étapes jusque Saint-Jean-d'Acre, l'expédition se poursuivant ensuite à terre. Forbin est accompagné des peintres Pierre Prévost et son neveu Léon Matthieu Cochereau ainsi que l'architecte Jean-Nicolas Huyot. L'abbé de Forbin-Janson les accompagne durant la première partie du voyage. Linant de Bellefonds, membre de l'équipage de leur premier navire, quitte celui-ci et se joint en septembre à l'expédition pour aider Pierre Prévost dans son travail. Les principaux lieux visités sont dans l'ordre Milos, Athènes, Constantinople, Éphèse, Saint-Jean-d'Acre, Jérusalem, Gaza, Damiette, Le Caire, Louxor, Thèbes, Rosette et Alexandrie. De nombreuses péripéties, le décès de Léon Matthieu Cochereau et la blessure de Jean-Nicolas Huyot émaillent l'expédition. Le 24 avril 1818, après une longue traversée orageuse à bord d'un brick, le voyage s'achève par un séjour au lazaret de Marseille. Forbin ajoute dans son récit "Voyage dans le Levant" qu'il a acquis durant ce voyage pour d'antiquités pour le musée Royal frais de transport compris. Dans son texte Voyage dans le Levant (1819) il raconte l'amour tragique du jeune Arabe Ismail pour la chrétienne Mariam. Le peintre Horace Vernet réalise une étude pour un tableau aujourd'hui perdu Ismail et Mariam (1819) qui est conservé au Musée de l'Ermitage à Saint-Petersbourg sous le titre "Tête d'un arabe". En 1820, il fait un autre voyage en Sicile, qui comme celui de 1817, fait l'objet d'une publication. Déclin En 1828, il subit une attaque vasculaire dont il ne se remet jamais entièrement. En 1841 une seconde attaque le laisse paralysé, il meurt peu de temps après à Paris. Il est inhumé au cimetière Saint-Pierre d'Aix-en-Provence. Famille Fils de François, Anne, Gaspard, Palamède de Forbin marquis de Pont-à-Mousson et de Françoise Marthe de Milan de la Roque, il appartient à la branche familiale des Forbin-la Barben. Le 28 juin 1799, il épouse à Dompierre-les-Ormes (71), une riche héritière, Mélanie Roseline Félicité de Dortan dame d'Audour née le 6 mars 1776, décédée à Lyon le 5 juillet 1825, (fille de Charles Francois Marie Joseph de Dortan et de Thérèse Rosaline Claudine de Damas). Grâce à sa femme Forbin hérite du château d'Audour. De ce mariage naissent deux filles : (Marthe-Constance-Rosseline) Lydia née le 4 mai 1800 à Dompierre-les-Ormes. Marthe-Lydia épouse le Vicomte Alexandre Paul de Pinelli. De ce mariage naissent en 1823 Auguste de Pinelli (peintre) et le 11 février 1825 Mélanie (arrière-grand-mère de Louise de Vilmorin). En 1843, après le décès du Vicomte de Pinelli, Lydia épouse Claudius Jacquand, artiste peintre. Valentine en 1804 (épouse du comte de Marcellus). Œuvres Peintre habile lui-même, il a produit, entre autres ouvrages : Procession des Pénitents noirs (1806); Vision d’Ossian (1806); voir le tableau de Girodet Ossian reçoit les héros français morts pour la Patrie (1805) au château de La Malmaison) ; Mort de Pline, Juillet 1816; l’Éruption du Vésuve (1817) qui lui ouvrit les portes de l’Académie des beaux-arts ; Religion au tribunal de l’Inquisition (1817); Inès de Castro couronnée après sa mort (1819); Vue de Jérusalem près de la vallée de Josaphat, 1825 (Paris, musée du Louvre) ; exposé au Salon Parisien de 1831; Campo Santo à Pise, 1827. Cloître de Santa Maria Novella à Florence, 1827. Ses écrits : 1800. Charles Barimore, roman sentimental, 1810. , 1819. , 1823. Mois à Venise, 1824, ouvrages accompagnés de vues prises par lui-même. Hommages Auguste de Forbin a reçu les distinctions suivantes : Il a reçu une médaille d'or au salon de 1808, Il était membre de l'académie des beaux-arts (élu en 1816). Commandeur de la Légion d'honneur (20 juillet 1822), après avoir été fait chevalier en 1809 et officier en 1817. Chevalier de Saint-Louis et de l'ordre souverain de Malte. Une place devant le château de la Roque-d'Anthéron porte son nom, une plaque gravée en souvenir de sa naissance en ce lieu y est visible. Notes et références Voir aussi Bibliographie F. Fayot, «Comte de Forbin, nécrologie», in "L'artiste", 1841, Tome 7, . Directeur général des musées de France. Auteur : Comte de Marcellus, Éditeur : Challamel (Paris), 1843 Paul Masson (sous la direction de), Encyclopédie départementale des Bouches-du-Rhône, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Marseille, 17 volumes parus de 1913 à 1937, tome XI, . Louis du Chalard & Antoine Gautier, Les panoramas orientaux du peintre Pierre Prévost (1764 - 1823), in Orients, Bulletin de l'association des anciens élèves et amis des langues orientales, juin 2010, . Iconographie Il fut portraituré par Delacroix en 1812 (coll. particulière), et vers 1851 par l'aixois Joseph Marius Ramus (1805-1888), auteur d'un buste de lui en hermès en marbre, entré au Musée du Louvre en 1853, d'après un modèle exposé au Salon de 1831 (reprod. dans Le comte de Nieuwerkerke - Art et Pouvoir sous Napoléon III, catalogue de l'exposition du château de Compiègne, 6/10/2000- 8/01/2001, p.91). Liens externes Les archives des dons aux musées royaux et des secours aux artistes prodigués par le roi Louis-Philippe sont conservées aux Archives nationales. Peintre français du XIXe siècle Dirigeant du musée du Louvre Directeur français de musée Romancier français du XIXe siècle Académie des beaux-arts (France) Commandeur de la Légion d'honneur promu en 1822 Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis Chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem Famille de Forbin Famille de Dortan Naissance en août 1777 Naissance à La Roque-d'Anthéron Naissance dans la province de Provence Naissance dans la province de Provence (dans le département actuel des Bouches-du-Rhône) Décès en février 1841 Décès dans l'ancien 2e arrondissement de Paris Décès à 63 ans
ونكة حرشاء
ونكة حرشاء (الاسم العلمي:Littorina scabra) هي من الحيوانات تتبع الونكة من الونكات. انظر أيضاً الونكة مراجع ونكة حرشاء ونكة حرشاء
George Dyson
George Dyson, né le à Halifax et mort le à Winchester, est un organiste et compositeur britannique renommé. Il est également le père du physicien britannique Freeman Dyson. Biographie Issu d’une famille peu fortunée, son père était forgeron, il obtint deux bourses d’études pour étudier l’orgue et la composition au Royal College of Music à Londres. En 1904 il remportait la bourse Mendelssohn, ce qui lui permit de séjourner en Italie et de passer par Vienne et Berlin. Il rejoint les Royal Fusiliers en 1914, puis la Royal Air Force en 1916, où il termine l'écriture de la deuxième partie de la RAF March Past. En 1921 il commence une carrière comme professeur de musique dans différentes écoles : maître de musique au Wellington College de Crowthorne et professeur de composition au Royal College of Music, dont il est nommé directeur en 1937, et où il resta jusqu'en 1942. Œuvre Avant la guerre de 1914 il commence à se faire connaître par ses trois rhapsodies pour quatuor à cordes. Entre les deux guerres il fut surtout célèbre grâce à sa musique chorale, d’abord de la musique d’église, puis des œuvres pour chœur et orchestre, notamment l'hymne Hierusalem, composé en 1956. Peu avant la seconde guerre, il écrivit une symphonie en sol majeur et un concerto pour violon. Il continua à écrire encore après avoir quitté ses fonctions au Royal College of Music : Sweet Thames Run Softly, Agincourt, A Christmas Garland… Distinctions Chevalier (Knight Bachelor - 1941) Chevalier commandeur de l'ordre royal de Victoria (KCVO - 1953) Notes et références Source Texte de Lewis Foreman, accompagnant le CD réf. CHAN10439 Liens externes Sir George Dyson Trust Compositeur britannique de musique classique Compositeur britannique de musique classique de la période moderne Knight Bachelor Chevalier commandeur de l'ordre royal de Victoria Naissance en mai 1883 Naissance à Halifax (Royaume-Uni) Décès en septembre 1964 Décès à Winchester (Royaume-Uni) Étudiant du Royal College of Music Décès à 81 ans
Wien 1910
Wien 1910 (en français, Vienne 1910) est un film allemand réalisé par E. W. Emo, sorti en 1943. Ce film de propagande nazie raconte les trois derniers jours de Karl Lueger, maire chrétien-social de Vienne, homme politique antisémite, mort le . Synopsis Vienne, le . Une nouvelle remue la capitale impériale : Le Lueger est en train de mourir !. L'homme tout aussi populaire que controversé de 65 ans, maire depuis 13 ans, ne s'est pas fait que des amis au cours de sa carrière politique. Les officiers de l'armée se sont réunis à la Hofburg et y vont de leurs commentaires fort peu hagiographiques. Les Juifs de la ville peuvent difficilement cacher leur joie secrète sur le mort imminente de K. Lueger. Les politiciens locaux non plus ne versent pas de larmes. Un des adversaires politiques les plus acharnés de Karl Lueger est le libéral Lechner. Quand il apprend la nouvelle, il se demande aussitôt comment son parti en tirera profit. De plus, il y aura de nouveaux projets qui feront prospérer ses entreprises. Au Parlement, la mort de K. Lueger suscite de vives discussions sur ses projets qui servent le bien commun et les citoyens viennois, ce que ne partagent les opportunistes et les libéraux qui veulent faire des profits sur le dos des miséreux. On entend alors la voix de K. Lueger dans la salle. Il parle avec beaucoup de verve contre les "hyènes du commerce" et "la spéculation sans scrupules", critiquant le capitalisme. Il veut développer le gaz et le tramway pour que tous les Viennois en bénéficient. Le parlement hurle, Lechner a le front en sueur. L'orateur K. Lueger combat autant les sociaux-démocrates que la Cour impériale, les capitalistes irresponsables que les Juifs. Pendant ce temps, à l'université, les soutiens de K. Lueger et les partisans de l' se disputent puis en viennent aux mains. À côté, deux étudiants parlent entre eux et pensent que les Juifs tireront avantage du désaccord entre les deux ligues. Lechner veut espérer que l'apparente bonne constitution du maire et son discours au Parlement seront de lointains souvenirs. Afin de ne pas tout compromettre, Lechner décide d'aider K. Lueger à sa façon, en lui donnant le coup de grâce. Il rend visite à Victor Adler, un rédacteur en chef juif et opposant politique du maire. En attendant, vient d'arriver à Vienne, Maria Anschütz, l'amour de jeunesse de K. Lueger, venu faire ses adieux au maire devenu aveugle et maintenant agonisant. Un mouchard informe V. Adler qui se dépêche de faire publier un article contre K. Lueger. Le maire est heureux d'avoir vu à nouveau Marie, mais il se demande comment son mari réagira à son retour. Maria veut néanmoins rester à Vienne pour être à ses côtés à l'approche de la mort. K. Lueger et V. Adler se rencontrent ; V. Adler lui dit d'attendre le lendemain pour voir l'effet que fera son article. Le politicien fera le reste. Les officiers sont mécontents de la venue de K. Lueger au Parlement, disant qu'il ne mérite pas l'attention de l'Empereur. K. Lueger est furieux quand il découvre le lendemain le journal de V. Adler. La "colère populaire" saccage la rédaction, V. Adler jure de se venger. Lechner veut vendre de grandes quantités d'obligations d'État, afin de ruiner Vienne et les Viennois. K. Lueger saisit l'entente entre le capitaliste et le Juif. Il ne veut pas se laisser faire. Avec ses dernières forces, il veut mener à bien ses ultimes projets sociaux car il se rend compte qu'il n'a plus beaucoup de temps. Une autre nouvelle fait l'effet d'une bombe : Georg von Schönerer est à Vienne ! Bien que K. Lueger et G. von Schönerer ont beaucoup de désaccords, tous deux sont antisémites. Quand l'opposant aux Habsbourg et le nationaliste se comprennent, K. Lueger fait un pas vers un compromis tandis que l'irréductible G. von Schönerer veut détruire la maison d'Autriche et réunir tous les Allemands. G. von Schönerer est venu à Vienne à la demande de K. Lueger car il espère encore une réconciliation, parce que finalement les deux hommes ont des cibles très semblables. K. Lueger et G. von Schönerer se rencontrent le . Mais ils se querellent : K. Lueger se voit comme un Allemand fidèle à l'Autriche-Hongrie alors que G. von Schönerer aspire à la Grande Allemagne. K. Lueger lui demande de faire la paix car il y a eu des morts lors de la bagarre à l'université et cela profite à leur ennemi. G. von Schönerer lui rétorque qu'il fait dans le sentimentalisme concernant l'Autriche-Hongrie et qu'on le considérera comme un traître. G. von Schönerer quitte la salle. Fatigué, K. Lueger se rend à un bal viennois. La rumeur dit que l'Empereur ne viendra pas finalement. Entre-temps Lechner semble éprouver des remords sur ses spéculations. Pendant le bal, K. Lueger fait un malaise et est installé dans une pièce, avec sa famille. Il meurt le lendemain, le , tandis que derrière la porte attendent Maria Anschütz et Karl Lechner, le fils de l'opposant. Dans la matinée, les Viennois viennent en masse à la mairie pour pleurer Karl Lueger. Dans la foule se trouve G. von Schönerer. Sur le toit de la mairie est hissé un drapeau noir. Fiche technique Titre : Wien 1910 Réalisation : E. W. Emo assisté de Karl Goritschan Scénario : Gerhard Menzel Musique : Willy Schmidt-Gentner Direction artistique : Karl Weber Costumes : Remigius Geyling Photographie : Hans Schneeberger Son : Otto Untersalmberger Montage : Arnfried Heyne Production : Sociétés de production : Wien-Film Société de distribution : Deutsche Filmvertriebs Pays d'origine : Langue : allemand Format : Noir et blanc - 1,37:1 - Mono - Genre : Drame, biographie Durée : 92 minutes Dates de sortie : : . Distribution Rudolf Forster : Karl Lueger Carl Kuhlmann : Lechner Heinrich George : Georg Ritter von Schönerer Lil Dagover : Maria Anschütz Herbert Hübner : Victor Adler O. W. Fischer : Karl Lechner, le fils : Pumera, le majordome de Lueger Otto Tressler : Eduard von Paar Harry Hardt : : Gessner : Hildegard, la sœur de Lueger Rosa Albach-Retty : Rosa, la sœur de Lueger : Prof. Pupowatsch Kurt von Lessen : Le premier maire-adjoint Josef Neumayer Karl Hellmer : Schmöger, le bras droit de Lueger Arthur von Duniecki : Burchard Erik Frey : Birkner, l'employé de Burchard : L'officier d'ordonnance de l'Empereur Hans Unterkircher : Panzinger Ferdinand Maierhofer : Max, le client du bar : Korl, le propriétaire d'une épicerie Georg Lorenz : Fink, un employé de Korl Egon von Jordan : Un jeune homme au bal Josef Stiegler : Le vieil adjudant à la cour impériale : Le majordome de l'empereur Ernst Reitter : Großmann Histoire Prévu en 1940 sous le titre de Lueger, Wien 1910 est réalisé durant l'automne 1941 et en 1942 à Babelsberg ainsi qu'à Vienne. Il passe devant la censure le . La première a lieu à Vienne le . Il est diffusé en Allemagne à partir du . Un film sur Karl Lueger n'est pas une surprise, car l'antisémitisme de Lueger précède celui d'Adolf Hitler qui le cite dans Mein Kampf. Joseph Goebbels s'intéresse au tournage et au montage du film. Le rôle de Lueger est donné à Rudolf Forster pour le remercier d'être revenu en Allemagne après un exil aux États-Unis. Le film est truffé d'éléments de propagande concernant les principaux points de l'idéologie nazie : Wien 1910 propage intensément l'idée du pangermanisme, caricature le régime parlementaire et attaque un capitalisme sans scrupules. De plus, il reprend tous les préjugés contre les Juifs dans de nombreuses scènes. Les rôles des deux protagonistes centraux sont clairement définis. Alors que dans le film Lueger symbolise le passé, l'obsolescence, le compromis et la politique des petits pas, Schönerer représente le grand innovateur, le révolutionnaire pangermaniste dans le sens voulu par Hitler. À sa sortie, Wien 1910 n'a pas de succès et perd beaucoup d'argent. Dans une liste non publiée du sur les films ayant fait le moins d'entrée, Wien 1910 est le premier cité avec une dette de 2,1 millions de reichsmarks ; le film en a coûté 2,5. Après la Seconde Guerre mondiale, le film est interdit par les autorités alliées. Notes et références Voir aussi Article connexe Liste des longs métrages allemands créés sous le nazisme Liens externes Film allemand sorti en 1943 Film dramatique allemand Film biographique allemand Film de propagande nazie Film allemand en noir et blanc Film réalisé par E. W. Emo
Jacques Martin
Jacques Martin peut désigner : Jacques Martín (-1623), prélat français du ; Dom Jacques Martin (1684-1751), mauriste et érudit français ; Jacques Martin de Bourgon (1742-1820), général de brigade français, gouverneur de la Guyane et de la Dominique ; Jacques Martin (1766-1833), homme politique français ; Jacques Martin (1844-1919), peintre lyonnais ; Jacques Martin (1885-1976), sculpteur et médailleur français ; Jacques Martin (1906-2001), pasteur protestant français et pacifiste, juste parmi les nations ; Jacques-Paul Martin (1908-1992), cardinal et préfet de la Maison pontificale ; Jacques Martin (1912-1995), germaniste et traducteur français ; Jacques Martin (1921-2010), auteur français de bande dessinée ; Jacques Martin (1933-2007), humoriste et animateur français ; Jacques Martin (1933-2005), homme politique suisse ; Jacques J. P. Martin (1942-), maire de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) ; Jacques Martin Vaskou (1948-2001), fondateur et président de l'Union bouddhiste de France ; Jacques Martin (1952-), entraîneur canadien (Ontarien) de hockey sur glace ; Jacques Martin (1952-2004), coureur cycliste belge.
Virginia Foxx
Virginia Foxx, née Palmieri le à New York, est une femme politique américaine, membre du Parti républicain et élue de la Caroline du Nord à la Chambre des représentants des États-Unis depuis 2005. Biographie Jeunesse et carrière dans l'éducation Virginia Foxx naît à New York et grandit dans les Appalaches. Après des études à l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill, dont elle sort diplômée en 1972, elle devient enseignante au sein du . Candidate malheureuse au conseil de l'éducation du comté de Watauga en 1974, elle y est élue de 1976 à 1988. Elle enseigne par la suite à l'Appalachian State University, avant de devenir vice-doyenne de l'institution. Après avoir obtenu un doctorat en éducation de l'université de Caroline du Nord à Greensboro, elle prend en 1987 la présidence du à Spruce Pine. Elle possède également une entreprise d'horticulture et de paysagisme. Carrière politique Elle est élue au Sénat de Caroline du Nord en 1994. Dix ans plus tard, elle se présente à la Chambre des représentants des États-Unis dans le de Caroline du Nord. Le républicain sortant, Richard Burr, est candidat au Sénat. Foxx arrive deuxième du premier tour de la primaire républicaine avec 22 % des voix, derrière le conseiller municipal de Winston-Salem Vernon Robinson (24 %). Elle remporte le second tour avec 55 % des suffrages. Elle devient alors largement favorite dans un district ayant voté à 67 % pour George W. Bush en 2000. Elle est élue représentante avec 58,8 % des voix face au démocrate Jim Harrell. Elle est depuis réélue tous les deux ans avec un score compris entre 57 et 61 % des voix (à l'exception de la « vague républicaine » de 2010 qui lui permet de rassembler 65,9 % des voix). Depuis le congrès, elle préside la sous-commission sur l'enseignement supérieur. Positions politiques Virginia Foxx se classe parmi les élus les plus conservateurs de la Chambre des représentants. Elle souhaite notamment réduire le rôle du gouvernement fédéral dans l'éducation, voire supprimer le département de l'Éducation des États-Unis. Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste des représentants des États-Unis pour la Caroline du Nord Liens externes Naissance en juin 1943 Représentant des États-Unis pour la Caroline du Nord Personnalité du Parti républicain en Caroline du Nord Personnalité politique américaine du XXe siècle Représentante des États-Unis Étudiant de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill Étudiant de l'université de Caroline du Nord à Greensboro Naissance à New York
ADEOS-II
ADEOS-II, (Advanced Earth Observing Satellite-II, ou en japonais : Midori-II, Midori signifie « Vert », est un satellite d'observation de la Terre développé par l'Agence spatiale japonaise NASDA et lancé le . Ce gros satellite d'observation de la Terre qui emporte d'instrumentation scientifique constitue la contribution japonaise au programme de recherche international sur le changement climatique. Ses instruments collectent des données contribuant à la mesure du cycle du carbone, de l'eau et de l'énergie mais également des données utilisées par la météorologie et la pêche. ADEOS-II prend la suite d'ADEOS-I perdu un an après son lancement en 1996. ADEOS-II est lui-même perdu un an après son lancement à la suite d'une défaillance sans doute accidentelle. Objectifs Les objectifs d'ADEOS-II s'inscrivent dans le cadre du programme mondial de recherche sur le changement climatique IEOS qui inclut également les programmes EOS (États-Unis), ENVISAT et MetOp (Agence spatiale européenne) et EUMETSAT. Ces objectifs sont les suivants : Collecte périodique et systématique des données sur le cycle de l'eau et de l'énergie. Évaluation de la quantité de la biomasse et la productivité générale en tant que paramètre du cycle de carbone jouant un rôle important dans le réchauffement climatique. Détection des tendances au changement climatique sur le long terme. Historique ADEOS-II prend la suite du satellite ADEOS-I perdu un an après son lancement, en , à la suite d'une rupture mécanique de son panneau solaire. ADEOS-II est lancé le depuis la base de lancement de Tanegashima par le lanceur H-IIA # 4. Il est placé sur une orbite héliosynchrone de avec une inclinaison de 98,7°. Le , le contact avec le satellite est perdu. La commission d'enquête nommée pour trouver l'origine du dysfonctionnement conclut soit à un impact d'un débris spatial ayant créé un arc électrique au niveau du panneau solaire soit à une défaillance liée à une éruption solaire. Caractéristiques techniques ADEOS-II est un gros satellite d'observation de la Terre de construit par l'industriel Mitsubishi Heavy Industries qui reprend les caractéristiques d'ADEOS-I pour limiter les coûts. Ses dimensions extérieures sont de x x . Un panneau solaire formant une aile solaire unique longue de et large de fournissent . Le satellite est stabilisé sur 3 axes. Il communique en bande S (bas débit) et en bande Ka (débit de 120 mégabits) avec les stations terrestres. Instrumentation Le satellite emporte cinq instruments d'une masse totale de , dont deux développés par la NASDA et trois conçus par des partenaires nationaux ou internationaux : AMSR (Advanced Microwave Scanning Radiometer ) est un radiomètre avancé à balayage hyperfréquence de la NASDA qui analyse les émissions micro-ondes de la surface de la Terre et de l'atmosphère. Différents paramètres géophysiques peuvent être déduits de ces mesures comme la densité de la vapeur d'eau, la vitesse des vents de surface au-dessus des eaux, l'humidité de sols... GLI (Global Imager) est un senseur optique de la NASDA qui analyse le rayonnement solaire réfléchi par la surface de la Terre et les nuages. La mesure se fait sur plusieurs longueurs d'onde caractérisant la chlorophylle, les composés organiques, la densité de la végétation, la température, la présence de la neige ou de glace et la distribution des nuages. Ces données permettent de comprendre la circulation globale du carbone et le changements climatiques. ILAS-II (Improved Limb Atmospheric Spectrometer-II) est un spectromètre développé par la NASDA dont l'objectif est de contrôler la couche d'ozone présente dans la stratosphère aux hautes latitudes. SeaWinds est un scatteromètre développé par le centre JPL de la NASA pour mesurer avec une précision élevée la vitesse et la direction des vents au-dessus des océans avec une couverture de 90 % des eaux libres de glaces. POLDER-2 (Polarization and Directionality of the Earth's Reflectances) est un instrument de l'agence spatiale française (CNES). Ce radiomètre imageur mesure la polarisation, la direction et les caractéristiques spectrales de la lumière solaire réfléchie par les aérosols, les nuages, les océans et les surfaces du sol. Notes et références Sources . . Voir aussi Articles connexes Changement climatique. H-IIA. NASDA. Liens externes Site scientifique officiel de la mission (JAXA). Satellite d'observation de la Terre Programme spatial japonais Réchauffement climatique Satellite artificiel lancé en 2002
Jores Okore
Jores Okore, né le à Abidjan (Côte d'Ivoire) est un footballeur international danois qui évolue au poste de défenseur à Aalborg. Biographie Jores est un footballeur danois d'origine ivoirienne né le . C'est un des jeunes les plus doués de sa génération au poste de défenseur central. Né à Abidjan, il a commencé sa carrière aux antipodes de ce pays, au Danemark dans le club de Nordsjaelland. Il participa aussi à la Ligue des champions avec cette même équipe au cours de l'édition 2012-2013 où il s'illustra notamment contre Chelsea. Depuis le c'est un joueur d'Aston Villa. Palmarès FC Nordsjælland Champion du Danemark en 2012. Vainqueur de la Coupe du Danemark en 2011. FC Copenhague Champion du Danemark en 2017 Vainqueur de la Coupe du Danemark (1) : 2017 Statistiques Dernière mise à jour le Notes et références Liens externes Naissance en août 1992 Naissance à Abidjan Footballeur international danois Footballeur ivoirien Joueur du FC Nordsjælland Joueur de l'Aston Villa FC Joueur du FC Copenhague
Sander Dekker
Sander Dekker, né le à La Haye, est un homme politique néerlandais. Membre du Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD), il est ministre de la Protection juridique entre et dans le troisième cabinet de Mark Rutte. Biographie Engagement local Élu au conseil municipal de La Haye de 2003 à 2006, où il préside le groupe du VVD de 2004 à 2006, Sander Dekker devient dès lors échevin, se voyant attribuer le portefeuille de l'éducation, de la jeunesse et des sports jusqu'en 2010, lorsqu'il prend en charge les finances et l'aménagement urbain. Fonctions au gouvernement En 2012, il est nommé à l'Éducation, à la Culture et à la Science, sous la direction de la ministre travailliste Jet Bussemaker au sein du deuxième cabinet de Mark Rutte. Il change de fonction en 2017, dans le troisième cabinet de Mark Rutte, pour devenir ministre de la Protection juridique, un poste de ministre sans portefeuille nouvellement créé au ministère de la Justice et de la Sécurité. En 2018, il se fait remarquer à l'international pour avoir enclenché la fermeture de prisons aux Pays-Bas résultant d'une baisse de la population carcérale. En 2022, il se retire de la vie politique lors de la prestation de serment du quatrième cabinet de Mark Rutte, dans lequel lui succède. Vie privée En juin 2022, Sander Dekker est victime d'une grave chute à vélo au sud-ouest de La Haye, après laquelle il est hospitalisé cinq semaines. Notes et références Voir aussi Articles connexes Cabinet Rutte et III Liens externes Personnalité du Parti populaire pour la liberté et la démocratie Ministre néerlandais du XXIe siècle Secrétaire d'État néerlandais Échevin de La Haye Étudiant de l'université de Leyde Naissance en février 1975 Naissance à La Haye
Edisen Fishery
L'Edisen Fishery est une ancienne pêcherie américaine dans le comté de Keweenaw, au Michigan. Protégée au sein du parc national de l'Isle Royale, elle est inscrit au Registre national des lieux historiques depuis le . Liens externes Bâtiment dans le parc national de l'Isle Royale Pêche Registre national des lieux historiques dans le parc national de l'Isle Royale Registre national des lieux historiques en 1977 Isle Royale
Centre de recherche sur les francophonies canadiennes
Le Centre de recherche sur les francophonies canadiennes (CRCCF), anciennement le Centre de recherche en civilisation canadienne-française est un centre de recherche de l'Université d'Ottawa. Il réunit des chercheurs et des chercheuses de la francophonie ontarienne, acadienne et canadienne, œuvrant en littérature et en sciences humaines et sociales. Histoire Le Centre de recherche en civilisation canadienne-française est fondé le 2 octobre 1958 par quatre professeurs de littérature française de l'Université d'Ottawa: Bernard Julien, o.m.i; Jean Ménard; Réjean Robidoux; Paul Wyczynski. Intéressés par la littérature canadienne-française, déplorent le peu de place qui lui est accordée dans l’enseignement et la recherche universitaires, au contraire de la littérature française. Paul Wyczynski, le père oblat Bernard Julien, Jean Ménard et Réjean Robidoux décident donc de créer le Centre de recherche en littérature canadienne-française (CRLCF) de l’Université d’Ottawa, qui deviendra le Centre de recherche en civilisation canadienne-française en 1969. Il s’agit du plus ancien centre de recherche consacré à la littérature, à la culture et à l’histoire du Canada français. Au départ, le CRCCF concentre ses recherches sur la littérature. Dès 1963, il élargit ses axes de recherche à l'histoire, à l'histoire de l'art, puis aux sciences humaines et sociales. En 1977, il a le statut d'unité de recherche pluridisciplinaire. Si le Centre est d'abord un centre de recherche, il joue également un rôle dans l'enseignement universitaire: entre 1959 et 1962, il contribue à la création de neuf cours portant spécifiquement sur la littérature canadienne-française à l'Université d'Ottawa. À partir des années 1960, le CRCCF met à la disposition des chercheurs les ressources documentaires et les archives amassées par ses fondateurs. Le premier fonds d'archives, créé en 1958, est celui de l'École littéraire de Montréal. Plusieurs membres de cet organisme vont alors choisir de confier leurs archives au Centre, notamment Jean Charbonneau (1875-1960), Albert Laberge (1871-1960) ou Louis-Joseph Béliveau (1874-1960). En 1969, l'acquisition des archives de l'Association canadienne-française de l'Ontario (ACFO) contribue à faire du CRCCF un lieu de mémoire pour les communautés franco-ontariennes. Plusieurs autres organismes franco-ontariens vont suivre l'exemple de l'ACFO et confier leurs archives au Centre, notamment l'Ordre de Jacques-Cartier ou l'Association de la jeunesse franco-ontarienne. Dans les années 1970 et 1980, le CRCCF modifie ses orientations en s'intéressant plus particulièrement à l'Ontario français et à l'identité franco-ontarienne. La seconde moitié des années 1980 et le début des années 1990 sont marquées par de lourdes restrictions budgétaires dans les milieux universitaires. Le CRCCF est alors menacé d'être fusionné avec l'Institut d'études canadiennes. L'Université d'Ottawa abandonne ce projet en raison des vives protestations de la communauté franco-ontarienne. Depuis les années 2000, le CRCCF a encore élargi son mandat, en intégrant dans ses axes de recherche la francophonie nord-américaine. Il demeure le principal centre d'archives de l'Ontario français et l'un des plus importants de la francophonie canadienne. Mission Le CRCCF a pour mission de "développer la recherche interdisciplinaire sur la société et la culture des communautés francophones de l’Amérique du Nord d’hier et d’aujourd’hui". Pour ce faire, il organise et accueille des activités d'animation scientifique (tables rondes, conférences, colloques); coordonne et participe à des projets de recherche; diffuse et publie les résultats des recherches de ses membres. Il accomplit également sa mission en acquérant, conservant et valorisant une collection d'archives et de ressources documentaires. Le CRCCF est rattaché à la Faculté des arts de l'Université d'Ottawa. Il poursuit le mandat confié en 1965 par l'Assemblée législative de l'Ontario à l'Université, en contribuant au développement et à la préservation de la culture française en Ontario. Gouvernance Bureau de direction Le Bureau de direction du CRCCF se compose du directeur ou de la directrice du Centre; du directeur ou de la directrice du Collège des chaires du monde francophone; de trois professeurs et professeures de l'Université d'Ottawa; de deux étudiants ou étudiantes provenant de deux disciplines différentes; de deux personnes représentant la collectivité franco-ontarienne. La mission du Bureau est de définir les orientations du CRCCF et d'assister la direction dans sa gestion du Centre. Principalement, le Bureau de direction contribue à l'élaboration des programmes de recherche; à la planification des activités de diffusion; à la gestion des collections d'archives et de ressources documentaires; à la liaison avec les autres centres de recherche sur les communautés francophones en Amérique du Nord; au développement de partenariats avec des organismes publics ou associatifs. Direction Le cabinet du vice-rectorat à la recherche de la Faculté des arts de l'Université d'Ottawa est responsable de nommer le directeur ou la directrice du CRCCF, sur la recommandation du cabinet du doyen de la Faculté. Le mandat du directeur ou de la directrice est de cinq ans, renouvelable une seule fois. Liste des directeurs et des directrices du CRCCF: Paul Wyczynski, de 1958 à 1973; Pierre Savard, de 1973 à 1985; Yolande Grisé, de 1985 à 1997; Robert Choquette, de 1997 à 2000; Jean-Pierre Wallot, de 2000 à 2006; Yves Frenette, de 2006 à 2010; Anne Gilbert, de 2010 à 2015; Pierre Foucher, de 2015 à 2018; Lucie Hotte, depuis 2018. Comités Le CRCCF comprend deux comités internes: le Comité de la recherche et le Comité des archives. Ces comités ont pour mandat de définir les orientations de la recherche et de l'accroissement des collections d'archives. Leurs membres sont nommés par la direction du CRCCF. Membres Le CRCCF regroupe des membres qui participent et contribuent à la réalisation de son mandat par leurs enseignements, leurs recherches et la diffusion des connaissances. Ces membres sont principalement des chercheurs et des chercheuses, des étudiants et des étudiants (tous les cycles universitaires) et les employés de soutien du Centre. Activités Recherche Les activités de recherches menées au CRCCF portent notamment sur la culture et l'histoire des groupes francophones en situation minoritaire au Canada, et plus particulièrement en Ontario. Les axes de recherche sont variés: l’histoire des communautés nord-américaines de langue française; la culture, les arts, la littérature; la vie politique et les politiques linguistiques; la vie sociale dont la religion; l’éducation; la santé; le milieu associatif; et les questions d’actualité comme l’immigration. Archives Les collections d'archives et de ressources documentaires du CRCCF documentent la culture, l'histoire et l'évolution des communautés francophones au Canada à partir de 1850. Elles témoignent particulièrement de la culture du Canada français avant 1970; des francophones de la région d'Ottawa; de la francophonie canadienne; des réseaux associatifs franco-ontariens et franco-canadiens. Le CRCCF a commencé à acquérir des archives dans les années 1960. C'est en 1968 qu'un archiviste est embauché pour travailler à la conservation et à la diffusion de ces ressources. En 1969, l'acquisition du fonds de l'Association canadienne-française de l'Ontario (ACFO) marque un tournant dans la vocation du Centre, qui devient un centre de documentation en plus d'un centre de recherche. La mise en valeur des archives du CRCCF est effectuée via ses bases de données en ligne de même qu'avec des expositions. Ces dernières prennent place dans l'aire d’exposition Françoise-et-Yvan-Lepage située dans la salle de consultation du CRCCF ou en ligne. Publications Depuis 1960, le CRCCF publie plusieurs revues et ouvrages spécialisés. Il édite ou coédite les revues suivantes : Collection « Amérique française » ; Collection « Archives des lettres canadiennes » ; Revue Francophonies d’Amérique ; Revue Mens. Le CRCCF a publié ou coédité dans le passé ces revues : Bulletin du CRCCF ; Cahiers du CRCCF ; Documents de travail du CRCCF ; L’Annuaire théâtral ; Autres collections et publications du CRCCF ; Recherches et publications. Notes et références Voir aussi Articles connexes Amérique francophone Prix du CRCCF Franco-Ontariens Littérature canadienne Littérature québécoise Lien externe Centre de recherche en civilisation canadienne-française Portail des expositions virtuelles du CRCCF Francophonie en Ontario Université d'Ottawa Laboratoire de recherche au Canada Littérature francophone Littérature canadienne Recherche francophone
كاسبر بيدرسن
كاسبر بيدرسن هو مدرب كرة قدم ولاعب كرة قدم دنماركي في مركز الدفاع، ولد في 13 يناير 1993 في في الدنمارك. لعب مع نادي أوبه. مراجع وصلات خارجية لاعبو كرة قدم رجالية دنماركيون لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في النرويج مدافعو كرة قدم رجالية أشخاص على قيد الحياة رياضيون دنماركيون مغتربون في النرويج لاعبو دوري السوبر الدنماركي لاعبو كرة قدم دنماركيون لاعبو كرة قدم دنماركيون مغتربون لاعبو كرة قدم مغتربون في النرويج لاعبو نادي أوبة لاعبو نادي إيسبيرغ لاعبو نادي ستابك مواليد 1993
Nokia 601x
La série des Nokias 601x est une série de téléphones mobiles qui incluent peu de modifications entre les modèles. Ils sont les premiers téléphones mobiles professionnels qui incluent un écran couleur. Ils sont très petits (109 × 50 × 24 mm) incluent une roulette de navigation, des lumières qui éclairent l'écran et le clavier. Ils intègrent aussi les premières touches "composer/raccrocher". Ils peuvent lire des sonneries MIDI polyphoniques. Les coques sont interchangeables, il y a la possibilité d'ajouter des jeux Java, d'associer une image à son contact. Ils possèdent aussi les fonctions principales d'un assistant personnel avec une liste des contacts d'environ 250 numéros, un calendrier pour les rendez-vous, un bloc-notes, un radio réveil, un memo vocal ou encore une sonnerie qui s'enclenche pour une raison déterminée. Ils intègrent aussi des modèles pour les messages utilisés fréquemment ou encore le système de saisie intuitive. Ils permettent aussi d'appeler plusieurs personnes en même-temps avec la technologie push-to-talk. 601 x
Häfeli DH-1
Le Häfeli DH-1 était un avion militaire biplace suisse. Conçu pour la reconnaissance aérienne, il a été construit dans les années 1910. Historique Comme toutes les demandes adressées à l'étranger pour acquérir des avions furent refusées, le Service Technique Militaire (STM), accepta la construction d'avions en Suisse. Les Ateliers de construction fédéraux de Thoune qui dépendent du STM, firent appel à l'ingénieur August Häfeli ( - ). Ce dernier construisit un biplan d'observation le DH-1, qui était une curieuse machine, l'observateur étant placé devant le pilote, le moteur à l'arrière de l'aile avec une hélice propulsive et avec un double fuselage entoilé. De nombreux pilotes refusèrent de le piloter et les quelques courageux qui montèrent à bord, firent quelques atterrissages dans la nature. La construction du DH-2 ne donna pas plus de satisfaction. Le DH-3 répondit enfin aux exigences de l'armée. Entre 1917 et 1927, 109 DH-3 furent construits en différentes versions de moteurs et servirent comme avion école jusqu'en 1936. Un certain nombre d'entre eux, restèrent en service jusqu'en 1939. Entre 1922 et 1929, la troupe d'aviation reçut 79 biplace d'observation Häfeli DH-5, en trois séries équipées de moteurs de 180, 200 et 220 chevaux de la fabrique de locomotive Winterthour. Les derniers avions furent liquidés en 1940. Anecdote Le , le premier courrier aérien suisse quittait Dübendorf pour Berne puis Lausanne, c'était un courrier militaire. Le , c'était le premier vol postal officiel sur le trajet Zurich-Berne-Lausanne avec le biplan d'observation Häfeli DH-3 qui mit deux heures et demie à l'aller et deux heures pour le retour. Cette première poste aérienne suisse fut interrompue à la fin de 1919 à cause de la concurrence des chemins de fer et de la lenteur de l'acheminement entre l'aérodrome et les centres de distributions postaux. Le pilote militaire était M. Robert Ackermann. Voir aussi Häfeli DH-2 Häfeli DH-3 Häfeli DH-4 Häfeli DH-5 Notes et références Avion militaire de la Première Guerre mondiale Avion biplan Avion de reconnaissance Avion militaire suisse Avion monomoteur Avion à hélices Avion bipoutre Avion des années 1910 Premier vol en 1916
Schnellkampfgeschwader 10
La Schnellkampfgeschwader 10 (SKG 10) ( rapide de bombardement) est une unité d'attaque au sol de la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale. Opérations Le SKG 10 a mis en œuvre principalement des avions Focke-Wulf Fw 190A. Organisation Stab. Gruppe Le Stab./SKG 10 est formé le à Saint-André. Le , il est renommé Stab/SG 10. Geschwaderkommodore (Commandant de l'escadron) : I. Gruppe Formé le à Saint-André avec : Stab I./SKG 10 nouvellement créé 1./SKG 10 nouvellement créé 2./SKG 10 nouvellement créé 3./SKG 10 nouvellement créé Le I./SKG 10 opère comme III./KG 51 à partir du , mais n'est pas officiellement renommé III./KG 51 avant le avec : Stab I./SKG 10 devient Stab III./KG 51 1./SKG 10 devient 7./KG 51 2./SKG 10 devient 8./KG 51 3./SKG 10 devient 9./KG 51 Gruppenkommandeure (Commandant de groupe) : II. Gruppe Formé le à Caen-Carpiquet avec : Stab II./SKG 10 nouvellement créé 4./SKG 10 nouvellement créé 5./SKG 10 nouvellement créé 6./SKG 10 nouvellement créé Le , le II./SKG 10 est renommé II./SG 4 avec : Stab II./SKG 10 devient Stab II./SG 4 4./SKG 10 devient 4./SG 4 5./SKG 10 devient 5./SG 4 6./SKG 10 devient 6./SG 4 Gruppenkommandeure : III. Gruppe Formé le à Sidi Ahmed à partir du III./ZG 2 avec : Stab III./SKG 10 à partir du Stab III./ZG 2 7./SKG 10 à partir du 7./ZG 2 8./SKG 10 à partir du 8./ZG 2 9./SKG 10 à partir du 9./ZG 2 Le , le III./SKG 10 est renommé III./SG 4 avec : Stab III./SKG 10 devient Stab III./SG 4 7./SKG 10 devient 7./SG 4 8./SKG 10 devient 8./SG 4 9./SKG 10 devient 9./SG 4 Gruppenkommandeure : IV. Gruppe Formé le à Cognac à partir du 10./JG 2 et du 10./JG 54 avec : Stab IV./SKG 10 nouvellement créé 10./SKG 10 nouvellement créé 11./SKG 10 nouvellement créé 12./SKG 10 nouvellement créé 13./SKG 10 à partir du 10.(Jabo)/JG 2 14./SKG 10 à partir du 10.(Jabo)/JG 54 Apparemment, les 2 Staffeln 13. et 14./SKG 10 sont vite dissous, et répartis entre les 3 autres staffeln. Le , le IV./SKG 10 est renommé II./SG 10 avec : Stab IV./SKG 10 devient Stab II./SG 10 10./SKG 10 devient 4./SG 10 11./SKG 10 devient 5./SG 10 12./SKG 10 devient 6./SG 10 Gruppenkommandeure : Ergänzungsstaffel Formé en à Cognac. En , il est renommé 3./Erg.Schlachtgruppe. Staffelkapitäne : Références Notes Bibliographie Bernage, Georges; de Lannoy, François. Dictionnaire Histoire - La Luftwaffe-La Waffen SS - 1939-1945. Éditions Heimdal, 1998. Liens externes Schnellkampfgeschwader 10@La Luftwaffe, 1933-1945 Schnellkampfgeschwader 10@lexikon-der-wehrmacht Schnellkampfgeschwader 10 Schnellkampfgeschwader 10 Schnellkampfgeschwader 10
Dhaka (district)
Dhaka est un district du Bangladesh. Il est situé dans la division de Dhaka. La ville principale est Dhaka. District au Bangladesh
Percubaba Live
Percubaba Live est un CD et DVD Live du groupe Percubaba, sorti en 2005. Il a été enregistré à Muzillac en 2003 et au Liberté à Rennes en 2002 pour les pistes du cd, et retrace de tournées pour ce qui est du dvd, présentant de nombreux bonus pour en savoir plus sur qui sont les Babas. Listes des pistes du cd Intro Qui es-tu? Le Meka Poltergeist Jeux Vidéo Je vis des bas Dramatik Flippo Quand la ville se meurt Vyper Techno Vyper Dvd Dawa d'honneur Le Meka Jeux Vidéo Je vis des bas Des textes Quand la ville se meurt Vyper C'est déjà l'été dernier Poltergeist Shaman Flippo Quand la ville se meurt Vrac Le Meka; Fisty Boys; C'est d'la balle (International Dub); Jamaican; Voir aussi Percubaba Album live sorti en 2005
Syndrome de Terson
Le Syndrome de Terson est une hémorragie du corps vitré de l'œil. Elle est soit strictement intravitréenne, soit rétrohyaloïdienne (derrière la membrane hyaloïde) ou encore intrarétinienne et survient au décours d'une hémorragie intracrânienne ou sousarachnoïdienne. Histoire Le syndrome de Terson a été décrit pour la première fois par l'ophtalmologiste allemand en 1881, puis en 1900 par l'ophtalmologiste français Albert Terson. Étiologie Trois étiologies rassemblent entre 60 et 88 % des causes d’hémorragies du vitré, à savoir la rétinopathie diabétique proliférante, le décollement postérieur du vitré et le traumatisme. Le syndrome de Terson ne fait pas partie de ces étiologies principales, il survient principalement dans le cadre d'une hémorragie cérébrale. Fréquence Le syndrome de Terson a été rapporté dans 8 à 19% des hémorragies sous-arachnoïdiennes, 9% des hémorragies intracérébrales et 3% des lésions cérébrales traumatiques. Physiopathologie Le syndrome de Terson est dû à la rupture de capillaires péripapillaires et rétiniens à l'occasion d'une augmentation brutale de la pression intravasculaire intracrânienne qui trouvent principalement leur cause dans les ruptures d'anévrysmes et les traumatismes crâniens. Diagnostic La baisse de l'acuité visuelle est le signe d'appel et rend la prise en charge initiale difficile. Le diagnostic repose sur le fond d’œil montrant les hémorragies dans le segment postérieur. Le syndrome de Terson peut être unilatéral ou bilatéral. Évolution L'évolution est en général spontanément mais lentement favorable, mais la persistance du sang dans le vitré peut conduire à des complications (hémosidérose, cataracte, membranes épirétiniennes et autres anomalies maculaires, décollement rétinien). La vitrectomie est alors indiquée, de même qu'en cas de lésions bilatérales sans récupération spontanée. Pour certains auteurs une meilleure récupération est obtenue si les patients sont opérés dans les trois mois qui suivent l’apparition de l’hémorragie vitréenne et s’ils sont jeunes. Références Maladie de l'œil
Martin Smyth
Le révérend William Martin Smyth (né le ) est un homme politique d'Irlande du Nord et est député du Parti unioniste d'Ulster de Belfast Sud de 1982 à 2005 . Il est vice-président du club conservateur du lundi. Il est également un ministre ordonné de l'église presbytérienne en Irlande et est pasteur de Raffrey, comté de Down de 1957 à 1963 et de l'église Alexandra, Belfast de 1963 à 1982. Jeunesse Smyth grandit dans la région de Donegall Road à Belfast et fréquente le Methodist College de Belfast et le Trinity College de Dublin . Début de carrière politique Smyth devient Grand Maître de l'Ordre d'Orange en 1971, dans ce qui est considéré à l'époque comme une révolte de la classe ouvrière « de la base » contre la direction de la classe moyenne de l'Ordre. (Il reste Grand Maître jusqu'en 1996). Dans les années 1970, il est chef adjoint du mouvement d'avant-garde qui a émergé en tant que faction au sein du Parti unioniste d'Ulster (UUP). Cependant, lorsque cette faction se sépare de l'UUP pour former le Vanguard Unionist Progressive Party, Smyth choisit de rester avec l'UUP. Son nom est cité dans le Belfast Telegraph pour la candidature de l'UUP pour la circonscription de Belfast North en 1974. Cependant, il ne s'y présente pas et l'année suivante, il est élu à la Convention constitutionnelle de Belfast Sud, avec plus du double du quotient électoral . Député Il est choisi pour combler la vacance causée par le meurtre de Robert Bradford. Smyth est élu député lors d'une élection partielle de 1982, recevant 17 123 voix . Plus tard la même année, il est élu à l'Assemblée d'Irlande du Nord, avec à nouveau le double du quotient électoral . Lui et tous les autres députés unionistes démissionnent de son siège en 1985 pour protester contre l'accord anglo-irlandais. Il défend avec succès son siège aux élections suivantes . Dans son article « A Federated People » (publié par le Joint Unionist Working Party en 1987), Smyth propose un Royaume-Uni fédéral avec les gouvernements des États d'Angleterre, d'Écosse, du Pays de Galles et d'Irlande du Nord, chacun étant autonome les uns des autres et, plus important encore, totalement indépendant du parlement fédéral et du gouvernement du Royaume-Uni à Westminster. Smyth fait partie du conseil consultatif parlementaire de Western Goals (Royaume-Uni) qui tient une réunion en marge de la conférence du Parti conservateur en octobre 1988 sur le thème du "Terrorisme international - comment l'Occident peut riposter". Il est l'un des nombreux orateurs de haut niveau, dont le général Sir Walter Walker, le député Andrew Hunter, Sir Alfred Sherman et Harvey Ward . Hunter et Ward ont tous deux donné des détails considérables à la réunion concernant les liens de haut niveau entre l'IRA et l'ANC . Après avoir remporté la première place dans le scrutin pour les projets de loi d'initiative parlementaire, Smyth présente avec succès le projet de loi sur les personnes handicapées (Irlande du Nord) afin d'accorder aux personnes handicapées d'Irlande du Nord des droits analogues pour les personnes handicapées ailleurs au Royaume-Uni, comme prévu dans la loi de 1986. Le projet de loi Smyth reçoit la sanction royale en 1989. La direction de David Trimble Il se présente à la direction de l'UUP en 1995 après la démission de James Molyneaux mais perd contre David Trimble. Il est opposé à l'Accord du Vendredi saint, mais il est considéré comme un modéré au début des années 1990. Il est condamné en 1993 par le Parti unioniste démocrate pour avoir suggéré que des pourparlers avec le Sinn Féin pourraient être possibles . Il se présente contre Trimble pour la direction du parti en 2000 et échoue de nouveau . Il est contesté sans succès pour l'investiture UUP à Belfast South par Michael McGimpsey avant les élections générales de 2001, et continue à occuper le siège. En 2001, il est élu au poste de président du parti. En 2003, il démissionne, avec David Burnside et Jeffrey Donaldson, le groupe parlementaire en raison de désaccords sur la déclaration britannique irlandaise de 2003 . Il tente de dissuader Donaldson de démissionner entièrement du parti. En janvier 2004, Smyth et Burnside reviennent au groupe UUP . Plus tard cette année-là, il perd la présidence du parti lors des élections annuelles au Conseil unioniste d'Ulster, avec 329 voix contre Lord Rogan, qui l'emporte avec 407 voix. Fin de carrière politique En janvier 2005, Smyth annonce qu'il quitterait le Parlement aux élections suivantes pour passer plus de temps avec sa femme. Il met fin à sa carrière à la Chambre des communes en mai 2005. Au cours des élections, Smyth suscite la controverse lorsque lui et l'ancien leader unioniste d'Ulster James Molyneaux apparaissent sur une photo avec le candidat du Parti unioniste démocrate Jimmy Spratt . Références Liens externes Étudiant de Trinity College (Dublin) Député du 53e Parlement du Royaume-Uni Député du 52e Parlement du Royaume-Uni Député du 51e Parlement du Royaume-Uni Député du 50e Parlement du Royaume-Uni Député du 49e Parlement du Royaume-Uni Député du 48e Parlement du Royaume-Uni Député du Parti unioniste d'Ulster Personnalité du conflit nord-irlandais Membre de la Convention constitutionnelle d'Irlande du Nord Naissance en juin 1931
رينان ريبيرو
رينان ريبيرو (مواليد 23 مارس 1990 بريبيراو بريتو في البرازيل - ) هو لاعب كرة قدم برازيلي في مركز حراسة المرمى. شارك مع منتخب البرازيل تحت 20 سنة لكرة القدم. أما مع النوادي، فقد لعب مع أتلتيكو مينييرو ونادي ساو باولو. روابط خارجية مراجع لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في السعودية لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في البرتغال لاعبو كرة قدم رجالية برازيليون مغتربون أشخاص على قيد الحياة أشخاص من ريبيراو بريتو حراس مرمى كرة قدم رجالية رياضيون برازيليون مغتربون في البرتغال رياضيون برازيليون مغتربون في السعودية لاعبو الدوري البرازيلي الدرجة الأولى لاعبو الدوري البرتغالي الممتاز لاعبو النادي الأهلي (السعودية) لاعبو أتليتيكو مينيرو لاعبو إيستوريل برايا لاعبو ساو باولو لاعبو سبورتينغ لشبونة لاعبو كرة القدم البرازيليون لاعبو كرة قدم برازيليون لاعبو كرة قدم مغتربون برازيليون لاعبو كرة قدم مغتربون في البرتغال لاعبو كرة قدم مغتربون في السعودية لاعبو كرة قدم من ريبيراو بريتو لاعبو كرة قدم من ولاية ساو باولو لاعبو منتخب البرازيل تحت 20 سنة لكرة القدم لاعبو منتخب البرازيل لكرة القدم للشباب مواليد 1990
Nombre de Richardson
Le nombre de Richardson () est un nombre sans dimension utilisé notamment en thermodynamique qui a été développé par Lewis Fry Richardson, physicien et mathématicien anglais. Il s'agit du rapport entre l'énergie potentielle gravitationnelle d'une parcelle de fluide et son énergie cinétique : Calcul Le nombre de Richardson s'explicite de plusieurs manières : ou avec : - accélération de la pesanteur [] - coefficient d'expansion thermique [] - longueur caractéristique [] - Différence de température entre la température de la paroi chaude et la température de référence [K] - vitesse du fluide [] - nombre de Grashof - nombre de Reynolds - Nombre de Froude pour mémoire : signifie « proportionnel à » Interprétations Mécanique des fluides gazeux Pour caractériser un milieu gazeux naturel turbulent, l’utilisation du nombre de Reynolds n’est pas satisfaisante, car il est impossible de considérer la densité du fluide comme constante. Le nombre de Richardson est alors plus adapté pour ce type de milieu. Les valeurs de ce nombre s'y étagent entre 0,1 et 10. En dessous de 1 le fluide est turbulent. Thermique Mécanique des liquides En océanographie, le nombre de Richardson a une forme plus générale qui tient compte de la stratification. C'est une mesure de l'importance relative des effects mécaniques et de densité dans la colonne d'eau, tels que décrits par l'équation de Taylor-Goldstein, qui est utilisée pour modéliser l'instabilité de Kelvin-Helmholtz laquelle est engendrée par l'. où N est la fréquence de Brunt-Väisälä. Notes et références Voir aussi Transfert thermique Richardson Théorie météorologique
ليلة العذاب
ليلة العذاب (بالبرتغالية: Noite da agonia) كان حدثًا تاريخيًا في الإمبراطورية البرازيلية، حدث في ساعات ما قبل فجر 12 نوفمبر 1823، عندما أمر الإمبراطور دوم بيدرو الأول الجيش بغزو وحل الجمعية الدستورية البرازيلية. قاوم المجلس لعدة ساعات، ولكن في النهاية تم حل الجمعية وسجن عدد قليل من أعضائها وترحيلهم، بما في ذلك الأخوان خوسيه بونيفاسيو دي أندرادا إي سيلفا ومارتيم فرانسيسكو ريبيرو دي أندرادا، وكذلك أنطونيو كارلوس ريبيرو دي أندرادا ماتشادو إي سيلفا. في العام التالي في 25 مارس 1824، تم تبني دستور إمبراطوري جديد، والذي صمم السلطة التنفيذية والتشريعية والقضائية، ولكنه استثمر أيضًا في الإمبراطور لقب "الوسيط"، بصفته وسيطًا محايدًا بين الفروع. المراجع البرازيل في 1823 القانون في 1823 أحداث نوفمبر 1823 تاريخ البرازيل القانوني دستور البرازيل
Caravansérail de Garghabazar
Le caravansérail de Garghabazar est un monument historique à Fizouli, en Azerbaïdjan. Histoire Le caravansérail de Garghabazar a été construit en 1681. L'architecte du monument est inconnu, puisque toutes les inscriptions ont été détruites. Architecture La largeur du caravansérail est de 23,67 mètres de largeur et 34,70 mètres de longueur. La masse principale du monument a été construite en pierre brute. Il est de forme rectangulaire avec une coupe en coin. Voir aussi Caravansérail de Moultani Caravansérail de Chah Abbas (Gandja) Notes et références Caravansérail
Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés
Le Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés, également connu sous le sigle PNRQAD, est un programme de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine lancé en 2007 ayant pour objectif la réhabilitation de quartiers dégradés dans les centres anciens de 25 villes en France. Le programme vise à rénover les logements dégradés ou insalubres, à aménager les espaces publics, à améliorer les équipements publics de proximité et à mettre en valeur le patrimoine architectural tout en s’efforçant de maintenir les habitants dans les lieux pour assurer une mixité sociale en limitant la gentrification ou, au contraire, dans le cas des quartiers les plus paupérisés, à attirer des familles de classes moyennes par une revalorisation de l’image du territoire. Les actions engagées devraient permettre une diversification des fonctions urbaines. Le projet concerne des quartiers médiévaux ayant subi une forte densification (surélévations comblement des cours), des quartiers des 17ème et 18ème siècle mal entretenus et des rues de faubourgs du 19ème siècle au bâti médiocre. Parmi les territoires retenus, 7 sont situés dans des secteurs sauvegardés, 7 dans des zones de protection du patrimoine urbain et paysager ou des aires de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine. Le plan est doté de € de subventions dont € de l’ANRU, € de l’ANAH et € de l’État, qui devraient générer € d’investissements (comprenant la participation des acteurs privés et des collectivités). Les 25 projets retenus (comprenant au total une trentaine de quartiers) par un décret du 31 décembre 2009 à la suite d’un appel à candidature sont les suivants. centre-ville ancien de la commune d'Annonay (Ardèche) centre-ville de la commune d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) centre ancien de la commune de Bastia (Haute-Corse) quartiers du Petit Bayonne et du Grand Bayonne de la commune de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) centre-ville de la commune de Béziers (Hérault) cœur de ville de la commune de Bordeaux (Gironde) quartier de Vauxhall-Fontinettes de la commune de Calais (Pas-de-Calais) centre ancien de la commune de Carpentras (Vaucluse) quartier Porte Caraïbe de la commune de Fort-de-France (Martinique) centre ancien de la commune du Havre (Seine-Maritime) centre-ville de la commune du Puy-en-Velay (Haute-Loire) quartier de la route d'Houplines-Octroi des communes d'Armentières et d'Houplines, quartier Simons de la commune de Lille, quartier Bayard de la commune de Tourcoing, quartier du Pile de la commune de Roubaix et quartier Crétinier de la commune de Wattrelos (Nord) centre historique de la commune de Marignane (Bouches-du-Rhône) centre historique Cathédrale et Saint-Nicolas de la commune de Meaux (Seine-et-Marne) quartier Bas-Montreuil et Coutures des communes de Montreuil et de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) quartier Vernier-Thiers de la commune de Nice (Alpes-Maritimes) quartier de la Gare de la commune de Perpignan (Pyrénées-Orientales) centre-ville de la commune de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) centre ancien de la commune de Saint-Gilles (Gard) quartier du Faubourg d'Isle de la commune de Saint-Quentin (Aisne) centre ancien de la commune de Sedan (Ardennes) quartiers Révolution, Ile Sud et le Quartier Haut de la commune de Sète (Hérault) quartier du Bouchon de Champagne de la commune de Troyes (Aube) centre ancien de la commune de Valenciennes, quartier La Croix de la commune d'Anzin, centre-ville de la commune de Fresnes-sur-Escaut, centre historique de la commune de Condé-sur-l'Escaut et quartier Le Jard de la commune de Vieux-Condé (Nord) centre-ville et du centre ancien de la commune de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) Notes et références Liens externes Articles connexes Politique de la ville Agence nationale pour la rénovation urbaine Secteur sauvegardé Glossaire de l'immobilier Urbanisme en France Organisme relevant du ministère du Logement et de la Ville Politique de la ville Renouvellement urbain
Protoraphidales
Les Protoraphidales sont un ordre d'algues de l'embranchement des Bacillariophyta et de la classe des Bacillariophyceae. Description Distribution Liste des familles Selon : Protoraphidaceae Simonsen, 1970 Systématique Le nom correct complet (avec auteur) de ce taxon est Protoraphidales Round. Liens externes Notes et références Algue (nom scientifique)
Hassan, le chauve
Hassan, le chauve (en persan : حسن کچل ; Hassan Kachal) est une comédie musicale iranienne réalisée par Ali Abbassi en 1970. Synopsis Trompée par sa méchante belle-mère, Chelgis (Katayun), la fille du gouvernant entre dans le jardin enchanté pour y cueillir des fleurs et se faire prendre dans la sorcellerie du Div (le démon). Chassé de sa maison par sa mère (Nadereh), Hassan, le chauve (Parviz Sayyad) se met en route pour aller se faire une expérience de la vie. Dans son voyage mystérieux à travers les arbres du jardin, Hassan rencontre Chelgis et tombe amoureux d’elle. Pour briser la sorcellerie du démon, Le Djinn duo d’Hassan lui propose, en échange de sa vie, de faire six vœux pour libérer Chelgis. En premier, Hassan fait le vœu de contrôler sa timidité envers Chelgis. Pour l’aider, le Djinn lui propose de rencontrer une autre femme, Tavoos (Soria Beheshti). Dans ses autres vœux, Hassan rencontre un poète (Hassan Khayat-Bashi), un ami, un Pahlavan d'une Zurkhaneh (champion d'une Maison de la force) (Yadolah Shirandami). Enfin Chelgis lui dira que la seule solution est de prendre possession du cœur en verre du Div et le briser pour la libérer de l’enchantement. Dans son dernier vœu, Hassan souhaite de posséder ce cœur de verre en échange de sa propre vie. Le Djinn exauce son souhait mais il refuse de prendre sa vie. Les amoureux sont ainsi libérés de l’embarras. Fiche technique Titre français : Hassan, le chauve Titre original : Hassan Kachal Réalisation et scénario : Ali Hatami Production : Ali Hatami Pays : Langue : persan Genre : Comédie musicale Durée : 103 minutes Date de sortie : 1970 Distribution Parviz Sayyad : Hassan Kachal Soria Beheshti : Tavoos Hamideh Kheirabadi (Nadereh) : la Mère d’Hassan Katayun : Chelgis Yadolah Shirandami : Pahlavan Manoochehr Ahmadi Hassan Khayat-Bashi : Le poète Sadegh Bahrami Syrous Ebrahimzadeh Liens externes Site officiel de Ali Hatami Film iranien sorti en 1970 Film musical iranien Film musical des années 1970 Film en persan
South Victoria (circonscription britanno-colombienne)
South Victoria est une ancienne circonscription provinciale de la Colombie-Britannique représentée à l'Assemblée législative de la Colombie-Britannique de 1894 à 1903. Géographie Liste des députés Résultats électoraux Références Ancienne circonscription provinciale en Colombie-Britannique
Cristoforo Augusta
Cristoforo Augusta ou Fra Cristoforo, (Casalmaggiore, v.1550 - Crémone, v.1600) est un peintre italien actif au à Crémone. Biographie Cristoforo Augusta a été un élève de Giovanni Battista Trotti. Il peignit au couvent des Dominicains de Crémone et mourut jeune. Œuvres Retable (1590), église san Domenico, Crémone. Sources Bibliographie Liens externes Notes et références Naissance à Casalmaggiore Peintre italien du XVIe siècle Peintre italien de la Renaissance tardive Peintre d'art sacré Peintre fresquiste Peintre de l'école lombarde Date de naissance non renseignée (XVIe siècle) Date de décès non renseignée (XVIe siècle)
دينيسي بينيت
دينيسي بينيت (13 ديسمبر 1977 بولفرهامبتن في المملكة المتحدة - ) هو لاعب كرة قدم بريطاني في مركز الوسط. لعب مع نادي دوندالك ونادي ريكسهام ووست بروميتش ألبيون ونادي تشستر سيتي ونادي كيدرمينستر هاريرز لكرة القدم و و ونادي ستوربريدج و. مراجع وصلات خارجية لاعبو كرة قدم رجالية إنجليز لاعبو وسط كرة قدم رجالية أشخاص على قيد الحياة رياضيون من وولفرهامبتون لاعبو الدوري الأيرلندي لاعبو الدوري الوطني (كرة القدم الإنجليزية) لاعبو دوري أيرلندا الحادي عشر لاعبو دوري الدرجة الأولى الإنجليزي لاعبو ريكسهام لاعبو كرة قدم إنجليز لاعبو منتخب إنجلترا سي لكرة القدم لاعبو نادي تشستر سيتي لاعبو نادي دوندالك لاعبو نادي ريكسهام لاعبو نادي ستوربريدج لاعبو نادي كيدرمينستر هاريرز لكرة القدم لاعبو ويست بروميتش ألبيون مواليد 1977 لاعبو كرة قدم من وولفرهامبتون
Camp Hill (Alabama)
Camp Hill est localité du comté de Tallapoosa, dans l'Alabama. Démographie Notes et références Town en Alabama Comté de Tallapoosa
IndyCar
IndyCar peut désigner : Indy Car : un terme générique pour désigner des voitures de course américaines de type monoplace destinées à participer, entre autres, aux 500 Miles d'Indianapolis (d'où est dérivé le terme « Indy » - « Indy car » signifie « voiture d'Indy »). IndyCar World Series : de 1979 à 1996, le nom du championnat automobile organisé par le CART et dont les 500 Miles d'Indianapolis étaient l'épreuve reine. IndyCar, la société organisatrice de ces courses IndyCar Series : depuis 2003, le nom du principal championnat organisé par l'IndyCar (autrefois Indy Racing League). Trevis Indycar : un modèle de monoplace ayant couru les 500 Miles entre 1951 et 1960.
Marcello (artiste)
Marcello, pseudonyme d'Adèle d'Affry, duchesse de Castiglione Colonna, née le à Fribourg et morte le à Castellammare di Stabia, est une artiste peintre, graveuse et sculptrice suisse. Biographie Jeunesse Adélaïde Nathalie Marie Hedwige Philippine d’Affry naît le à Fribourg. Elle est la fille aînée du comte Louis d’Affry (1810-1841) et de Lucie de Maillardoz (1816-1897), fille de Philippe, marquis de Maillardoz. La carrière militaire est la voie traditionnelle dans laquelle se sont illustrés les membres masculins de la famille d’Affry. Le goût des arts est une valeur transmise de génération en génération dans la famille Affry. Louis d’Affry (1743-1810), l’arrière-grand-père d’Adèle, fut le premier Landamann de la Suisse. Il s'adonnait à la gravure, et son fils Charles, qui a servi sous les ordres de Bonaparte, documente des scènes de la vie militaire à l'aquarelle. Adèle a une sœur cadette, Cécile Marie Philippine Caroline (1839-1911). Leur père décède le ; Adèle et Cécile sont élevées par leur mère. Elles partagent leur temps entre Fribourg et Givisiez durant les mois d’été et Nice ou l’Italie pendant l’hiver. Entre 1853 et 1854, Adèle d’Affry reçoit l’éducation classique des jeunes filles bien nées, comprenant des leçons de dessin et d’aquarelle auprès du peintre Joseph Auguste Dietrich (1821-1863). C’est durant ces années qu’elle prend pour la première fois des cours de modelage dans l’atelier du sculpteur suisse Heinrich Max Imhof (1795-1869), à Rome. Vocation à Rome Le , Adèle d’Affry épouse Carlo Colonna (1825-1856) à Rome. Ce dernier, anobli un mois plus tard, reçoit le titre de duc de Castiglione-Altibrandi. Cette union est de courte durée : Carlo Colonna meurt subitement d’une fièvre typhoïde, à Paris, le . Adèle Colonna est obligée de rentrer à Rome en 1857 pour régler les différends qui l’opposent à la famille Colonna dans l’affaire de la succession de son époux. La duchesse trouve refuge au couvent des Dames du Sacré-Cœur, à la Trinité-des-Monts. Sa vocation artistique s’éveille progressivement à cette époque. Elle reprend ses leçons dans l’atelier d’Imhof, visite de nombreuses églises, admire les œuvres de l’Antiquité et de Michel-Ange. À l’automne, elle modèle le buste de son défunt mari. Cette première sculpture est rapidement suivie d’un autoportrait. Une duchesse à Paris Elle se rend à Paris en 1859 et loue un appartement à Léon Riesener (1808-1878), cousin d’Eugène Delacroix, au rue Bayard. Pierre Andrieu (1821-1892), familier des Riesener et assistant de Delacroix, l’aide à décorer à fresque sa salle à manger et son atelier. La duchesse commence à fréquenter la société brillante du Second Empire. Elle chaperonne sa sœur Cécile jusqu’au mariage de celle-ci, le , avec le baron Moritz von Ottenfels-Gschwind (1820-1907), diplomate autrichien. Le rang d’Adèle l’amène à fréquenter les salons légitimistes du faubourg Saint-Germain, et son goût à leur préférer le salon tenu par la comtesse de Circourt. La belle duchesse noue des amitiés durables, avec notamment Adolphe Thiers (1797-1877). Le père Gratry (1805-1872) devient son directeur de conscience. Débuts artistiques Adèle Colonna travaille à sa première composition aboutie, La Belle Hélène (1860). Elle étudie le dessin animalier au Muséum national d’histoire naturelle sous la direction du sculpteur Antoine-Louis Barye (1795-1875), et s’exerce avec passion d’après nature et d’après l’antique, sans négliger les aspects les plus techniques et épuisants de la sculpture. L’impétueux Auguste Clésinger (1814-1883) supervise étroitement ses progrès. À partir de décembre, elle suit en toute discrétion les cours d’anatomie du professeur Sappey, dans les sous-sols de l’École pratique de médecine. Le jeudi , à l’occasion d’un dîner chez les Barbier, Adèle rencontre Eugène Delacroix. Les premiers symptômes de la maladie de poitrine qui l’emportera se manifestent. En 1861, sa demande d’étudier à l’École des beaux-arts de Paris est rejetée. De retour à Rome, Adèle admire à la villa Médicis le groupe d’Ugolin et ses enfants, auquel travaille Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875), alors pensionnaire des lieux. L’amitié entre les deux artistes ne cessera qu’avec le décès du sculpteur. « Marcello » En 1863, Adèle Colonna choisit, après bien des hésitations, d’exposer au Salon parisien sous le pseudonyme de « Marcello ». Elle présente trois bustes : Bianca Capello, le Portrait du comte G. de N…[icolaÿ] et le Portrait de la duchesse de San C…[esario], une œuvre en cire. Le franc succès rencontré par sa Bianca retient l’attention de l’impératrice Eugénie qui l’invite à participer à l’un des fameux lundis des Tuileries. Adèle est désormais conviée à la cour et côtoie Napoléon III (1808-1873), auquel elle voue une grande admiration. Durant le mois de , Marcello reçoit Jean-Baptiste Carpeaux à Givisiez, et repousse la demande en mariage que lui présente Carpeaux pour son fils. La même année, à Passy, elle réalise aussi un buste en plâtre du général Antoine de Jomini, alors âgé de 85 ans. À ces soucis d’artiste s’ajoutent ses préoccupations de duchesse, liées à ses devoirs de représentation. Elle reçoit ainsi une invitation aux « séries de Compiègne ». Andrieu assiste en son nom à la vente après décès de Delacroix et lui achète trois esquisses. Marcello expose La Gorgone, un buste en marbre, au Salon de 1865. Le , elle reçoit la commande officielle d’un portrait de l’impératrice Eugénie, destiné à orner la salle du trône de l’hôtel de ville de Paris. Marcello produira quatre versions différentes de ce buste. Durant les mois de juin et , Marcello part pour Londres et surveille de près la réception de son buste de La Gorgone en bronze, exposé à la Royal Academy. Son admiration pour la reine Marie-Antoinette, qu’elle partage avec l’impératrice Eugénie, l’a conduite à réaliser les bustes de Marie-Antoinette à Versailles et Marie-Antoinette au Temple, qu’elle présente au Salon à Paris en . En novembre, son buste de l’impératrice est durement critiqué et refusé par la commission des beaux-arts de la ville de Paris, ce qui la rend furieuse. Elle craint d’être tombée en disgrâce auprès d’Eugénie. Cette affaire, malgré son issue heureuse la plonge dans un malaise persistant. Marcello présente huit de ses œuvres, dont Hécate, commande de l’empereur Napoléon III pour les jardins de Compiègne, à l’Exposition universelle de 1867, dans la section des États pontificaux. Puis, accompagnée de sa mère, elle voyage durant les mois de mai et à travers l’Autriche, l’Allemagne et la Hongrie. À Budapest, les deux femmes assistent au couronnement de l’impératrice Élisabeth (1837-1898). À son retour à Paris, Marcello réalise un petit buste en marbre de celle-ci. Séjour en Espagne Entre les mois de mars et d’, la duchesse parcourt le nord de l’Italie et fait halte à Rome. En cure à Cauterets, dans les Pyrénées, elle franchit la frontière et voyage en Espagne, où elle se trouve prise au piège d’une insurrection. Malgré les dangers de cette situation, elle reste à Madrid où elle travaille auprès de ses amis, les peintres Henri Regnault (1843-1871) et Georges Clairin (1843-1919). Elle fait la connaissance du général révolutionnaire Milans del Bosch, dont elle modèle le buste. Les lettres de recommandation de Prosper Mérimée (1803-1870) lui ouvrent grandes les portes du musée du Prado. Elle y admire, entre autres, les œuvres de Diego Vélasquez. La peinture De retour à Rome en 1869, Marcello envoie à Paris, pour le Salon, le buste de la Bacchante fatiguée. Dans son atelier de Papa Giulio, elle compose son chef-d’œuvre, La Pythie, que Charles Garnier (1825-1898) retiendra pour orner son nouvel opéra. Alors qu’elle rencontre de nombreuses difficultés techniques dans la réalisation de sa statue, elle rêve d’abandonner la sculpture et ses lourdes contraintes matérielles pour la peinture. Elle étudie le dessin à la villa Médicis sous la direction d’Ernest Hébert (1817-1908) et partage sa passion pour la musique avec les compositeurs Charles Gounod (1818-1893) et Franz Liszt (1811-1886). Elle pratique également la peinture dans l’atelier du peintre Marià Fortuny (1838-1874), où elle a rencontré Eduardo Rosales (1836-1873). Marcello présente sa Pythie en bronze et le buste du Chef abyssin au Salon de 1870, à Paris. Réfugiée en Suisse pendant la guerre puis la Commune, lasse des épuisements causés par la sculpture et la maladie, elle s’exerce dans l’atelier du peintre Alfred van Muyden, à Genève. À partir de 1870, luttant contre la tuberculose, et la sculpture lui demandant trop d'énergie, elle s'adonne de plus en plus à la peinture. De retour à Paris en 1872, Marcello poursuit ses études de peinture sous la direction de Léon Bonnat. Profondément touchée par la mort de Napoléon III en 1873, la duchesse se rend à Chislehurst en Angleterre et présente ses condoléances à l’impératrice Eugénie et au prince impérial. Marcello envisage de faire ses débuts de peintre au Salon en envoyant le Portrait de madame de Tallenay, mais décide finalement de s’abstenir. Les cinq bustes exposés à l’Exposition universelle de 1873 à Vienne, Le Chef abyssin, Bianca Capello, les Marie-Antoinette et la Pythie, lui rapportent une médaille. Elle envoie un grand tableau, La Conjuration de Fiesque, au Salon de 1874. Le refus de cette œuvre par le jury la blesse très profondément. Marcello peint le Portrait de Berthe Morisot en 1875, mais refuse de se laisser portraiturer par Édouard Manet. Elle pose pour son ami le peintre Édouard-Théophile Blanchard (1844-1879). Elle présente au Salon le Redemptor mundi, Phoebé et La Belle Romaine. Lors de l’inauguration de l’opéra, le , le public et la critique font un très bon accueil à La Pythie, ce qui l'étonne et la ravit. Dernières œuvres De Fribourg, où elle réside depuis , Marcello entreprend un nouveau périple en Italie : Florence, Orvieto, Rome, Bologne, Ferrare, Ravenne, Padoue, Venise, Vérone, Milan. Le directeur de la Galerie des Offices lui commande son portrait. Son buste de La Baronne de Keffenbrinck, présenté au Salon de la même année, lui vaut une simple mention honorable qu’elle reçoit avec amertume. En 1877, épuisée par sa toux et ses douleurs articulaires, Adèle recherche le soleil du Midi de la France et passe le mois de décembre en Italie, sur les conseils de ses médecins. En 1878, Marcello se déplace sans cesse entre Naples, la Suisse et Paris, à la recherche du climat qui calmera ses crises d’hémoptysie. Le , une seconde version de son testament liste les sculptures qu’elle lègue à l’État de Fribourg, à la condition que soit fondé un musée consacré à son œuvre. Installée à Castellammare di Stabia en 1879, Marcello met en ordre ses papiers, travaille à la rédaction de ses Mémoires, qu’elle laissera inachevés, et dessine abondamment. Elle meurt de la tuberculose le et non pas le 14. Adolphe de Circourt, qui assiste à ses derniers moments, parle bien du 16 juillet. Selon sa volonté, elle est enterrée à Givisiez, près de Fribourg où elle est née. Galerie Œuvre Analyse Collections publiques En France Arras, musée des beaux-arts : Femme transtévérine, dite aussi Belle romaine, buste en marbre ; Fontainebleau, château de Fontainebleau : Bianca Capello, buste en marbre ; Lyon, musée des beaux-arts : L'Impératrice Eugénie, buste en marbre ; Marseille, musée des beaux-arts : Bianca Capello, buste en marbre ; Montpellier, parc du domaine de Grammont : Hécate et Cerbère, vers 1866, groupe sculpté en marbre commandé par Napoléon III et destiné à l'entrée de la Forêt de Fontainebleu. En 1867, l'œuvre est envoyé à l'exposition universelle de 1867. La sculpture est installée dans les jardins du palais de Compiègne puis est attribuée par l'État à la ville de Montpellier en 1889. Elle est initialement installée au Peyrou. En 1956 elle est déplacée sur la place Renaudel à Celleneuve puis, classée en 1981, elle est réinstallée en 1986 dans le parc du domaine de Grammont à Montpellier, où elle est toujours visible, bien que mutilée ; Paris : musée d'Orsay : Chef abyssin, vers 1870, buste en marbre, agrafe en bronze et pierre bleue ; Femme transtévérine, 1874, buste en marbre ; La Marquise Olga deTallenay, 1875, masque en plâtre ; Palais Garnier : Pythie, 1870, statue en bronze, sous le grand escalier ; En Suisse Fribourg, musée d'art et d'histoire : Pythie, vers 1880, réduction en bronze ; Ananké, 1866, marbre ; Bacchante fatiguée, 1868, marbre ; Gorgone, 1865, marbre ; Bianca Capello, 1863, marbre ; Élisabeth de Wittelsbach dite Sissi impératrice d'Autriche, 1867, marbre ; Portrait du général Milans de Bosc, 1868, plâtre rose ; Marie-Antoinette dauphine, 1866, marbre ; Marie-Antoinette au Temple, 1866, marbre ; La Marguerite de Goethe, 1866, marbre ; La belle Romaine, 1866, marbre ; Phoebé, 1875, marbre ; Chef Abyssin, 1870, marbre ; Ecce Homo, 1877, marbre ; Portrait de Jean-Baptiste Carpeaux, 1875, bronze ; Portrait de Berthe Morisot, 1875, huile sur toile ; Portrait de la marquise de Tallenay, 1873, huile sur toile ; Marchande de poissons à Naples, huile sur toile. Gravure Marcello a produit neuf eaux-fortes originales et quelques lithographies inspirées d'Eugène Delacroix (1873). Elle s'intéresse à la gravure à partir de 1860, en fréquentant l'atelier de Marcellin Desboutin. Inédites pour la plupart, elles seront imprimées en 1980 à l'occasion d'une exposition à Fribourg. Salons et expositions 1863 : Salon de Paris ; 1864 : Salon de Paris ; 1865 : The Royal Academy Exhibition, Londres ; 1866 : Salon de Paris ; exposition des Beaux-arts de Lille ; 1867 : exposition du cercle de l’Union artistique ; The Royal Academy exhibition, Londres ; Exposition universelle de Paris ; 1869 : Salon de Paris ; Exposition internationale des Beaux-arts à Munich (-) ; 1870 : Salon de Paris ; 1873 : exposition chez Durand-Ruel ( mars), Paris ; Exposition universelle à Vienne ; 1874 : Salon de Paris ; 1875 : Salon de Paris ; 1876 : Salon de Paris ; 1877 : exposition au cercle artistique, Nice, palais Christine. Iconographie Émile Soldi, La Duchesse Colonna de Castiglione, 1876, portrait en médaillon ; Auguste Clésinger, La Duchesse Castiglione Colonna, 1861, buste en marbre, Fribourg, Fondation Marcello ; Édouard-Théophile Blanchard, Portrait de Marcello, Duchesse de Castiglione Colonna, 1877, huile sur toile, musée d'art et d'histoire de Fribourg ; Georges Clairin, Marcello dans son atelier à Givisiez, 1871, huile sur toile, musée d'art et d'histoire de Fribourg ; Gustave Courbet, Portrait de Marcello (Duchesse de Castiglione Colonna), 1870, huile sur toile, musée des beaux-arts de Reims. Hommages La Fondation Marcello, créée en 1963 à Fribourg en Suisse, a pour but de conserver et promouvoir sa mémoire et son œuvre. En 1996, la cinéaste Jacqueline Veuve lui a consacré un épisode de la série Ma rue raconte, co-produite par la télévision suisse. Notes et références Annexes Bibliographie Dictionnaire Bénézit Liens externes Musée d'art et d'histoire Fribourg Fondation Marcello A New Formula for High Art: The Genesis and Reception of Marcello’s Pythia, by Caterina Y. Pierre Sculptrice suisse Peintre suisse du XIXe siècle Femme peintre suisse Graveuse suisse Pseudonyme Artiste fribourgeoise Naissance en juillet 1836 Naissance à Fribourg (Suisse) Décès en juillet 1879 Décès à Castellammare di Stabia Décès à 43 ans Mort de la tuberculose Article dont des informations diffèrent sur Wikidata Mononyme
Yooka-Laylee and the Impossible Lair
Yooka-Laylee and the Impossible Lair est un jeu vidéo de plates-formes développé par le studio Playtonic Games, sorti le sur Microsoft Windows, PlayStation 4, Xbox One et Nintendo Switch. Il s'agit de la suite du jeu Yooka-Laylee sorti en 2017. Système de jeu Comme dans le premier volet, le joueur incarne Yooka, un caméléon vert sans pantalon, et Laylee, une chauve-souris avec un gros nez rouge ; mais comparé à son prédécesseur qui proposait un gameplay entièrement en trois dimensions (3D), ce nouvel opus se base plutôt sur un style de jeu en vue de profil, tout en conservant des graphismes 3D ; un système parfois appelé « 2,5D ». Il s'inspire en cela de jeux de plates-formes en deux dimensions tels la série Donkey Kong Country, créée par Rare. L'originalité de ce jeu réside dans le fait que le dernier niveau, le « Repaire Impossible » (Impossible Lair) du titre, est accessible dès les premières minutes du jeu, ce qui a parfois valu au jeu une comparaison avec The Legend of Zelda: Breath of the Wild. Ce niveau « impossible », regorgeant de pièges, est en réalité difficilement surmontable sans l'aide de « Soldabeilles » qui pourront encaisser les coups, et que l'on pourra récupérer tout au long du jeu. Une carte principale permet de se déplacer à travers le monde de Yooka-Laylee en débloquant divers bonus, pour accéder aux différents niveaux représentés sous forme de livres magiques dans lesquels il faut entrer. Univers On retrouve la plupart des personnages du premier opus. À cela viennent s'ajouter Phoebee, reine des abeilles, et ses « Soldabeilles » qui pourront aider le joueur dans le défi final du « Repaire Impossible ». L'objectif du jeu est de libérer les Soldabeilles et de vaincre l'infâme Capital B qui les a capturées. Publication Comme pour le premier jeu, l'éditeur/développeur Team17 édite cette suite développée par Playtonic Games. En , l'éditeur Team17 et le développeur Playtonic Games annoncent renouveler leur partenariat pour développer une suite à Yooka-Laylee. En , Team17 annonce la sortie du jeu sur Nintendo Switch, Microsoft Windows, PlayStation 4 et Xbox One pour le de la même année. Notes et références Jeu de plates-formes Jeu vidéo sorti en 2019 Jeu PlayStation 4 Jeu Xbox One Jeu Nintendo Switch Jeu Windows Jeu Team17 Jeu vidéo développé au Royaume-Uni Jeu Unity
Blaise Berlier
Blaise Berlier (1730 - 1793), avocat puis juge, maire de Draguignan, est né à Draguignan dans une famille de l'ancienne bourgeoisie. Il est membre de la famille Berlier de Vauplane. Il est guillotiné en 1793 pour conspiration fédéraliste. Biographie Blaise Berlier est né le à Draguignan. Il est le fils de Joseph-César Berlier (1703 – 1783), avocat à la Cour et Honorée Lombard, petit-fils de Blaise Berlier (1667 – 1739). Il se marie le 23 juillet 1755, Draguignan avec Élisabeth Vachier, dont il divorce le 3 août 1793. 1er consul de Draguignan, avocat puis juge de Paix à Draguignan, il participe à l'assemblée du Tiers-Etat à Brignoles. Lors de la cérémonie du 14 juillet 1790 à Draguignan, il sauve le nouveau maire de Draguignan, Rasque, d'un lynchage public, qui, aux dires de la foule rassemblée sur la place du marché, n'aurait pas juré serment de fidélité au roi, à la Nation et à la Constitution. Le maire ne doit son salut qu'à l'intervention du lieutenant-colonel de La Roque, du régiment de Bourgogne, présent avec son régiment pour la cérémonie, et à l'intervention de certains consuls de la ville, et notamment Blaise Berlier, ancien 1er consul. Blaise Berlier est victime de la répression de l'insurrection fédéraliste qui éclate en mai 1793 après la mise en accusation de députés girondins par la Convention. Blaise Berlier correspond avec les autres insurgés de Toulon et Marseille afin d'essayer de faire basculer Draguignan dans le camp des fédéralistes, notamment avec son cousin Etienne-César Durand de La Motte, commandant de la gendarmerie du Var, qui participe à la livraison de Toulon à l'amiral anglais Hood. Blaise Berlier, président du Comité central des sections dracénoises, fait partie des dix citoyens arrêtés le 25 août 1793 sur ordre des représentants du peuple Barras et Fréron, de passage à Draguignan, comme conspirateur. Le même jour est adoptée la création d'un Comité de salut public, pour recevoir les dénonciations contre les « ennemis du bien public ». Déclaré comme émigré alors qu'il ne l'est pas, il est alors emprisonné immédiatement pour avoir proposé de repousser par la force les représentants du peuple, jugé et condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire, siégeant alors à Grasse, comme fédéraliste et pour « complicité de la révolte » le 26 frimaire An II. Dans sa défense, s'il reconnaît les faits dont il est accusé, il essaye, en avocat qu'il est, d'user de la loi du 26 juin 1793 qui amnistie les fédéralistes qui se rétractent. Cet argument est cependant repoussé par l'accusateur public qui estime que la rétractation est trop tardive (la loi prévoit une rétractation dans les trois jours suivant sa publication dans toutes les communes. Or, celle-ci n'est intervenue que près de trois mois après les faits, peu avant son arrestation). La décision de condamnation à mort du tribunal est prononcée le 11 décembre à 11 h du matin. Il est guillotiné le jour même. Il laisse un fils Joseph-César et une fille, Anne-Elisabeth, seule ayant-droit. Sources Hubert de Vauplane, Famille Berlier, une histoire provençale, éd. Jourdan, 2022 (ISBN 2874667218). Xavier de Montclos, L'Ancienne bourgeoisie en France, Picard, éd., 2013, à 22 et 109 à 115. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du xixe siècle, t. 4, Berlier de Vauplane. Denis Ghiraldi, Les victimes de la Révolution dans l'arrondissement de Grasse, Recherches régionales. Centre de documentation des Alpes-Maritimes, 2002, 43e année, n° 164, p. 73-98. Notes et références Personnalité guillotinée durant la Révolution française Naissance à Draguignan Personnalité liée à Draguignan Condamné à mort exécuté en France au XVIIIe siècle Maire de Draguignan
Cadeby
Cadeby (Leicestershire) Cadeby (Yorkshire du Sud) Wyham cum Cadeby
Ordre des experts-comptables
L'Ordre des experts-comptables est l'ordre professionnel regroupant les experts-comptables en France. Il a été créé après la Seconde Guerre mondiale, par l'ordonnance du et placé sous la tutelle du Ministère de l'Économie, des Finances et du Budget, l'Ordre des experts-comptables a pour vocation de gérer et d'animer le plus grand réseau français de professionnels libéraux au service de l'entreprise. Il est représenté par le Conseil Supérieur de l'Ordre des experts-comptables (CSOEC), siégeant à Paris et composé des présidents des vingt-trois Conseils Régionaux et de membres élus de la profession. Administration de l'Ordre L'ordre des experts-comptables est régi par l'ordonnance 45-2138 du et par le décret 2012-432 du . L'ordre des experts-comptables est dirigé par un conseil supérieur, composé des présidents de conseils régionaux et de membres élus au scrutin secret de liste. Il a pour mission de garantir le bon fonctionnement de la profession sur le terrain. Il établit le règlement intérieur de l'ordre. Il exerce, devant toutes les juridictions, tous les droits réservés à la partie civile. Il est institué auprès du conseil supérieur de Le comité national du tableau est institué auprès du conseil supérieur ; il en est de même de la commission de discipline. Dans chacune des circonscriptions régionales qui sont déterminées par arrêté du ministre chargé de l'économie, il est créé un conseil régional de l'ordre des experts-comptables. Les membres du conseil régional sont élus au scrutin secret de liste ou plurinominal sans liste, selon le nombre de membres de l'ordre, personnes physiques, inscrits dans la circonscription régionale. L'ensemble des membres des conseils régionaux et du conseil supérieur se réunit en congrès national une fois par an, à la diligence du président du conseil supérieur. Historique Le métier d'expert-comptable a préexisté à l'organisation de la profession en ordre professionnel ; le métier de comptable, privé ou public, est en effet pratiqué depuis très longtemps. L'origine remonterait en Mésopotamie, plus de 2000 ans av. Jésus-Christ. Les premières techniques comptables s'affirment en Italie en 1494 quand Luca Pacioli publie son célèbre traité de comptabilité en partie double. Il faut cependant attendre 1881 pour que la première organisation importante de comptables en France soit créée sous le nom de Société de Comptabilité de France. Elle distinguait alors trois niveaux de compétences au sein de la discipline comptable, la tenue de livres, le comptable et l’expert-comptable, et regroupait en son sein l’ensemble des comptables salariés et libéraux. Ce n’est qu’en 1912 qu’apparaît la Compagnie des experts-comptables de Paris. Cette dernière rassemble alors plus que les professionnels libéraux. La fin de la Première Guerre mondiale s’accompagne de la naissance en France d’une fédération regroupant les compagnies comptables créées depuis 1912. Deux diplômes voient de plus le jour durant cette période : Le brevet d’expert-comptable en 1927, Le brevet professionnel comptable en 1931. Toutefois, aucun de ces deux diplômes ne protège le titre d’expert-comptable. C'est sous le régime de Vichy en 1941, qu'une commission interministérielle est formée pour prendre en charge d’une part la formation professionnelle des experts-comptables et d’autre part les projets de statuts de l’Ordre dans le cadre d'une politique du retour au corporatisme qui a donné jour, entre autres, à l'Ordre des médecins. L’Ordre des experts-comptables et des comptables agréés est placé sous la tutelle du ministère des Finances, et ensuite institué par la loi du , puis redéfini par l’ordonnance numéro 45-2138 du . Cette dernière demeure le texte de base de l’organisation comptable actuelle en France. Les grandes missions confiées à l’Ordre sont les suivantes : Assurer la promotion de la profession, Protéger les intérêts de ses membres, Affirmer sa contribution à l’évolution et au redressement de l’économie du pays et préconiser toutes les mesures susceptibles d’atteindre ses objectifs dans l’intérêt général du public. L’Ordonnance de 1945 a ensuite été modifiée par les textes suivants : La loi du : la définition légale des missions de l’expert-comptable et du comptable agréé subit un certain nombre de changements et le recrutement des comptables agréés est supprimé ; La loi du : cette loi supprime toute référence au « comptable agréé » et élargi le champ d’intervention des experts-comptables. L’ordonnance du est toujours aujourd’hui le texte fondateur pour toute personne désirant exercer la profession d’expert-comptable à titre libéral. 1881 : création de la première organisation comptable : la Société de comptabilité de France 1912 : création de la Compagnie des experts-comptables de Paris 1927 : le brevet d’expert-comptable voit le jour 1931 : brevet professionnel comptable 1941 : une commission interministérielle se charge de la formation professionnelle des experts-comptables et des futurs statuts de l’Ordre : L’Ordre des experts-comptables et des Comptables agréés est institué, sous la tutelle du Ministère des Finances. Le premier président du conseil de l'Ordre en sera Paul Caujolle (1897-1955) Ordonnance du qui régit l’organisation comptable en France : loi modifiant la définition légale des missions de l’expert-comptable et du comptable agréé, le recrutement des comptables agréés est par ailleurs supprimé Loi du supprime toute référence au comptable agréé et élargit le champ d’intervention des experts-comptables 2007 : réforme du code de déontologie de la profession Métiers de l'expertise Le cursus de l'expertise comptable apporte une formation initiale, théorique et pratique ouvrant la voie à des postes à responsabilité dans les domaines de la comptabilité, de la finance et de l'audit. En permettant d'élargir le spectre des compétences, le cursus procure aisance et autonomie tout au long de la carrière. L'expert-comptable, partenaire-conseil de l'entreprise Les experts-comptables accompagnent aujourd'hui un million et demi d'acteurs économiques. Les compétences de l'expert-comptable associées à sa proximité avec les dirigeants d'entreprise ainsi que la diversité de ses missions (gestion et finances, comptabilité, fiscalité, gestion sociale, management) et de ses secteurs d'intervention, font de lui le premier partenaire-conseil de l'entreprise. L'expert-comptable accompagne ainsi le dirigeant dans toutes les opérations liées à la vie de son entreprise et dans l'application des nouvelles mesures législatives et règlementaires. L'exercice en cabinet L'expert-comptable intervient en appui à toutes les étapes de la vie des entreprises et dans tous les secteurs de l'économie. Il conseille le chef d'entreprise et l'assiste dans ses choix stratégiques et dans leur mise en œuvre opérationnelle. En tant qu'auditeur externe, l'expert-comptable intervient également dans des missions de conseil définies contractuellement avec le dirigeant dans les domaines aussi divers que la fonction personnel, l'ouverture de capital, la mise en place de systèmes d'information. Inscrit comme commissaire aux comptes, il intervient sur des missions d'audit légal pour certifier les comptes des entreprises et garantir la fiabilité de l'information financière. L'exercice en entreprise Près de la moitié des diplômés d'expertise comptable occupe aujourd'hui un poste de haut niveau en entreprise. Le professionnel est appelé à des postes de responsabilité pour participer à la définition et à la mise en œuvre de la stratégie de l'entreprise. Il est un acteur de premier plan au sein des départements suivants : Direction Générale, Administrative, Financière ; Direction Comptable, de l'audit, de la consolidation et de la fiscalité ; Direction des systèmes d'information et de l'organisation ; Contrôle de gestion ; Secrétariat Général. Depuis la Loi PACTE L. , , JO , art. 36 et son décret d'application Décret n° 2019-1193 du modifiant le décret n° 2012-432 du relatif à l'exercice de l'activité d'expertise comptable : les titulaires du diplôme d’expertise-comptable, salariés d’une entité juridique non inscrite au tableau de l’Ordre, pourront s’inscrire à ce dernier en qualité d’expert-comptable en entreprise. Cette inscription requiert l’accord écrit de l’entité. Toutefois, l’expert-comptable en entreprise n’est pas membre de l’Ordre. Il ne peut pas accomplir les missions suivantes : celles prévues par les deux premiers alinéas de l’article 2 de l’ordonnance n°45-2138 du ; les activités que toute autre disposition législative réserve aux experts-comptables, hormis celles fournies au bénéfice de son employeur (L. n° 2019-486, , JO , art. 36 ; qui modifie l’article 13 de l’ordonnance du ). En outre, l’expert-comptable en entreprise doit respecter les obligations suivantes : verser une cotisation auprès du conseil régional ; se conformer à des obligations déontologiques ; mettre à jour régulièrement sa culture professionnelle et ses connaissances générales. Missions Missions de conseil et d'accompagnement Sur le marché des entreprises, en appui de la mission comptable : conseil à la création, conseil en gestion pour les opérations de croissance, la maîtrise des coûts, des risques et des crises, optimisation des systèmes d'information, conseil juridique, social et paye, diagnostic export, contrôle interne, missions d'externalisation comptables et non comptables Sur les marchés plus spécifiques tels que : les associations, le secteur agricole, la Net-Économie, le secteur public, la comptabilité de l'État Sur de nouvelles dimensions de l'économie : la sécurité environnementale, le développement durable, l'assurance de la qualité, la certification Dans les domaines de l'enseignement, de la formation continue (séminaires professionnels) et de la recherche (dans les disciplines comptables et financières). Missions dans un cadre règlementé Préparation et établissement des comptes annuels (bilan, compte de résultat et documents annexes), comptes consolidés, situations comptables périodiques et comptes prévisionnels ; Production de documents comptables (journaux, grand livre, balance, etc.) permettant de suivre régulièrement la santé de l'entreprise ; Audit contractuel, missions comptables diverses dont la portée et définie de façon contractuelle avec le chef de l'entreprise et en fonction de ses besoins ; Participation au processus d'élaboration de l'information comptable et financière, étape essentielle permettant aux tiers (salariés, actionnaires et banquiers) d'en savoir plus, de prendre les bonnes décisions et d'optimiser leurs investissements. Missions légales Assistance aux comités sociaux et économiques pour tous les éléments d'ordre économique, financier ou social nécessaires à l'appréciation de la situation de l'entreprise. Présentation des comptes de campagne des candidats aux élections politiques. Formation Bachelor Attaché comptable et financier Les collaborateurs ou futurs collaborateurs, salariés de services comptables, étudiants en fin de premier cycle, peuvent valoriser leurs compétences et leur position au sein du cabinet ou de l'entreprise. Ce nouveau diplôme à bac+3, comportant six unités d'enseignement (UE) capitalisables, est délivré conjointement par l'INTEC (Institut national des techniques économiques et comptables), le Conseil Supérieur de l'Ordre des experts-comptables, la FIDEF (Fédération internationale des experts-comptables francophones) et avec le soutien de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes. Cette formation est organisée par l'INTEC en liaison avec le CNED, pour les UE à distance, et avec les IRF (Instituts régionaux de formation de la profession) ou les Instituts professionnels membres de la FIDEF (dans le cas de l'étranger), pour les deux UE pratiques en présentiel : Pratique professionnelle (cas d'expertise comptable) : 18,5 jours, Audit et contrôle interne (mise en situation d'un dossier d'audit) : 12,5 jours (sessions de 2,5 jours). Réforme des examens comptables à la rentrée 2007 À la suite de la réforme LMD, deux nouveaux diplômes d'expertise comptable ont été créés. Ces nouveaux cursus ont été ouverts aux étudiants dès la rentrée 2007. Dans le cadre de la réforme LMD applicable à l'ensemble de l'enseignement supérieur des pays de l'Union européenne, le Diplôme préparatoire aux études comptables et financières (DPECF), le Diplôme d'études comptables et financières (DECF) et le Diplôme d'études supérieures comptables et financières (DESCF) ont été remplacés, à la rentrée 2007, par deux nouveaux diplômes : Le Diplôme de comptabilité et de gestion, DCG (niveau Licence) Le Diplôme supérieur de comptabilité et de gestion, DSCG (niveau Master) Les décret et arrêté du sont parus au Journal officiel du validant la mise en place de ce nouveau cursus. Domaines de compétences de l'expert-comptable De l'établissement des comptes annuels au conseil en matière de gestion, de droit des affaires, de droit fiscal, de droit social, ou encore de conseil à l'export, l'expert-comptable est le conseiller permanent du chef d'entreprise. Il apporte une réponse ponctuelle et adaptée aux différents événements de la vie de l'entreprise. Véritable allié de l'entreprise, l'expert-comptable apporte ses compétences en matière de comptabilité et de gestion. Il est également qualifié pour clarifier des aspects juridiques liés aux obligations légales de l'entreprise, notamment en matière de droit du travail et de gestion sociale, ou pour mener un travail d'audit. Comptabilité de l'entreprise Les différentes missions de l'expert-comptable au sein de l'entreprise en matière de comptabilité : La mise en place d'une comptabilité adaptée à l'entreprise, La tenue ou la surveillance de la comptabilité, L'externalisation de la fonction administrative et comptable, L'établissement de situation intermédiaire, La révision des comptabilités informatisées : respect des règles comptables et de gestion, sécurité des systèmes informatiques, archivage, capacité d'évolution, L'élaboration des comptes annuels, L'élaboration de budgets prévisionnels, Le calcul des coûts de revient, La mise en place d'une comptabilité analytique. Gestion de l'entreprise Les différentes missions de l'expert-comptable au sein de l'entreprise en matière de gestion : Le conseil en gestion : assistance à la création de l'entreprise, projets d'investissement, contrôle budgétaire, tableaux de bord, Le conseil en gestion financière : assistance à la gestion de trésorerie, à la recherche de financements et aux relations avec les organismes bancaires et financiers, La formation : plan de formation, aide aux recrutements, Le conseil aux entreprises en situation de difficulté : restructuration, plan de continuation, Le conseil à l'export : recherche de partenaires à l'étranger, relation avec les organismes de financement, analyse de marché, L'évaluation d'entreprises dans le cadre de cessions, apports, successions, partages, donations, transmissions, etc. Obligations légales de l'entreprise En matière juridique, l'expert-comptable peut donner des consultations relevant de son activité principale et rédiger des actes sous seing privé qui constituent l'accessoire direct de la prestation fournie. Droit du travail et gestion sociale Établissement des bulletins de paye et des déclarations sociales, Assistance à la gestion des ressources humaines, Mise en place de systèmes d'épargne salariale, de prévoyance, de retraite adaptés, Mise en œuvre de la loi sur les 35 heures. Droit fiscal Établissement de toutes les déclarations fiscales, Optimisation de la gestion fiscale, Gestion fiscale de groupe, Assistance en cas de contrôle fiscal, Représentation en cas de contentieux devant la Commission départementale des impôts directs, devant la Commission de conciliation Suivi juridique de l'entreprise Choix de la forme juridique Assistance pour les formalités Préparation des opérations de constitution, d'augmentation de capital, de transmission… Information de l'entreprise L'expert-comptable apporte son conseil dans la mise en place de systèmes informatiques de gestion : Études d'opportunités et expressions de besoins, adaptations des programmes, Elaboration de cahier des charges, Assistance au choix des logiciels de gestion, etc. Audit de l'entreprise À l'exception de l'audit légal (réservé par la loi aux commissaires aux comptes), l'expert-comptable peut intervenir dans de nombreux domaines de l'entreprise pour réaliser un audit : Audit des comptes dans le cadre d'une prise de participation, d'un rachat d'entreprise, Audit juridique, fiscal, social, organisationnel, Audit des systèmes informatiques, Audit des assurances de l'entreprise. Activité de lobbying En France Le Conseil national de l'ordre des experts-comptables est inscrit comme représentant d'intérêts auprès de l'Assemblée nationale. Il déclare à ce titre en 2014 un budget global de , et indique que les coûts annuels liés aux activités directes de représentation d'intérêts auprès du Parlement n'excédent pas . Pour l'année 2017, le Conseil national de l'Ordre des Experts-Comptables déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant qui n'excède pas . Auprès des institutions de l'Union Européenne Le Conseil national de l'ordre des experts-comptables est inscrit depuis 2015 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2016 pour cette activité des dépenses d'un montant compris entre et . Voir aussi Articles connexes Expert-comptable en France Liens externes Site officiel du Conseil National de la Comptabilité (CNC) Site officiel de la Fédération des experts-comptables européens (FEE) Site officiel de la Fédération Internationale des experts-comptables Francophones (FIDEF) Notes et références Expert-comptable Lobby auprès de l'Union européenne Association ou organisme lié à la comptabilité
Oaksterdam
Oaksterdam est un quartier culturel du nord du centre-ville d'Oakland où l'on vend du cannabis à usage médical dans divers cafés, magasins, etc. Le nom vient d'une contraction du mot Oakland et Amsterdam. Depuis 2005, une loi de l'État de Californie autorise le cannabis à usage thérapeutique. Oaksterdam abrite la Oaksterdam University, ouverte en 2007, où l'on peut apprendre tout sur l'histoire, la culture, l'utilisation du cannabis. Notes et références Liens internes Oakland Oakland (Californie)
Oleg Berdos
Oleg Berdos (né le à Chișinău) est un coureur cycliste moldave, professionnel depuis 2010. Palmarès 2007 Champion de Moldavie sur route du Grand Prix de l'industrie et du commerce de San Vendemiano du championnat de Moldavie du contre-la-montre 2008 du Tour du Frioul-Vénétie julienne du championnat de Moldavie sur route du GP Industria del Cuoio e delle Pelli du championnat d'Europe sur route espoirs 2009 Champion de Moldavie sur route Coppa Guinigi de la Medaglia d'Oro Frare De Nardi du championnat de Moldavie du contre-la-montre du Trophée de la ville de Conegliano 2011 du championnat de Moldavie sur route 2014 du Tour de Szeklerland Classements mondiaux Notes et références Liens externes Coureur cycliste moldave Coureur cycliste aux Jeux olympiques d'été de 2012 Naissance en juin 1987 Naissance à Chișinău Naissance en RSS moldave
أرتولشيم
أرتولشيم هي بلدية فرنسية تقع في إقليم الراين الأسفل من منطقة ألزاس في شمال شرق فرنسا. تبلغ مساحة هذه المدينة 11.25 (كم²)، يبلغ عدد سكانها 910 نسمة حسب إحصاء المعهد الوطني للإحصاء والدراسات الاقتصادية سنة 2009 م. وترأس Bernard Schultz البلدية خلال فترة (2008 - 2014). مراجع وصلات خارجية صفحة البلدية على موقع المعهد الوطني للإحصاء والدراسات الاقتصادية بلديات إقليم الراين الأسفل
Bowen Becker
Bowen Becker, né le , est un nageur américain spécialiste du sprint en nage libre. Carrière Il remporte la médaille d'or du relais 4 × 100 mètres nage libre aux Jeux olympiques d'été de 2020 à Tokyo. Notes et références Liens externes Nageur américain Nageur de nage libre Nageur aux Jeux olympiques d'été de 2020 Champion olympique de natation Champion olympique américain Nageur des Cali Condors Étudiant de l'université du Minnesota Naissance en juillet 1997